Translation for "fijarse" to french
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Luego pasaron unos cuantos más. Con alivio, dedujo que la carretera ya estaba abierta. Tenía ganas de llegar al hotel. Se alejó de la franja que cubría la tejavana del edificio y, por último, echó un detenido vistazo a toda la panorámica de la plaza, en vez de fijarse en los detalles.
Puis d’autres encore. Ainsi, la rue était rouverte, se dit-elle avec soulagement, pressée d’arriver à son hôtel. Sortant de son retrait, elle eut enfin une vue d’ensemble de la place et soudain, cela lui apparut.
Entraron juntos en el edificio, y nadie pareció fijarse ni interesarse. El edificio estaba atestado de gente, como siempre, y Jack le dio un suave beso antes de salir del ascensor. Nadie se desmayó, gritó ni señaló.
Il n’y eut aucune réaction lorsqu’ils pénétrèrent ensemble dans le bâtiment. Le hall grouillait de monde, comme d’habitude. Et quand Jack embrassa discrètement Valerie en arrivant à son étage, personne ne s’évanouit, ne se mit à crier ou à les montrer du doigt. — Je t’appelle plus tard, promit-il. Il lui lança un sourire et sortit de l’ascenseur.
Éstos, en vez de mirar, de observar, hacia mí, «de fijarse en mí», del modo normal, efectuaban fijaciones súbitas y extrañas (en mi nariz, en mi oreja derecha, bajaban después a la barbilla, luego subían a mi ojo derecho) como si captasen, como si estudiasen incluso, esos elementos individuales, pero sin verme la cara por entero, sus expresiones variables, «a mí», como totalidad.
Au lieu de me regarder, de me fixer, de m’« appréhender » d’une manière normale, ses yeux se fixaient soudainement et étrangement sur moi – sur mon nez, mon oreille droite, mon menton, puis remontaient sur mon œil droit, un peu comme s’ils notaient (ou même étudiaient) ces aspects particuliers de ma personne sans voir l’ensemble de mon visage ni ses changements d’expression, sans me voir « moi », comme un tout.
Al parecer, a Melina, que después del traslado de los Sarratore, en general, se había comportado bien —un poco melancólica, eso sí, un poco distraída, pero en resumidas cuentas, sus rarezas se habían ido espaciando y hacía cosas inocuas, como cantar a voz en cuello mientras fregaba las escaleras de los edificios y echar cubos de agua sucia a la calle sin fijarse si pasaba alguien—, le había dado otra de sus crisis, una especie de locura de felicidad.
On apprit que Melina, qui depuis le déménagement des Sarratore s’était plutôt bien comportée – elle était un peu mélancolique et distraite, certes, mais dans l’ensemble ses bizarreries étaient devenues rares et inoffensives, du genre chanter à gorge déployée quand elle lavait les cages d’escalier ou jeter des seaux d’eau sale dans la rue sans faire attention aux gens qui passaient –, était en train de faire une nouvelle crise de folie, cette fois une folie du bonheur.
Victoria lo estaba pasando estupendamente con él, y entonces mencionó que uno de sus compañeros de piso trabajaba en el Instituto del Vestido y que estaba preparando una exposición nueva aquel día, así que después de comer decidieron pasar a hacer una visita a Harlan. Él se sorprendió de ver a Victoria y quedó impresionado por su nuevo amigo. Era imposible no fijarse en lo apuesto y rubio que era John y en su cuerpo absolutamente atlético, y, cuando Victoria los vio a ambos mirándose, confirmó su primera impresión sobre John.
Victoria se plaisait bien en sa compagnie. Elle fit allusion à Harlan, qui travaillait au Costume Institute ce jour-là, préparant une nouvelle exposition. Ils décidèrent de s’y rendre après le café. Déjà surpris de voir Victoria, Harlan sembla très impressionné par John Kelly. Impossible de ne pas remarquer la beauté blonde du jeune homme et son corps athlétique. Dès qu’elle les vit ensemble, la première impression de Victoria se confirma.
