Translation for "guayacán" to french
Translation examples
En el centro de la plaza soñada habían dejado en pie unos pocos árboles finos que había en la mitad del monte: dos ceibas, un pino romerón, un comino, dos guayacanes blancos.
Au milieu de la place telle qu’ils l’imaginaient ils avaient laissé quelques rares arbres fins qui se trouvaient à mi-chemin de la colline : deux kapokiers, un pin romerón, un laurier comino et deux guayacans blancs.
no voy donde el médico Orduz porque estoy seguro que me recetaría un bastón, y yo, desde que era niño, asocié ese artefacto con la muerte: el primer muerto que vi, de niño, fue mi abuelo, recostado contra el aguacate de su casa, gacha la cabeza, el sombrero de paja cubriendo la mitad de su rostro, y un bastón de palo de guayacán entre las rodillas, las tiesas manos amarrando la empuñadura.
Pas question d’aller voir Orduz, le médecin, je suis sûr qu’il me prescrirait une canne, et moi, depuis l’enfance, j’associe cet objet avec la mort. Le premier mort que j’ai vu, enfant, c’est mon grand-père, assis contre l’avocatier, chez lui, la tête penchée, son chapeau de paille couvrant la moitié du visage et une canne en bois de guayacán entre les genoux, ses mains raides serrées sur la poignée.
La casona vieja de la hacienda, una construcción de dos pisos con paredes de tapia y techo en cañabrava, pintada abajo de rojo sangre y arriba de cal viva, pisos en tablones de madera noble (cedro, comino crespo, guayacán), balcones con varillas de macana, fogón y horno de leña, había sido construida a finales del XIX, pero ahora se usaba como dormitorio de jornaleros en las dos temporadas de cosecha de café, y se conservaba solamente como una curiosidad de otras épocas menos opulentas.
La vieille maison de l’hacienda, une construction à un étage aux murs de terre, toits de bambou, peinte de rouge sang et de chaux vive, aux planchers de bois nobles (cèdre, laurier, guayacan), aux balcons avec des fausses poutres, four et cheminée à bois, avait été construite à la fin du XIXe siècle, mais servait aujourd’hui de dortoir pour les saisonniers lors des récoltes de café et on la conservait comme une curiosité d’une autre époque, moins opulente.
De modo que mandaron a hacer una batea grande sobre medidas, de guayacán macizo, donde Fermina Daza bañaba al esposo con el mismo ritual de los hijos recién nacidos.
De sorte qu’ils firent faire sur mesure un énorme baquet en bois de gaïac massif où Fermina Daza donnait le bain à son époux avec le même rituel qu’à un nouveau-né.
Se le daban de maravilla los lambis:[4] arrancarlos de la concha, enjuagarlos con una salmuera secreta donde ponía un puñado de hojas de agar; ablandarlos con un mazo que ella misma había fabricado con una estaca de guayacán y servirlos tan tiernos que se deshacían en la boca, como si fuera cordero bañado en salsa.
Sa spécialité, les lambis. Elle n’avait pas sa pareille pour les tirer de leurs conques, les faire dégorger dans un bain de saumure et de feuille à bois d’Inde de sa composition, les battre avec une massue qu’elle avait fabriquée dans un morceau de gaïac et vous les servir souples et fondants comme de l’agneau dans une belle sauce amarante.
“Las van a usar para los cercos, como estacones, y como travesaños para algunos techos de las nuevas casas —me explicó Pilar—, como madera no sirven todavía, pero hay que despejar la tierra para las obras”. De algunos árboles de sombrío, guayacanes o algarrobos, sacarán madera para muebles, puertas y ventanas.
« On va les utiliser pour les clôtures, comme pieux, et comme poutres pour les toitures des nouvelles maisons, m’a expliqué Pilar, comme bois ça ne peut pas servir, mais il faut dégager la terre pour les travaux. » De quelques arbres d’ombrage, des gaïacs et des caroubiers, on tirera du bois pour des meubles, des portes et des fenêtres.
Enarbolaba brazos y piernas a todas las distancias. Creí ver en lugar de ella un insecto iridiscente: de pronto se puso de pie de un salto, un saltamontes esplendente, pero se transformó de inmediato nada más ni nada menos en sólo una mujer desnuda cuando miró hacia nosotros, y empezó a caminar en nuestra dirección, segura en su lentitud felina, a veces acobijada bajo la sombra de los guayacanes de su casa, rozada por los brazos centenarios de la ceiba, a veces como consumida de sol, que más que relumbrarla la oscurecía de pura luz, como si se la tragara.
Elle offrait bras et jambes à tout vent. Je crus voir à sa place un insecte iridescent. Soudain elle se releva d’un bond, telle une magnifique sauterelle, pour redevenir aussitôt une simple femme nue lorsqu’elle se tourna vers nous et s’avança, sûre de sa lenteur féline, tantôt à l’ombre des gaïacs, frôlée par les bras centenaires du kapokier, tantôt comme consumée par le soleil qui, au lieu de l’éclairer, l’obscurcissait de pure lumière et semblait l’avaler.
Andrés sale a la superficie por un costado de la Plaza de la Libertad. Esta es una gran explanada, amplia, con prados de un verdor esplendoroso y salpicada de árboles ornamentales (yarumos plateados, guayacanes, ficus, sauces, eucaliptos, laureles), con edificios modernos por los cuatro costados, y una estatua en el centro, la del gobernador Silvio Moreno, el gran ideólogo del Apartamiento, con su puño en alto y su frase más célebre labrada en bronce y puesta entre comillas debajo de sus pies calzados con botas de montar: «¡La separación es la única solución!». Una idea rústica y una rima grotesca, según la sensibilidad lógica y musical de Andrés Zuleta.
Andrés sort du métro place de la Liberté. C’est une grande esplanade, large, avec des pelouses d’un vert splendide, avec des arbres qui n’existent pas en zone T (yarumos argentés, gaïacs, ficus, saules, eucalyptus, lauriers). Elle est bordée d’immeubles modernes sur les quatre côtés et flanquée d’une statue en son centre, celle du gouverneur Silvio Moreno, le grand idéologue de l’Apartamiento, qui brandit le poing levé. Sa phrase célèbre est gravée dans le bronze et mise entre guillemets sous ses pieds chaussés de bottes de cavalier : « La séparation est la seule solution ! » Une idée rustique et grotesque selon la sensibilité logique et musicale d’Andrés Zuleta.
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