Translation for "fogoso" to french
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Translation examples
Son terriblemente fogosos.
Ils sont terriblement fougueux.
Parece un poco… fogoso.
Il a l’air du genre… fougueux.
¡Oh!, soy un pirata fogoso y fiero,
Oh, je suis un pirate fougueux et fier,
Las llamas se elevaron rápidas, fogosas.
Les flammes s'élevèrent rapides, fougueuses.
Ni Blafaphas ni Fleurissoire eran de temperamento fogoso;
Ni Blafaphas ni Fleurissoire n'étaient de tempérament bien fougueux ;
Es fogoso con las palabras, señor Lince, nada más.
Il est fougueux quand il parle, monsieur Lince, rien de plus.
¿Una fogosa relación con la chica más guapa del anfiteatro?
Une liaison fougueuse avec la plus jolie fille de l'amphithéâtre ?
Aquél no era el fogoso amante de los últimos meses.
Ce n’était plus là l’amant fougueux de ces derniers mois.
Hacía tiempo que los fogosos caballos habían desaparecido.
Les fougueux chevaux de cavalerie avaient disparu depuis longtemps.
Es un hombre fogoso y una sola mujer nunca le ha bastado.
C'est un homme fougueux, une seule épouse ne lui suffit pas.
Recordó a la morena y fogosa Verde, con su humor impetuoso y su temperamento impetuoso—.
Elle se remémora la sombre et farouche Verte, avec son humeur de vif-argent.
La bella vestida de amazona monta un caballo turco, blanco como la leche, muy fogoso y vivaz.
la belle en amazone monte un cheval turc, blanc comme le lait, fringant et vif au possible.
Cruzaron con paso firme el patio, un hombre moreno y grueso y otro enérgico y fogoso, y entraron en la cocina, donde un buen número de mujeres lavaban y preparaban comida con movimientos lentos y pausados.
Les deux hommes, l’un noir et lourd, l’autre flamboyant et vif, traversèrent la cour et entrèrent dans la cuisine. La cuisine était remplie de femmes qui, avec des mouvements lents, faisaient du lavage et préparaient à manger.
Beduier, con una capa bermeja nueva, permanecía al costado de su brida, y al otro lado cabalgaba la princesa Morgana, hermana de Arturo. Su montura era tan fogosa como dócil era la de Ginebra, pero la dominaba sin esfuerzo.
Bedwyr, vêtu d’une nouvelle cape de bure brune, restait à proximité de la jeune fille ; à ses côtés chevauchait la princesse Morgane, la sœur d’Arthur, qui maîtrisait sans peine son animal aussi vif que celui de Guenièvre était calme.
Todo lo que se esconde en este hombre hermético y frío, de instintos apasionados, rezuma en estas ocasiones, sale al exterior; y esos momentos de alegría aparente en la ira son, al mismo tiempo, los que descubren mejor su naturaleza subterránea y fogosa, mágica y diabólica.
Tout ce qui, dans cet homme fermé et réservé, se cache d’instincts passionnés, écume et mousse vivement en pareilles occasions, et ces moments de colère déguisée sous une apparente gaieté sont en même temps ceux qui révèlent le mieux ce qu’il y a d’infernal dans sa nature.
Fogoso, muy fuerte, quizá hasta obstinado (Gideon tenía que usar las rodillas para controlar a su caballo, que estaba siempre estremeciéndose y temblando y deseando salir con ímpetu hacia adelante, correr en libertad con o sin su amo en el lomo), quizá hasta peligroso.
Vif, apparemment très fort, peut-être même têtu (car Gideon devait se servir de ses genoux pour contrôler sa monture, qui ne cessait de frémir et de trembler, et de vouloir bondir en avant, pour s’échapper avec ou sans son maître sur son dos), peut-être même dangereux.
A pesar de su traje de tweed, de su acento americano y de viajar en un prosaico vagón de ferrocarril, tuve más que nunca la sensación, al contemplar su rostro moreno y expresivo, de que era un genuino descendiente de aquella larga sucesión de hombres de sangre ardiente, fogosos y autoritarios.
