Translation for "guanábana" to french
Guanábana
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Perfumó el agua tibia con esencia de rosas, un manojo de hojas de guanábana y un puñado de violetas de España.
Dans de l’eau tiédie, mêlée d’essence de roses, elle mit à macérer des feuilles de corossol ainsi qu’une poignée de violettes d’Espagne ou des cosses de senti bon.
Alentaba el ingeniero proyectos grandiosos: talar árboles, exportar maderas preciosas para la vivienda y el mueble de los pudientes, cultivar la piña, la palta, la sandía, la guanábana y la lúcuma para los paladares exóticos del mundo, y, con el tiempo, un servicio de vaporcitos por los ríos amazónicos.
L’ingénieur nourrissait des projets grandioses : abattre des arbres, exporter des bois précieux pour le bâtiment et le mobilier des gens riches, cultiver l’ananas, l’avocat, la pastèque, le corossol et la sapote pour les palais exotiques du monde, et, avec le temps, un service de bateaux à vapeur sur les fleuves de l’Amazonie.
Pasé mucho tiempo descubriendo a Aura, aquella mujer extraña que se acostaba conmigo en las noches y comenzaba a soltar anécdotas propias o ajenas, y al hacerlo fabricaba para mí un mundo absolutamente novedoso donde la casa de una amiga olía a dolor de cabeza, por ejemplo, o donde un dolor de cabeza podía perfectamente saber a helado de guanábana.
J’ai mis longtemps à décrypter Aura, cette femme étrange qui passait ses nuits avec moi et me confiait peu à peu des anecdotes sur elle ou sur d’autres, me révélant un monde totalement inédit dans lequel la maison d’une amie pouvait sentir la migraine et où la migraine pouvait avoir un goût de glace au corossol.
Desde el segundo piso de la casa nueva, al otro lado del lago, podía dominarse un amplio huerto de árboles frutales, guanábanos, mangos, limoneros, ciruelos, guayabos, salpicado de ceibos centenarios y bordeado de esbeltísimas palmas reales y grandes árboles de sombra como búcaros, cámbulos, robles, madroños, pomos, gualandayes y castaños.
Du premier étage de la nouvelle maison, de l’autre côté du lac, on dominait un immense verger, corossols, manguiers, citronniers, cerisiers, goyaviers, parsemé de fromagers centenaires et bordé de sveltes palmiers royaux et de grands arbres ombrageux comme des magnolias, des érythrines, des chênes et des châtaigniers.
Ella ya caminaba rumbo a un infierno indígena que parecía una pintura de Frida Kahlo, pero sin la sangre, sin las espinas, sin el martirio, sin los quirófanos, sin los bisturís, sin los corsets de fierro, sin las amputaciones, sin los fetos, un infierno de flores solamente, de lluvias cálidas y perros pelones, un infierno colmado de pinas, fresas, naranjas, mangos, guanábanas, mameyes, limones, papayas, zapotes, a donde ella llegaría de pie, humilde y altiva a la vez, completa, curada, anterior a los hospitales, virgen de todo accidente, saludando a El Señor Xólotl, Embajador de la República Universal de Mictlan, Canciller y Ministro Plenipotenciario de la Muerte, es decir, de AQUÍ.
Elle était déjà en marche vers un enfer indigène qui ressemblait à une peinture de Frida Kahlo, avec le sang en moins, sans les épines, sans le martyre, sans les salles d’opération, sans les bistouris, sans les corsets de fer, sans les amputations, sans les fœtus, un enfer simplement empli de fleurs, de pluies chaudes et de chiens sans poils, un enfer débordant d’ananas, de fraises, d’oranges, de mangues, de corossols, de mammées, de citrons, de papayes, de sapotes, où elle arriverait à pied, à la fois humble et altière, complète, guérie, une Frida d’avant les hôpitaux, vierge de tout accident, saluant le Seigneur Xólotl, ambassadeur de la République universelle de Mictlán, chancelier et ministre plénipotentiaire de la Mort, c’est-à-dire, d’ICI.
