Translation for "hojarasca" to french
Similar context phrases
Translation examples
Me tomó un minuto cargarlo a mano hasta un brillo mayor, y entonces lo apunté con cuidado hacia el suelo, buscando mis huellas en la hojarasca o alguna señal del sendero que había abierto a machetazos más temprano. Creí ver huellas y me moví hacia allá, caminando rápido, abriendo el sotobosque con una creciente sensación de alivio… solo para tropezarme con un tronco mastodóntico.
Je pris une minute pour en remonter frénétiquement la manivelle et obtenir une lumière plus forte, dont je balayai soigneusement le sol, à la recherche de mes traces dans la litière de la forêt ou du moindre signe du chemin que j’avais débroussaillé à la machette plus tôt dans la journée.
Alicia se acercó al pórtico de un gran salón de baile en cuyo interior había penetrado la hojarasca, impulsada por el viento.
Alicia s’approcha de la double porte d’une salle de bal ou le vent avait poussé les feuilles d’automne.
La hojarasca y el musgo se hundieron y apareció una puerta de metal de la que salió volando otro grupo de drones que pasaron pitando junto a mi árbol.
Les feuilles et la mousse s’écartaient pour dévoiler une porte métallique. Un autre groupe de drones s’en échappa et passa à toute allure devant mon arbre.
Los vivos seguían bien, los muertos estarían mejor, se dijo después de un rato, cuando James Lord ya había desaparecido por el portón del inmueble, y el montoncito de hojarasca seca que la conserje había barrido se deshacía levantado por una ventolera.
Les vivants étaient en bonne forme, les morts en meilleure, se dit-elle après un moment, quand James Lord avait déjà disparu par la porte de l’immeuble, et le petit tas de feuilles mortes que la concierge avait balayé s’envolait dans le vent.
A las tres de la tarde de un día otoñal de 2011, cuando los árboles empezaban a desnudarse y la calle estaba cubierta de una hojarasca crujiente y efímera, Evelyn Ortega tocó el timbre de una casa de tres pisos, situada en una esquina, con estatuas mutiladas de héroes griegos en el jardín.
Par un après-midi de l’automne 2011, alors que les arbres commençaient à se dénuder et que la rue se couvrait d’un tapis crissant et éphémère, Evelyn Ortega sonna à la porte d’une maison de trois étages, située au coin d’une rue, avec des statues mutilées de la mythologie grecque dans le jardin.
Que se dé cuenta de que ya no vale la pena el esfuerzo que hace la pobre anciana porque no es a mí sino a él a quien tiene que acosar, él lo tiene todo, Peta, fue él quien te penetró y te hizo aullar de placer en el único orgasmo que tu vida venía buscando desde el fondo de los siglos a partir de la pesadilla inicial de la que salimos, él pesó sobre tu cuerpo esa noche en tu cama, no yo, yo penetré a Inés, por eso es que él me ha despojado de los órganos que la tocaron a ella, por eso me echaron a la calle, a esta calle que veo por la ventana, donde nada sucede, la estación de servicio vacía, la calle se prolonga y retrocede y vuelve a prolongarse y doblar en el tiempo estático, el mendigo enclenque y barbudo, vestido de harapos, a quien se ve frecuentemente pedir limosna a la puerta de las iglesias porque el pobre es sordomudo, deambula por la calle, se pierde de vista como arrebatado por el viento, se va al parque donde se esconden otros como él, pero él no se esconde, madre Benita, se lo juro, hace su fogata de hojarasca en una zanja y se duerme con la esperanza de que en la noche la Peta venga y hurgue en sus pantalones fingiendo que quiere robar, madre Benita, pero la Peta no quiere robar, ha venido a buscar en mí lo que siempre ha buscado.
Pour que cette pauvre vieille voie que son effort ne vaut pas la peine car ce n’est pas moi, c’est lui qu’elle doit traquer, c’est lui qui a tout, Peta, c’est lui qui te pénétra et te fit hurler de plaisir, unique orgasme dont ta vie était en quête depuis l’origine des siècles, depuis le cauchemar initial dont nous sommes issus, c’est lui et non moi qui t’écrasa sous son poids cette nuit-là dans ton lit ; moi, je suis entré en Inés, c’est pour cela qu’il m’a dépouillé des organes qui l’avaient touchée, que l’on m’a jeté dehors, dans cette rue que je vois par la fenêtre, où il ne se passe rien, la station-service vide, la rue qui s’allonge et recule et s’allonge de nouveau et double le temps statique, le mendiant infirme et barbu, en haillons, que l’on voit souvent demander l’aumône à la porte des églises car le pauvre, qui est sourd-muet, déambule dans la rue, on le perd de vue comme si le vent l’emportait, il est parti jusqu’au parc où il s’en cache d’autres comme lui, mais il ne se cache pas, mère Benita, je vous le jure, il fait son feu de broussailles dans un fossé et s’endort à côté avec l’espoir que Peta vienne fouiller dans son pantalon, la nuit, en faisant semblant de vouloir le voler, mère Benita, mais Peta ne veut pas voler, elle est venue chercher chez moi ce qu’elle a toujours cherché.
