Translation for "la cabeza hacia" to french
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Llego a mi taquilla, inclino La cabeza hacia delante y la apoyo contra la fría puerta metálica.
Je me dirige vers mon casier et appuie mon front contre le froid métal de la porte.
También aquel día había personas que miraban a todas partes como palomas, volviendo la cabeza hacia el sonido de la carnicería, inesperadamente conscientes del peligro que corrían.
Ce jour-là, les gens ressemblaient aussi à des pigeons, les têtes dirigées vers les bruits de l’abattage, soudain conscients d’être en danger.
La maza estaba mal colocada, con la pesada cabeza hacia el suelo, así que en vez de eso, FN-2187 estrelló el mango contra el casco de Nueves.
La masse était dans la mauvaise position, sa lourde tête dirigée vers le sol, aussi FN-2187 utilisa-t-il le pommeau à la place, pour frapper violemment le casque de Double Neuf.
Él me pidió parar en el camino y me dijo que, si deseaba descansar, debía trepar a la cima plana de una loma al lado de la carretera y acostarme bocabajo con la cabeza hacia el este.
En chemin il me fit stopper et me dit que si je désirais me détendre il me fallait aller sur le plateau qui formait le sommet d’une proche colline, et là m’allonger à plat ventre, la tête dirigée vers l’est.
La tercera vez que pasó morosamente frente a su casa, la vecina se asomó a la puerta y lo miró; él giró la cabeza hacia el mar y siguió de largo. Dos calles más allá, cruzó el boulevard de Verdun y se internó en la ciudad.
La troisième fois qu’il est passé, l’air sombre, devant sa maison, la voisine est sortie sur le pas de la porte et l’a regardé, il s’est tourné vers la mer et a poursuivi son chemin, deux rues plus loin, il a traversé le boulevard de Verdun et s’est dirigé vers le centre.
saxofón muy hermoso pero convencional, con un paraguas abierto a los pies, con un billete de dólar húmed07 algunas monedas dentro. Incapaz de resistirlo me acerco a él, escuchando lo que toca, algo de Les Misérables, se da cuenta de mi presencia, saluda con la cabeza y, mientras cierra los ojos -alzando el instrumento, echando la cabeza hacia atrás en lo que supongo que cree que es un momento apasionado-, con un movimiento ágil saco la Magnum 357 de la pistolera y, esperando no llamar la atención de nadie cercano, ajusto un silenciador a la pistola, mientras el frío viento otoñal sopla en la calle, envolviéndolas, y cuando la víctima abre los ojos y ve la pistola y deja de tocar, manteniendo la boquilla del saxo metida en la boca, yo también me detengo; le hago una señal con la cabeza de que continúe y, aunque dudando, él sigue, y entonces yo llevo la pistola hasta su cara y en mitad de una nota aprieto el gatillo, pero el silenciador no funciona y en el mismo instante en que aparece en la pared detrás de su cabeza un enorme círculo púrpura, el sonido atronador del disparo me ensordece, mientras él, estupefacto, con los ojos todavía vivos, cae de rodillas, luego encima de su saxo, y yo saco el cartucho vacío y lo remplazo por otro nuevo, pero entonces pasa algo malo… … porque mientras hago esto no me doy cuenta de que por detrás se me acerca un coche de la policía -¿qué hace? sólo Dios lo sabe, ¿está repartiendo tickets de aparcamiento?– y después de que el ruido de la pistola levante ecos, se desvanezca, la sirena del coche desgarra la noche, llegando de un lugar desconocido, y hace que el corazón me palpite con fuerza, mientras empiezo a alejarme del cuerpo, que tiembla, despacio, como quien no quiere la cosa al principio, como si fuera inocente, pero luego echo a correr a toda velocidad con el coche de la policía chirriando detrás de mí, y por un altavoz uno de los policías grita inútilmente: –Alto deténgase tire el arma. Ignorándolo, doblo a la izquierda por Broadway y me dirijo hacia el City Hall Park, tomo un callejón, con el coche de la policía persiguiéndome, pero se detiene cuando el callejón se estrecha, con una luz azul parpadeando en el techo, y salgo corriendo por el otro extremo del callejón lo más deprisa que puedo, llego a Church Street, donde hago señas a un taxi, salto en el asiento delantero y le grito al taxista, un joven iraní cogido por sorpresa:
