Translation for "etologia" to french
Etologia
Translation examples
Tienen miedo de lo «blando» de la etología.
Ils tentent de conjurer le flou dans lequel s’inscrit l’éthologie.
Aquí, bastan unos rudimentos de etología para poder interpretar todas las relaciones.
Ici, quelques rudiments d’éthologie suffisent pour interpréter toutes les relations.
Resumiendo, que nos cuelgan el sambenito de la antropomorfización, uno de los peores pecados de la etología.
C’est ainsi qu’ils nous marquent du sceau infamant de l’anthropomorphisme, l’un des plus grands péchés selon l’éthologie.
¿De qué manera restablecer, en el artificio y según los principios de la cultura, los impulsos del comportamiento distinguidos por la etología?
De quelle manière renouer dans l’artifice et selon les principes de la culture avec les forces comportementales distinguées par l’éthologie?
la etología le ha enseñado que los animales no poseen únicamente unos mecanismos instintivos automáticos, como resultaría cómodo creer, y no tiende, como Buffon, a descubrir una «distancia infinita» entre ellos y el hombre, sino más bien, como Linneo, a incluir simplemente a este entre los mamíferos.
l’éthologie lui a enseigné que les animaux n’ont pas uniquement des mécanismes instinctifs automatiques, comme il serait commode de le croire, et il n’incline pas, comme Buffon, à découvrir une « distance infinie » entre eux et l’être humain, mais bien plutôt, comme Linné, à intégrer simplement ce dernier parmi les mammifères.
Tal vez la mente y los sentidos de los niños estén conectados con otra realidad, esa desde la que vinieron hasta nosotros a través de los únicos túneles existentes que conectan mundos y dimensiones: los úteros…». Al cabo de unos minutos sonaría el timbre de entrada y tendríamos que penetrar de nuevo en las aulas donde treinta extraños de cráneos desproporcionados y ojos enormes nos esperaban para examinarnos, para manipularnos sabiamente, para investigar al detalle nuestra anatomía, nuestra psicología, nuestra etología, tal y como las manos expertas de los sabios manipularían una rata blanca…
Peut-être que l’esprit et les sens des enfants sont connectés à une autre réalité, celle dont ils proviennent, étant arrivés parmi nous par les seuls tunnels existant entre les mondes et les dimensions : les utérus… » Quelques minutes plus tard, cela allait sonner et nous allions retourner dans les salles où trente étrangers aux crânes disproportionnés et aux yeux énormes nous attendaient pour nous examiner, nous manipuler savamment, étudier en détail notre anatomie, notre psychologie, notre éthologie, comme si nous étions le rat blanc tripoté par les mains expertes des savants…
Es curiosa, de todos modos, la reputación del coma profundo… incluso entre los espíritus más abiertos… el confort, vamos, el confort moral al menos… el lado bueno de la conciencia… el lado sueño… desprendimiento… revoloteo por el negro terciopelo del olvido… ese tipo de imagen… con el pretexto de que el cerebro ha callado… prejuicios… cerebrocentrismo… como si los sesenta mil millones de células restantes fueran una nadería… sesenta mil millones de pequeñas fábricas moleculares, sí… constituidas por un solo cuerpo… súper Babel… Babel soberbia… y quisieran que eso muriese callando… de un solo golpe, de uno solo… pero sesenta mil millones de células mueren lentamente… un reloj de arena que te da tiempo de hacer el balance del mundo… antes de convertirse en un montón de células muertas… de células muertas en un montón, como una vieja olvidada en el rincón de una ventana… es la imagen que flotaba ahora en la noche de Benjamin… esa terrible vieja con esa terrible mirada atornillada en la cumbre… pero Benjamin recordaba la cárcel de Saint-Hiver, también, y más especialmente una celda de esa cárcel tan bonita, una celda de alto techo, profunda como el saber de un monje, toda forrada de libros… ¡oh!, no había nada glorioso en aquella biblioteca, todo era utilitario: diccionarios, enciclopedias, la colección