Usted me toma la mano porque sabe que tengo miedo de no morir, pero no siempre tengo miedo, madre Benita, a veces me exalta la seguridad de que mi tiempo se prolongará sin origen y sin fin por esta calle que es otra versión del paraíso, fachadas, veredas, faroles, pavimento, ventanas, puertas, árbol seco, antenas, cables, porque desde aquí y resguardado por usted, todo esto no es otra versión del infierno como era la intemperie de las calles miserables que tuve que sufrir cuando huí de la Rinconada al darme cuenta de que todo estaba tramado no para centrarse en torno a Boy, sino para darme caza a mí, para pescarme, y huí, solo, al frío, sin facciones ya porque el doctor Azula sólo me dejó el veinte por ciento, disfrazado de mendigo por temor a que alguien reconociera mi mirada, y el frío y el hambre y la destitución y la miseria inalterables eran entonces los rostros enemigos en las calles a que me echaban a patadas las patronas de las pensiones cuando no pagaba porque no tenía con qué, vagando por el tiempo plano que se extendía ante mí, noche y día, noche y día siempre iguales, unos más inclementes que otros pero idénticos en su enemistad cuando vagaba no por los parques en la noche, no los parques con monumentos ecuestres y pérgolas y estanques, sino por los otros, los de la orilla de la ciudad, que son entre parque y potrero, terreno de nadie que nadie vigila y por eso en la noche los poblamos nosotros, encendiendo ruegos minúsculos para calentar las manos o el té, apagando la fogatita de hojarasca para que no nos descubran, ni nos descubramos unos con otros porque podemos matarnos.
Vous me prenez la main en sachant que j’ai peur de ne pas mourir, mais je n’ai pas toujours peur, mère Benita, je suis parfois exalté par la certitude que mon temps se prolongera sans commencement ni fin à travers cette rue qui est une autre version du paradis, des façades, des allées d’arbres, des lanternes, des pavés, des fenêtres, des portes, un arbre sec, des antennes, des câbles, car vu d’ici et sous votre protection, tout cela n’est pas une autre version de l’enfer comme les nuits à la belle étoile que j’ai dû passer dans des rues misérables en fuyant la Rinconada, quand je me suis rendu compte que tout était combiné non pas au bénéfice de Boy mais pour me pourchasser, pour m’attraper, et je me suis échappé dans le froid, sans plus de visage car le Dr Azula ne m’avait laissé que vingt pour cent, déguisé en mendiant de crainte qu’on ne me reconnût à mon regard, et il y eut le froid, la faim, la déchéance et une misère inaltérable qui se firent alors faciès ennemis dans les rues où me jetaient à coups de pied les patronnes des pensions où je n’avais pas payé parce que je n’avais pas de quoi, vagabond du temps plat qui s’allongeait devant moi, nuit et jour, nuit et jour toujours pareils, certains jours plus incléments que d’autres mais identiques par leur hostilité quand je vagabondais dans les parcs, la nuit, pas les parcs à monuments équestres, à pergolas et bassins, mais les autres, ceux des confins de la ville, mi-parcs mi-prés d’élevage, no man’s land que personne ne surveille, et c’est pourquoi nous les occupons la nuit, y allumant des feux minuscules pour nous réchauffer les mains ou faire bouillir le thé, puis éteignant ces petits feux de brindilles pour ne pas être découverts ni nous reconnaître les uns les autres, car nous pourrions nous entretuer.
No había nada digno de mención: tierra, hojarasca, tramos de hierba seca.
Il n’y avait rien d’intéressant : des détritus, des feuilles mortes, des carrés d’herbe desséchée.
Casi todos los buzones habían sido arrancados y el correo se amontonaba en el suelo del vestíbulo igual que la hojarasca.
La majeure partie des boîtes aux lettres avait été arrachée du mur et le courrier était dispersé par terre comme des détritus.
Nos encontramos al borde de la última hilera de tumbas, apostados sobre un ribazo desde el que se disfruta de una buena vista, formado por tierra excavada, detritus, hierbas y hojarasca podrida recogida en las avenidas y amontonada en ese lugar.
Nous voici à présent au bord de la deuxième rangée de tombes, postés sur un terre-plein – d’où l’on jouit d’une belle vue – constitué de terre retournée, de détritus, d’herbe et de vieux feuillages ramassés dans les allées et qu’on a entassés là.
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test