Translation for "hojas de olivo" to french
Translation examples
El pálido tejido de la tienda, lo bastante fino como para que ella pudiera ver las estrechas sombras de las hojas de olivo moviéndose sobre el techo, resplandecía por la luz exterior, que también se filtraba por medio centenar de agujeritos. —¿Lord Arhys? Lord Arhys, yo...
Le tissu pâle de la tente, assez mince pour lui laisser entrevoir le mouvement des ombres étroites des feuilles d’olivier sur le toit, luisait sous l’effet de la lumière extérieure, qui s’infiltrait aussi par une bonne cinquantaine de trous d’épingle. — Sire Arhys ? Sire Arhys, je…
Bajo nuestros pies se extendía un suelo de barro de color ante, tan duro y bien apisonado como un parquet, liso como un lago durante una milla en todas direcciones, y sobre una baja loma a un lado de dicha llanada se levantaba un soto de tamariscos de marronácea madera, bordeado por una rala y polvorienta franja de hierba, agostada por la sequía y los rayos del sol hasta alcanzar un color casi gris plateado, semejante al de las hojas de olivo de los alrededores de Les Baux cuando la brisa del río soplaba sobre las hierbas del valle y volvía pálidos los árboles.
Sous nos pieds s'étendait un sol de boue couleur chamois, aussi dur et amortissant qu'un pavage de bois, aussi plat qu'un lac, large d'un demi-mille de part et d'autre, et sur un petit monticule, de côté, se dressait le bosquet de troncs de tamaris, de bois brun frangé d'une bordure de vert rare et poussiéreux que la sécheresse et le soleil avaient décoloré presque jusqu'au gris argenté du dessous des feuilles d'olivier autour des Baux de Provence quand un vent venu de l'embouchure de la rivière fait bruire l'herbe de la vallée et rend pâles les arbres.
Sobre sus ojos se habían colocado sendas monedas, para pagar al guardián anónimo de la última de las puertas de Moriana. Le habían puesto asimismo una cesta de comida al brazo y lo habían calzado debidamente, pues nadie sabía cuán largo podía ser el viaje de un muerto hasta llegar a la mansión de la diosa. El cuerpo había de ser trasladado posteriormente al patio para que los habitantes de la ciudad y del campo que así lo desearan —Y que se atrevieran a desafiar la atenta mirada de los mercenarios barbadios apostados a la entrada del palacio— pudieran desfilar ante el féretro y arrojar plateadas hojas de olivo en el único vaso de cristal colocado desde primera hora de la mañana sobre un pedestal. La gente de a pie —tejedores, artesanos, tenderos, agricultores, marineros, criados y menestrales de todo tipo— aún no podían entrar en el palacio, pero ya se escuchaba el griterío que formaban mientras aguardaban fuera a que comenzasen los cantos funerarios en honor del difunto duque. En cuanto a aquellos que habían obtenido el privilegio de entrar en el palacio, Devin pensó que no había visto en su vida una colección más extraña de pequeños hidalgos y grandes nobles mezclados abigarradamente con mercaderes enriquecidos.
Dans une chambre au premier, ornée des tentures appropriées – gris-bleu et noires –, reposait la dépouille de Sandre d’Astibar, une pièce de monnaie sur chaque paupière pour payer le portier sans nom qui gardait la dernière porte de Morian, des chaussures aux pieds et les mains chargées de vivres, car aucun vivant ne pouvait connaître la durée exacte du voyage qui conduisait à la déesse. D’ici quelque temps, le corps du duc serait descendu dans la cour, afin de permettre à tous les citoyens de la ville et du district qui le souhaitaient et qui avaient le courage d’affronter le regard et la mémoire visuelle des mercenaires barbadiens postés à l’extérieur de passer un à un devant son cercueil, puis de déposer des feuilles d’olivier bleu argenté dans l’unique vase de cristal qui trônait déjà sur un socle dans la cour. Les citoyens ordinaires – tisserands, artisans, marchands, fermiers, marins, serviteurs, boutiquiers – pénétreraient un peu plus tard. Ils avaient déjà commencé à se rassembler à l’extérieur, désireux qu’ils étaient d’entendre la musique prévue pour les funérailles du vieux duc. Pendant ce temps, les invités qui s’installaient dans la cour formaient la plus extraordinaire palette de nobles, des plus petits aux plus grands, et de riches commerçants que Devin ait jamais vue ainsi rassemblée en un même lieu.