completa de los Que sais-je?, del National Geographic, el Larousse, la Britannica, el Quién es quién mundano, el Robert, el Littré, el Alpha, Quid, ni una sola novela, ni un solo diario, manuales elementales de economía, de sociología, de etología, de biología, de historia de las religiones, de las ciencias y técnicas, ni un solo sueño, solo los materiales del sueño… y, al fondo de aquel pozo de ciencia, el soñador en persona, joven y sin edad, preservada belleza, la sonrisa vacilante ante el objetivo de Clara-fotógrafo, impaciente por volver a su trabajo, por zambullirse de nuevo en sus hojas, por abandonarse a aquella pequeña caligrafía aplicada, tan tranquilizadora, tan prieta, como si se tratara menos de llenar esas páginas que de cubrirlas de palabras (por delante y por detrás, sin márgenes, con las tachaduras hechas a regla)… y la voz de Saint-Hiver que se ha quedado en la puerta entornada: «Clara, vamos, deja trabajar a Alexandre»… y los últimos clichés de Clara para la papelera del escritor, desbordante de hojas no arrugadas… y en una de las ampliaciones de Clara, la frase tan buscada, tan huidiza: «La muerte es un proceso rectilíneo», sola entre todas las frases concurrentes, cuidadosamente tachadas, la frase elegida: «La muerte es un proceso rectilíneo»… colgada en el laboratorio fotográfico de Clara.
Curieux, tout de même, la réputation du coma dépassé… même chez les esprits les plus ouverts… le confort, quoi, le confort moral au moins… le bon côté de la conscience… côté rêve… détachement… pied volant au noir velours de l’oubli… ce genre d’images… sous prétexte que la cervelle s’est tue… préjugés… cérébrocentrisme… comme si les soixante mille milliards de cellules restantes comptaient pour du beurre… soixante mille milliards de petites usines moléculaires, oui… constituées en un seul corps… super Babel… Babel superbe… et on voudrait que cela meure en se taisant… d’un seul coup d’un seul… mais cela meurt lentement, soixante mille milliards de cellules… un sablier qui vous laisse le temps de dresser le bilan du monde… avant de devenir un tas de cellules mortes… de cellules mortes en tas, comme une vieille oubliée au coin d’une fenêtre… c’est l’image qui flottait dans la nuit de Benjamin, à présent, cette terrible vieille, avec ce terrible regard, vissé à son sommet… Mais Benjamin revoyait la prison de Saint-Hiver, aussi, et plus particulièrement une cellule dans cette si jolie prison, une cellule haute de plafond, profonde comme le savoir d’un moine, toute capitonnée de livres… oh ! rien de glorieux dans cette bibliothèque-là, que de l’utilitaire : dictionnaires, encyclopédies, collection complète des « Que sais-je ? », du National Geographie, Larousse, Britannica, Bottin mondain Robert, Littré, Alpha, Quid, pas un seul roman, pas un seul journal, manuels élémentaires d’économie, de sociologie, d’éthologie, de biologie, histoire des religions, des sciences et techniques, pas un seul rêve, rien que le matériau du rêve… et, tout au fond de ce puits de science, le rêveur en personne, jeune et sans âge, beauté préservée, le sourire hésitant sous l’objectif de Clara-photographe, pressé de se remettre à son travail, de plonger à nouveau dans ses feuilles, de s’abandonner à cette petite écriture appliquée, si rassurante, tellement serrée, comme s’il s’agissait moins de remplir ces pages que de les couvrir de mots (recto verso, pas de marges, ratures tirées à la règle)… et la voix de Saint-Hiver resté dans l’entrebâillement de la porte : « Clara, allons, laisse donc Alexandre travailler »… et les derniers clichés de Clara pour la corbeille à papiers de l’écrivain, débordant de feuilles non froissées… et sur un des agrandissements de Clara, la phrase tant cherchée, si fuyante : « La mort est un processus rectiligne »… toute seule parmi les phrases concurrentes, soigneusement rayées, la phrase élue : « La mort est un processus rectiligne »… pendue dans le labo photo de Clara.
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test