No es guapa, pensó, pero tampoco es fea, tiene las manos gastadas y fatigadas, no se pueden comparar con las mías, que son de oficinista que goza de vacaciones pagadas, y a propósito, mañana, si es que no he perdido la cuenta del tiempo, es el último día del mes, pasado mañana tendría que volver al trabajo, pero no, eso no puede ser, cómo iba a dejar aquí a José y a Joana, a Pedro y al perro, no tienen ningún motivo para querer acompañarme, y si me llevo a Dos Caballos tendrán grandes dificultades para volver a sus tierras, pero probablemente no quieren, lo único verdadero que existe en este momento sobre la tierra es que estamos aquí juntos, Joana Carda y José Anaiço hablan en voz muy baja, quizá sobre la vida de ambos, quizá sobre la vida de cada uno, Pedro Orce posa la mano en la cabeza de Piloto, deben de estar midiendo vibraciones y seísmos que sólo ellos sienten, mientras yo miro y sigo mirando a esta María Guavaira que tiene una manera de mirar que no es mirar sino mostrar los ojos, viste de oscuro, viuda a quien el tiempo ya alivió pero ennegrecida aún por la costumbre y la tradición, por suerte le brillan los ojos, y allí está la nube azul que no parece pertenecer a esta casa, el pelo es castaño, y tiene el mentón redondo, los labios carnosos, y los dientes, hace poco se los vi, son blancos, gracias a Dios, esta mujer realmente es bonita y yo no me había dado cuenta, estuve atado a ella y no sabía a quién, tengo que decidirme, regreso o me quedo aquí, aunque vuelva al trabajo con unos días de retraso no va a pasar nada, con esta confusión peninsular quién va a fijarse en los empleados que vuelven, se puede alegar la dificultad en los transportes, ahora parece vulgar, ahora más bonita, y ahora, ahora, al lado de María Guavaira Joana Carda no vale nada, la mía es mucho más hermosa, señor José Anaiço, o cree que se puede comparar su mujer urbana y lujosa con esta criatura silvestre que sabe qué sal traen los vientos por encima de los montes y debe de tener el cuerpo blanco bajo esas ropas, si ahora yo pudiese, Pedro Orce, te diría una cosa, Qué cosa me dirías, Que ya sé quién me gusta, Enhorabuena, hay quien tardó mucho más, o nunca llegó a saberlo, Conoces a alguien, Por ejemplo, yo, y tras responder así dijo Pedro Orce en voz alta, Voy a dar una vuelta con el perro.
Elle n’est pas jolie, songea-t-il, mais elle n’est pas laide non plus, ses mains sont abîmées et fatiguées, rien à voir avec les miennes, celles d’un employé de bureau qui jouit de ses congés payés, et à propos, si je ne m’abuse, nous sommes le dernier jour du mois, après-demain je devrais normalement reprendre le travail, mais non, ce n’est pas possible, comment pourrais-je abandonner ici José et Joana, Pedro et le chien, ils n’ont aucune raison de vouloir me suivre et, si je prends Deux-Chevaux, ils auront les plus grandes difficultés à rentrer chez eux, ce que d’ailleurs ils ne souhaitent sans doute pas, la seule chose qui existe pour le moment sur terre c’est que nous soyons ici tous ensemble, Joana Carda et José Anaiço qui discutent tout bas, de leur vie peut-être ou bien de la nôtre, Pedro Orce, une main posée sur la tête de Pilote, évaluant les vibrations et les séismes que plus personne ne sent tandis que je regarde et regarde encore cette Maria Guavaira qui a une façon bien à elle de regarder qui n’est pas regarder mais montrer ses yeux, veuve vêtue de noir que le temps a libérée déjà mais que l’habitude et la tradition continuent d’assombrir, par bonheur ses yeux brillent, et il y a aussi ce nuage bleu qui ne semble pas faire partie de cette maison, les cheveux sont