El pálido tejido de la tienda, lo bastante fino como para que ella pudiera ver las estrechas sombras de las hojas de olivo moviéndose sobre el techo, resplandecía por la luz exterior, que también se filtraba por medio centenar de agujeritos. —¿Lord Arhys? Lord Arhys, yo...
Le tissu pâle de la tente, assez mince pour lui laisser entrevoir le mouvement des ombres étroites des feuilles d’olivier sur le toit, luisait sous l’effet de la lumière extérieure, qui s’infiltrait aussi par une bonne cinquantaine de trous d’épingle. — Sire Arhys ? Sire Arhys, je…
Bajo nuestros pies se extendía un suelo de barro de color ante, tan duro y bien apisonado como un parquet, liso como un lago durante una milla en todas direcciones, y sobre una baja loma a un lado de dicha llanada se levantaba un soto de tamariscos de marronácea madera, bordeado por una rala y polvorienta franja de hierba, agostada por la sequía y los rayos del sol hasta alcanzar un color casi gris plateado, semejante al de las hojas de olivo de los alrededores de Les Baux cuando la brisa del río soplaba sobre las hierbas del valle y volvía pálidos los árboles.
Sous nos pieds s'étendait un sol de boue couleur chamois, aussi dur et amortissant qu'un pavage de bois, aussi plat qu'un lac, large d'un demi-mille de part et d'autre, et sur un petit monticule, de côté, se dressait le bosquet de troncs de tamaris, de bois brun frangé d'une bordure de vert rare et poussiéreux que la sécheresse et le soleil avaient décoloré presque jusqu'au gris argenté du dessous des feuilles d'olivier autour des Baux de Provence quand un vent venu de l'embouchure de la rivière fait bruire l'herbe de la vallée et rend pâles les arbres.
Sobre sus ojos se habían colocado sendas monedas, para pagar al guardián anónimo de la última de las puertas de Moriana. Le habían puesto asimismo una cesta de comida al brazo y lo habían calzado debidamente, pues nadie sabía cuán largo podía ser el viaje de un muerto hasta llegar a la mansión de la diosa. El cuerpo había de ser trasladado posteriormente al patio para que los habitantes de la ciudad y del campo que así lo desearan —Y que se atrevieran a desafiar la atenta mirada de los mercenarios barbadios apostados a la entrada del palacio— pudieran desfilar ante el féretro y arrojar plateadas hojas de olivo en el único vaso de cristal colocado desde primera hora de la mañana sobre un pedestal. La gente de a pie —tejedores, artesanos, tenderos, agricultores, marineros, criados y menestrales de todo tipo— aún no podían entrar en el palacio, pero ya se escuchaba el griterío que formaban mientras aguardaban fuera a que comenzasen los cantos funerarios en honor del difunto duque. En cuanto a aquellos que habían obtenido el privilegio de entrar en el palacio, Devin pensó que no había visto en su vida una colección más extraña de pequeños hidalgos y grandes nobles mezclados abigarradamente con mercaderes enriquecidos.
Dans une chambre au premier, ornée des tentures appropriées – gris-bleu et noires –, reposait la dépouille de Sandre d’Astibar, une pièce de monnaie sur chaque paupière pour payer le portier sans nom qui gardait la dernière porte de Morian, des chaussures aux pieds et les mains chargées de vivres, car aucun vivant ne pouvait connaître la durée exacte du voyage qui conduisait à la déesse. D’ici quelque temps, le corps du duc serait descendu dans la cour, afin de permettre à tous les citoyens de la ville et du district qui le souhaitaient et qui avaient le courage d’affronter le regard et la mémoire visuelle des mercenaires barbadiens postés à l’extérieur de passer un à un devant son cercueil, puis de déposer des feuilles d’olivier bleu argenté dans l’unique vase de cristal qui trônait déjà sur un socle dans la cour. Les citoyens ordinaires – tisserands, artisans, marchands, fermiers, marins, serviteurs, boutiquiers – pénétreraient un peu plus tard. Ils avaient déjà commencé à se rassembler à l’extérieur, désireux qu’ils étaient d’entendre la musique prévue pour les funérailles du vieux duc. Pendant ce temps, les invités qui s’installaient dans la cour formaient la plus extraordinaire palette de nobles, des plus petits aux plus grands, et de riches commerçants que Devin ait jamais vue ainsi rassemblée en un même lieu.
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test