Translation for "irredentistas" to french
Irredentistas
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Translation examples
Para los irredentistas checos de la antigua Austria y los irredentistas irlandeses del Reino Unido los Estados cuyos gobiernos residían en Viena y Londres eran usurpadores; su legítimo Estado aún no existía.
Pour les irrédentistes tchèques de l'ancienne Autriche et pour les irrédentistes irlandais du Royaume-Uni, les États dont les gouvernements siégeaient à Vienne et à Londres étaient des usurpateurs : leur État légitime n'existait pas encore.
Cuando Italia entró también en guerra, el 24 de mayo de 1915, Troian, irredentista, desertó y se entregó a los rusos;
Quand l’Italie était entrée en guerre à son tour, le 24 mai 1915, Troian, qui était irrédentiste, avait déserté et s’était livré aux Russes ;
Laurenti recordó que, hasta hacía poco, no se había enterado de que el San Marco fue el punto de encuentro de los irredentistas cuando lo inauguraron, poco antes del estallido de la Primera Guerra Mundial.
Laurenti avait appris depuis peu qu’à son ouverture, quelque temps avant la Première Guerre mondiale, le San Marco était le rendez-vous des irrédentistes.
Hasta la Primera Guerra Mundial, al otro lado empezaba Italia y los irredentistas gradeses, los republicanos del círculo Ausonia, atravesaban de noche el canal para pisar el suelo de la patria.
Jusqu’à la grande guerre, au-delà c’était l’Italie, et les irrédentistes de Grado, les républicains du cercle Ausonia traversaient de nuit le chenal pour toucher le sol de la patrie.
el símbolo de la protesta irredentista contra los Habsburgo, el tulipán en el ojal de los seguidores de Kossuth, es la flor que trajeron los dominadores otomanos y que exaltaban en su poesía como símbolo de la civilización turca.
le symbole de la protestation irrédentiste contre les Habsbourg, cette tulipe à la boutonnière des partisans de Kossuth, était la fleur portée par les dominateurs ottomans et célébrée dans leur poésie comme emblème de la civilisation turque.
¿Y era cierto que el ataque de la semana pasada con cohetes de largo alcance a los hoteles turísticos de las Seychelles había sido financiado por una cadena hotelera rival, y no por los irredentistas miembros del Partido de Liberación de las Seychelles?
Et puis était-il vrai que l’attaque de roquettes à longue portée de la semaine dernière sur un groupe d’hôtels des Seychelles avait été financée par une chaîne hôtelière rivale, et non par des membres irrédentistes du Parti de Libération des Seychelles ?
Los desnudos, en los medallones de las paredes —debidos a firmas ilustres y no siempre confirmadas, con seguridad a Napoleone Cozzi, decorador alpinista escritor e irredentista, quizá a Ugo Flumiani, pintor de aguas encrespadas—, representan a los ríos que «tanto desde la península italiana, como desde el Friuli, Istria o Dalmacia desembocan en el Adriático, en el mar de San Marcos».
Les nus, dans les médaillons des murs – dus ou attribués à des artistes célèbres, à coup sûr Napoleone Cozzi, décorateur-alpiniste-écrivain-irrédentiste, peut-être Ugo Flumiani, peintre des rides de l’eau –, représentent les fleuves qui « tant de la péninsule italique que du Frioul, de l’Istrie ou de la Dalmatie se jettent dans l’Adriatique, la mer de saint Marc ».
La historia dice que el San Marcos abrió sus puertas el 3 de enero de 1914 —a pesar de las resistencias para impedirlo del Consorcio triestino de cafeteros, en vano revoltosos, ante la Imperialregia Luogotenenza— convirtiéndose enseguida en el lugar de encuentro de la juventud irredentista y también en un taller de pasaportes falsos para los patriotas antiaustríacos que querían escapar a Italia.
L’histoire nous apprend que le San Marco a été ouvert le 3 janvier 1914 – en dépit des résistances du Consortium des cafetiers de Trieste, qui s’était vainement adressé, pour l’empêcher, à la Lieutenance impériale-royale – et est tout de suite devenu le lieu de ralliement de la jeunesse irrédentiste et aussi une fabrique de faux passeports pour les patriotes antiautrichiens qui voulaient s’enfuir en Italie.
«En la patria de Rossetti solo se habla italiano», cantaban los irredentistas como homenaje al docto estudioso decimonónico de memorias patrias, guardián de la italianidad cultivada bajo el secular dominio de los Habsburgo, aunque él, por su parte, hubiera celebrado también en versos devotos a Austria y a su duce potente que a Trieste al final salvó, esperando que ese día a nuestros nietos recuerde que complacemos solo Austria deseó.
« Dans la patrie de Rossetti on ne parle qu’italien », chantaient les irrédentistes en hommage à cet érudit du xixe siècle qui avait su garder vivante la mémoire de la patrie, vestale d’une italianité cultivée sous la domination séculaire des Habsbourg, même si par ailleurs il avait aussi célébré dans des vers pleins de ferveur l’Autriche et son puissant seigneur qui Trieste à la fin sauva, souhaitant que ce jour rappelle à tous ceux qui naîtront demain que l’Autriche seule peut nous rendre heureux.
Nacido en Sebenico, Dalmacia, en 1861, crecido en condiciones difíciles y sin poder llevar a término los amadísimos estudios de filosofía y ciencias matemáticas en Viena, durante largos años oficial de la marina de guerra imperialregia —él, irredentista italiano, pero enamorado de la cultura alemana y buen conocedor y admirador de la croata, a la que pertenecía otra rama de la familia— y al final modesto maestro en las escuelas de formación profesional de Trieste, Francesco de Grisogono se había visto obstaculizado, durante toda la vida, por adversidades de distinta índole, excluido de todo contacto con el mundo de la investigación.
Né à Sebenic, en Dalmatie, en 1861, ayant grandi dans des conditions difficiles et s’étant trouvé dans l’impossibilité de mener à terme, à Vienne, des études de philosophie et de mathématiques qui le passionnaient, officier durant de longues années dans la marine de guerre impériale-royale – lui, irrédentiste italien mais amoureux de la culture allemande, bon connaisseur aussi de la culture croate, qu’il appréciait et à laquelle appartenait une autre branche de sa famille – et pour finir modeste professeur de l’enseignement préprofessionnel à Trieste, Francesco de Grisogono s’était trouvé, tout au long de sa vie, en butte à l’adversité sous des formes diverses, et exclu de tout contact avec le monde de la recherche.
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