Assis dans le coin d’un prosaïque compartiment de chemin de fer avec son costume de tweed et son accent américain, il me donnait néanmoins, quand je scrutais son visage brun et sensible, l’impression qu’il était bien l’héritier de cette longue lignée de seigneurs à sang vif, farouche, dominateur.
pero a través de las rendijas daba gusto mirar. No era solamente que los platillos de la balanza produjesen un agradable sonido al caer sobre el mostrador. ni que el bramante se separase del carrete con viveza, ni que las cajas metálicas resonasen arriba y abajo como objetos de prestidigitación, ni que los olores mezclados del té y del café fuesen muy agradables al olfato, ni que las pasas fuesen abundantes y raras, las almendras exageradamente blancas; las tiras de canela largas y rectas, delicadas las otras especias, las frutas confitadas, envueltas en azúcar fundido, capaces de excitar el apetito y dar envidia a los más fríos espectadores. No era tampoco que los higos se mostrasen húmedos y carnosos, ni que las ciruelas francesas enrojeciesen con alguna acritud en sus cajas adornadas, ni que todo excitase el apetito en su aderezo de Navidad, sino que las parroquianas se apresuraban con tal afán en la esperanzada promesa del día, que se empujaban unas a otras a la puerta, haciendo estallar toscamente los cestos de mimbre, y dejaban los portamonedas sobre el mostrador y volvían corriendo a buscarlos, cometiendo cientos de equivocaciones semejantes, con el mejor humor posible; mientras el tendero y sus dependientes se mostraban tan serviciales y tan fogosos, que se comprendía fácilmente que los corazones que latían detrás de los mandiles no se regocijaban sólo por hacer buenas ventas, sino por el júbilo que les producía la Navidad. Pero pronto las campanas llamaron a las gentes a la iglesia o la capilla, y todos acudieron luciendo por las calles sus mejores vestidos y con la alegría en los rostros, y al mismo tiempo desembocaron por todas las calles, callejuelas y recodos incontables personas que llevaban sus comidas a las tahonas, para ponerlas en el horno.
mais que de belles choses se laissaient voir à travers ces étroites lacunes ! Ce n’était pas seulement le son joyeux des balances retombant sur le comptoir, ou le craquement de la ficelle sous les ciseaux qui la séparent vivement de sa bobine pour envelopper les paquets, ni le cliquetis incessant des boîtes de fer-blanc pour servir le thé ou le moka aux pratiques. Pan, pan, sur le comptoir ; parais, disparais, elles voltigeaient entre les mains des garçons comme les gobelets d’un escamoteur ; ce n’étaient pas seulement les parfums mélangés du thé et du café si agréables à l’odorat, les raisins secs si beaux et si abondants, les amandes d’une si éclatante blancheur, les bâtons de cannelle si longs et si droits, les autres épices si délicieuses, les fruits confits si bien glacés et tachetés de sucre candi, que leur vue seule bouleversait les spectateurs les plus indifférents et les faisait sécher d’envie ; ni les figues moites et charnues, ou les pruneaux de Tours et d’Agen, à la rougeur modeste, au goût acidulé, dans leurs corbeilles richement décorées, ni enfin toutes ces bonnes choses ornées de leur parure de fête ; mais il fallait voir les pratiques, si empressées et si avides de réaliser les espérances du jour, qu’elles se bousculaient à la porte, heurtaient violemment l’un contre l’autre leurs paniers de provisions, oubliaient leurs emplettes sur le comptoir, revenaient les chercher en courant, et commettaient mille erreurs semblables de la meilleure humeur du monde, tandis que l’épicier et ses garçons montraient tant de franchise et de rondeur, que les cœurs de cuivre poli avec lesquels ils tenaient attachées par-derrière leurs serpillières, étaient l’image de leurs propres cœurs exposés au public pour passer une inspection générale… de beaux cœurs dorés, des cœurs à prendre, si vous voulez, mesdemoiselles ! Mais bientôt les cloches appelèrent les bonnes gens à l’église ou à la chapelle ; ils sortirent par troupes pour s’y rendre, remplissant les rues, dans leurs plus beaux habits, et avec leurs plus joyeux visages.
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