bruns, le visage rond, les lèvres pleines, et les dents sont blanches, Dieu merci, je les ai vues tout à l’heure, cette femme est jolie en fin de compte et je ne m’en étais pas aperçu, j’étais lié à elle et j’ignorais à qui, il faut que je me décide, je rentre ou je reste ici, même si je reprends le travail avec quelques jours de retard on ne m’en voudra pas, d’ailleurs, avec cette confusion péninsulaire, qui donc va prêter attention aux retards des employés, on peut alléguer la difficulté des transports, ah maintenant elle est plus quelconque, maintenant plus jolie et maintenant, maintenant, à côté de Maria Guavaira, votre Joana Carda ne vaut rien, monsieur José Anaiço, la mienne est bien plus belle, voyons un peu si l’on peut comparer votre citadine vaniteuse avec cette créature sylvestre qui connaît certainement l’odeur du sel apporté par le vent qui vient de l’autre côté des montagnes et dont le corps doit être blanc sous ses vêtements, si je le pouvais, je te dirais bien quelque chose, Pedro Orce, Que me dirais-tu, Que je sais enfin qui aimer, À la bonne heure, certains mettent plus de temps encore ou ne le savent jamais, Tu connais quelqu’un, Moi, par exemple, et ayant ainsi répondu Pedro Orce dit à voix haute, Je vais faire un tour avec le chien.
Un bastardo tiene que aprender a fijarse en todo, a descubrir las verdades que la gente oculta tras los ojos.
Sa position scabreuse l’obligeait à deviner le dessous des choses, à déceler les vérités que les gens camouflent au fond de leurs yeux.
Creció mediante rezumantes oleadas de cubos que palpitaban a lo largo de su extensión, y que se hinchaban o se contraían antes de fijarse en sus posiciones definitivas.
Sa surface était parcourue d’ondes fluctuantes de cubes palpitants, qui s’enflaient ou se contractaient avant de se verrouiller dans leur position finale.
Entusiasmada por mi inesperado protagonismo, llegué incluso a olvidarme de presentar a mi amiga a Armando, que por otra parte no pareció fijarse en ella.
Grisée par la position centrale que j’occupais soudain, j’oubliai même de présenter mon amie à Armando, qui d’ailleurs ne sembla pas la remarquer non plus.
Yacía de costado, muy tiesa, acurrucada en posición fetal; los puños cerrados bajo la barbilla. Al observarla, Dirk no pudo evitar fijarse en el antebrazo izquierdo, donde aún relucía el jade—y—plata.
Elle était étendue tranquillement sur le côté, recroquevillée en position fœtale, les poings serrés sous le menton. Dirk sentit ses yeux attirés par son avant-bras gauche, la froide mise en garde du jade et de l’argent qu’elle portait toujours.
Mientras la Surprise volvía a su puesto Jack enfocó la escuadra francesa con el catalejo, aunque no lo necesitaba para ver las posiciones de los barcos, pues ya se veían sus cascos, sino para fijarse en los detalles de la jarcia, que le permitirían saber lo que pensaba Linois.
Alors que la Surprise était à la cape, Jack braqua sa lunette vers l’escadre française. Il n’en avait pas besoin pour voir leurs positions, car ils avaient tous la coque au-dessus de l’horizon. Mais le détail de leur gréement lui dirait peut-être ce que Linois avait en tête.
No respetó el ritual habitual: venir algunas veces, mantenerse al margen. Fijarse en las cosas. Mostrar humildad. Mostrar respeto.
Se fichait de la règle habituelle : venir quelquefois, se tenir à l’écart. Capter l’ambiance. Montrer de l’humilité. Montrer du respect.
Sabía que Juliet no quería que se «inmiscuyera»; las ideas, los planes de Zeno para todas las personas de su órbita eran tales que había tenido que fijarse como principio el mantenerse al margen.
