Translation for "facilitándoles" to french
Facilitándoles
Translation examples
Él inclinó la cabeza, facilitándole el acceso a su nuca.
Donnell baissa la tête afin de lui faciliter l’accès de sa nuque.
—No estoy nada seguro de hacerle un favor a tu hijo facilitándole el camino para que consiga las tierras de Featherstone.
– Ce ne serait pas du tout rendre service à votre fils que de lui faciliter les moyens d’hériter de Featherstone.
Contaba con amigos en Salzburgo que serían felices facilitándole un comienzo. Mientras más pensaba en el asunto, más le gustaba.
Des amis de Salzbourg seraient trop heureux de lui faciliter ses débuts… Plus le chef de la police songeait à ce projet, plus il le trouvait à son goût.
Todos los hombres de Arturo cabalgaban en monturas semejantes, a las cuales hendían los ollares para ensanchárselos, facilitándoles así la respiración.
Tous les hommes d’Arthur montaient des grands chevaux de ce type au naseau largement fendu pour leur faciliter la respiration.
Después es todo eso que las historias me cuentan pero que yo no puedo contar como ellas, solamente fragmentos inciertos, hilaciones acaso falsas, el farol alumbrando la mesita plegadiza en el fondo del camión estacionado entre los árboles de un refugio, el chirrido de los huevos fritos, después del queso y el dulce Dilia mirándome como si fuera a decir algo y decidiendo que no diría nada, que no era necesario explicar nada para bajarse del camión y desaparecer bajo los árboles, yo facilitándole las cosas con el café ya casi listo y hasta una tacita de grapa, los ojos de Dilia que se iban cerrando entre trago y frase, mi descuidada manera de llevar la lámpara hasta el taburete al lado del colchón, agregar una cobija por si más tarde el frío, decirle que me iba adelante a cerrar bien las portezuelas por las dudas, nunca se sabía en esos tramos desiertos y ella bajando los ojos y diciendo sabes, no te vayas a quedar allí a dormir en los asientos, sería idiota, y yo dándole la espalda para que no me viera la cara donde a lo mejor había un vago asombro por lo que estaba diciendo Dilia aunque desde luego siempre sucedía así de una u otra manera, a veces la indiecita hablaba de dormir en el suelo o la gitana se refugiaba en la cabina y había que tomarla por la cintura y derivarla hacia adentro, llevarla a la cama aunque llorara o se debatiera, pero Dilia no, Dilia lentamente yendo de la mesa hacia la cama con una mano buscando ya el cierre de los jeans, esos gestos que yo podía ver en la historia aunque estuviera de espaldas y entrando en la cabina para darle tiempo, para decirme que sí, que todo sería como tenía que ser una vez más, una secuencia ininterrumpida y perfumada, el lentísimo traveling desde la silueta inmóvil bajo los faros en el viraje de la montaña hasta Dilia ahora casi invisible bajo las cobijas de lana, y entonces el corte de siempre, apagar la lámpara para que solamente quedara la vaga ceniza de la noche entrando por la mirilla trasera con una que otra queja de pájaro cercano.
Puis vient tout ce que les histoires me racontent mais que je ne peux pas raconter comme elles à part quelques bribes incertaines, quelques lambeaux peut-être faux, la lanterne éclairant la petite table pliante au fond du camion stationné entre les arbres d’une aire de repos, le grésillement des œufs sur le plat, Dilia, qui, après le fromage et le dessert, me regarde comme pour me dire quelque chose puis y renonce car il n’est pas nécessaire d’expliquer quoi que ce soit pour descendre du camion et disparaître sous les arbres, moi qui lui facilite les choses grâce au café presque prêt et même à une petite tasse d’eau-de-vie, les yeux de Dilia qui se ferment entre les gorgées et les phrases, ma façon de déplacer négligemment la lampe vers le tabouret près du matelas, d’ajouter une couverture pour si le froid plus tard, de lui dire que j’allais fermer comme il faut les portières avant au cas où, sait-on jamais sur ces tronçons déserts, elle qui baisse les yeux pour murmurer, tu sais ce n’est pas la peine que tu ailles dormir sur les sièges, ce serait idiot, et moi qui lui tourne le dos pour ne pas lui montrer mon visage où se lit peut-être un vague étonnement devant ce que me disait Dilia même si, bien sûr, les choses se passaient généralement comme ça d’une manière ou d’une autre, avec parfois la petite Indienne qui me parlait de dormir sur le sol ou la Gitane qui se réfugiait dans la cabine avant et qu’il fallait prendre par la taille, entraîner vers le fond et mettre au lit malgré sa résistance et ses larmes, mais pas Dilia, Dilia passant lentement de la table au lit, cherchant déjà d’une main la fermeture de son jean, gestes que je pouvais voir dans l’histoire alors que je lui tournais le dos et que j’entrais dans la cabine pour lui laisser le temps, pour me dire à moi-même que oui, une fois de plus tout serait, comme il se devait, une séquence ininterrompue et parfumée, un très lent travelling depuis la silhouette immobile dans les phares au virage jusqu’à Dilia presque invisible maintenant sous les couvertures de laine, et alors la coupure habituelle, éteindre la lampe pour qu’il ne reste que la cendre diffuse de la nuit pénétrant par la vitre arrière avec, par instants, la plainte proche d’un oiseau.
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