il y a du brouillard à Tribeca, le ciel est chargé de pluie, les restaurants fermés, et après minuit, les rues sont désolées, irréelles, le seul signe de vie étant un joueur de saxophone au coin de Duane Street, sur le seuil de ce qui était autrefois le DuPlex, et qui est à présent un bistrot abandonné, fermé depuis un mois, un jeune type, barbu, béret blanc, qui joue un solo très beau, mais conventionnel, avec à ses pieds un parapluie ouvert contenant un billet de un dollar tout humide et de la petite monnaie, et malgré moi je me dirige vers lui, attentif à la musique, un truc tiré des Misérables et, s’apercevant de ma présence, il fait un petit signe de tête et ferme les yeux, levant son instrument, la tête renversée en arrière pour ce qui est dans son esprit, j’imagine, un passage particulièrement poignant et, en un seul geste adroit, je tire le 357 magnum de son étui et, peu soucieux d’ameuter le voisinage, visse un silencieux sur le canon, tandis que le vent froid de l’automne s’engouffre dans la rue et s’enroule autour de nous, et la victime ouvre les yeux, voit le revolver et s’arrête de jouer, l’anche du saxophone toujours coincée entre les lèvres, tout comme je demeure moi-même immobile, lui faisant enfin un petit signe de tête pour l’encourager à continuer, ce qu’il fait, hésitant, puis j’élève le canon vers son visage et presse sur la détente au beau milieu d’une note, mais le silencieux n’a pas fonctionné, et une terrible détonation m’assourdit, tandis qu’un immense halo rouge vif apparaît derrière sa tête et que, ahuri, les yeux encore vivants, il tombe à genoux, puis sur son saxophone, et je fais sauter la douille et la remplace par une balle neuve, mais voilà que ça tourne mal... parce qu’avec tout ça, je n’ai pas fait attention à la voiture de patrouille qui arrivait derrière moi — Dieu seul sait ce qu’ils font là, ils distribuent peut-être des contraventions — et tandis que l’écho de la déflagration résonne, puis s’éteint, la sirène de la voiture de patrouille déchire soudain la nuit, venue de nulle part et, le cœur battant, je commence à m’éloigner du corps qui tremble toujours, lentement tout d’abord, comme si de rien n’était, comme si je n’avais rien fait, puis me mettant soudain à courir à toutes jambes, tandis que les pneus de la voiture de police crissent derrière moi et qu’un flic hurle dans un haut-parleur, en vain, « arrêtez, arrêtez, baissez votre arme », mais je cours toujours, tourne à gauche sur Broadway, en direction du City Hall Park, puis plonge dans une ruelle où la voiture de police me suit, mais ils doivent s’arrêter à mi-chemin, car la ruelle se rétrécit, et les voilà coincés, une salve d’éclairs bleus éclate tandis que j’arrive au bout de l’allée, à toutes jambes, débouchant dans Church Street où je fais signe à un taxi, bondissant sur le siège avant, criant au chauffeur, un jeune Iranien, complètement pris de court, « sors de là en vitesse... non, conduis », en lui agitant le revolver sous le nez ; mais il panique et s’écrie en mauvais anglais : « ne tirez pas, pitié, ne me tuez pas », levant les mains en l’air, et je murmure « merde », mais il est terrifié, « oh, ne tirez pas Monsieur ne tirez pas », et je murmure : « va te faire foutre », avec impatience et, élevant le canon de l’arme, presse sur la détente, et la balle lui fait éclater la tête qui s’ouvre en deux comme une pastèque rouge sombre et explose contre le pare-brise, après quoi je me penche pour ouvrir sa portière et pousse le cadavre dehors, claque la portière et prends le volant...
Llego a mi taquilla, inclino La cabeza hacia delante y la apoyo contra la fría puerta metálica.
Je me dirige vers mon casier et appuie mon front contre le froid métal de la porte.
También aquel día había personas que miraban a todas partes como palomas, volviendo la cabeza hacia el sonido de la carnicería, inesperadamente conscientes del peligro que corrían.
Ce jour-là, les gens ressemblaient aussi à des pigeons, les têtes dirigées vers les bruits de l’abattage, soudain conscients d’être en danger.
Él me pidió parar en el camino y me dijo que, si deseaba descansar, debía trepar a la cima plana de una loma al lado de la carretera y acostarme bocabajo con la cabeza hacia el este.
En chemin il me fit stopper et me dit que si je désirais me détendre il me fallait aller sur le plateau qui formait le sommet d’une proche colline, et là m’allonger à plat ventre, la tête dirigée vers l’est.
Él volvió la cabeza hacia ella.
Il tourna la tête vers elle.
Inclinó la cabeza hacia la mía.
Il pencha sa tête vers moi.
Ella volvió la cabeza hacia mí.
Elle tourna sa tête vers moi.
Ella volvió la cabeza hacia él.
Elle tourna la tête vers lui.
Ella levantó la cabeza hacia mí.
Elle leva la tête vers moi.
Volvió la cabeza hacia mí. —¿Eres tú?
Elle tourna la tête vers moi. — C’est toi ?
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