No le costaba; le divertía ir al Parián en la Colonia Roma, rompía la rutina de la casa, que en verdad no era rutina, ella quería a su tía, adoraba a sus niños, le encantaba verlos crecer…, el mercado era una selva en miniatura, ahí estaban todas esas cosas que a ella le encantaban, las flores y las frutas, la variedad y abundancia de ambas en México, las azucenas y las gladiolas, las nubes y los pensamientos, el mango, la papaya y la vainilla en los que pensaba cuando hacía el amor, el mamey, el membrillo, el tejocote, la piña, la lima y el limón, la guanábana, la naranja, el zapote prieto y el chico zapote: el gusto, la forma, el sabor de los mercados la llenaba de alegría y de nostalgia por su niñez y su juventud.
au contraire, ça l’amusait d’aller au Parián dans la Colonia Roma, cela rompait la routine de la maison qui, au fond, n’était pas une routine, elle aimait sa tante, elle adorait ses enfants, elle était enchantée de les voir grandir… Le marché était une jungle en miniature, on y trouvait toutes les choses qu’elle aimait, les fleurs et les fruits, la variété et l’abondance des unes et des autres au Mexique, les lis, les glaïeuls, les pensées, la mangue, la papaye et la vanille auxquelles elle pensait quand elle faisait l’amour, l’abricot de Saint-Domingue, le coing, l’églantine, l’ananas, le citron et le citron vert, le corossol, l’orange, les différentes variétés de sapotille : le goût, la forme, l’odeur et la saveur des marchés la remplissaient de joie et de la nostalgie de son enfance et de sa jeunesse.
Los vinos franceses y el rudo tequila mexicano ayudaron a Liev Davídovich y a Natalia en el empeño de saltar del mole poblano a las puntas de filete a la tampiqueña, del pescado a la veracruzana a la consistencia rugosa de las tortillas, coloreadas y enriquecidas con pollo, guacamole, ajíes, jitomates, frijoles refritos, cebollas y cerdo asado al carbón, todo salpicado con el fogoso chile que clamaba por otra copa de vino o un trago de tequila capaces de aplacar el incendio y limpiar el camino hacia la degustación de aquellas frutas (mangos, pinas, zapotes, guanábanas y guayabas) pulposas y dulces, insuperables para coronar el festín de unos gustos europeos deslumbrados por texturas, olores, consistencias y sabores que se revelaban exóticos para ellos.
Les vins français et la rude tequila aidèrent Lev Davidovitch et Natalia à passer vaillamment du mole poblano aux filets de bœuf à la mode de Tampico, du poisson façon Vera Cruz à la consistance rugueuse des tortillas, ces galettes de maïs, hautes en couleur, avec leur garniture de poulet, de guacamole, de piments, de tomates, de haricots noirs mijotés, d’oignons et de porc grillé à la braise, le tout assaisonné avec le fougueux chile, qui exigeait un nouveau verre de vin ou une gorgée de tequila pour éteindre l’incendie et dégager le chemin avant de déguster ces fruits pulpeux et sucrés (mangues, ananas, sapotilles, corossols et goyaves), incomparables pour couronner le festin offert à des palais européens, émerveillés par l’exotisme des textures, des parfums, des consistances et des saveurs.
Sólo la fecha permanecía misteriosamente íntegra: 1919, sobre el alero desconchado y bajo el escudo vencido, en el vórtice de dos cornucopias que expulsaban al aire frutas tropicales —la inevitable piña, las guanábanas y anones, los mangos y el esquivo aguacate, ni fruta, ni vianda, ni verdura, y, donde otros hubieran colocado castillos o campos de azures, un cañaveral prodigioso al que se le rendía tributo, pues a él se debía, necesariamente, toda aquella riqueza de mansión, fecha y escudo frutal… Me gusta descubrir esos altos impredecibles de La Habana —segundas y hasta terceras plantas, frontones de un barroquismo trasnochado y sin retorcimientos espirituales, nombres de propietarios olvidados, fechas de cemento y lucetas de vidrios incompletas por las piedras y las pelotas y los años—, donde siempre pensé que había aire hasta el cielo.
Seule la date restait mystérieusement intacte : 1919, au-dessus de l’auvent décrépi, sous le blason vaincu, dans le tourbillon de deux cornes d’abondance qui expulsaient dans l’air des fruits tropicaux – l’inévitable ananas, les corossols, les anones et le revêche avocat, ni fruit ni viande ni légume, et, là où d’autres auraient placé des châteaux ou des champs d’azur, une prodigieuse plantation de canne à sucre à laquelle on rendait hommage, car c’était nécessairement à elle que tenait la richesse de la demeure, avec sa date et son blason fruitier… J’aime découvrir ces hauteurs imprévisibles de La Havane – deuxièmes, parfois troisièmes étages, frontispices d’un baroque épuisé et sans entortillements spirituels, noms de propriétaires oubliés, dates en ciment et carreaux aux verres manquants à cause des pierres, des ballons et des années – où j’ai toujours pensé qu’il y avait de l’air pur, jusqu’au ciel.
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