Il savait que Juliet ne voulait pas qu’il « interfère » : Zeno avait toujours tant d’idées, de projets pour quiconque était dans son orbite qu’il devait se faire une règle de ne pas intervenir.
Porque dentro de la consulta, situada en el primer piso de uno de esos edificios, etcétera, tenemos al doctor Marco Carrera, que está prescribiéndole un medicamento a una vieja dama que padece blefaritis ciliar: colirio antibiótico, que le manda después de haberla sometido a un novedoso e incluso, podemos decir, revolucionario tratamiento a base de N-acetilcisteína aplicada al ojo, tratamiento que ya ha resuelto en otros pacientes suyos el problema más grave de esta enfermedad, que es la tendencia a cronificarse. Pero fuera de la consulta tenemos al destino, que se dispone a llevárselo por delante en la persona de un hombrecillo llamado Daniele Carradori, calvo y con barba, pero dotado de una mirada, podemos decir, magnética, que no tardará en fijarse en los ojos del oculista, infundiendo en ellos primero incredulidad, luego desconcierto y por último un dolor que su ciencia (la del oculista) no podrá curar.
À l’intérieur de son cabinet, au premier étage d’un de ces immeubles, etc., il rédige une ordonnance pour une patiente âgée atteinte de blépharite ciliaire : collyre antibiotique suite à un traitement innovant, révolutionnaire même, disons-le, à base de N-acétylcystéine instillée dans l’œil, qui, dans d’autres cas, a déjà réglé le principal problème de cette pathologie, à savoir sa tendance à devenir chronique. De l’autre côté de la porte en revanche, le destin s’apprête à bousculer la vie du docteur Marco Carrera par l’intermédiaire d’un petit monsieur qui répond au nom de Daniele Carradori, chauve et barbu, mais doté d’un regard – disons-le – magnétique, qui bientôt se concentrera sur les yeux de l’oculiste, y instillant d’abord l’incrédulité, puis le trouble et enfin une douleur devant lesquels sa science (celle de l’oculiste) sera impuissante.
—¿A qué se dedica? Los anuncios habían terminado y volvió a fijarse en la pantalla.
— Elle fait quoi ? La série d’annonces publicitaires venait enfin de se terminer et il porta à nouveau son attention sur l’écran de télévision.
Por pura formalidad, colocamos una lista de nombres en la «lista de centinelas», una de esas convenciones internacionales en las que nadie parece fijarse.
Pour la forme, nous avons placé une série de noms sur la "sentinel list" – l’une de ces conventions internationales dont personne ne semble se soucier.
Fijarse en un rostro, descomponerlo, reconstruirlo, hacer la suma de una serie de instantáneas… No el tuyo: eres demasiado guapo. No vale la pena.
Prendre un visage, le démolir, le reconstruire, faire la somme d'une série d'instantanés... Pas ton visage : tu es trop beau. Ce n'est plus la peine.
Una mañana se apostó tras la estatua dedicada a Pitarra, desde la que podía contemplar la entrada al caserón donde estaba ubicado su propio despacho y aguardó la salida de Biscuter, para seguirle a lo largo de una serie de compras normativas por los pequeños establecimientos del barrio, y luego el regreso a la madriguera con las bolsas de plástico colgándole de los bracillos y la lengua entre los dientes como para fijarse la dirección de la ascensión o la altura exacta de los escalones.
Un matin il se posta derrière le monument à Pitarra, d’où il avait vue sur l’entrée de la bâtisse qui abritait son propre bureau, et il attendit la sortie de Biscuter, qu’il suivit alors au long d’une série d’achats absolument normaux dans les petits commerces du quartier, puis jusqu’à son retour à la tanière, les sacs en plastique ballant au bout de ses bras maigrichons et la langue entre les dents comme pour s’indiquer la direction de l’ascension ou la hauteur exacte des marches à gravir.
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