Translation for "entreno" to french
Translation examples
No te gustaba el entrena-
Tu n’aimais pas l’entraînement.
—¡No es un juego, se entrena!
— Ce n’est pas un jeu, c’est de l’entraînement !
Se entrenó vigorosamente.
Il s’est entraîné avec vigueur.
Pero aún me entreno.
Mais je continue à m’entraîner.
»“¡Así es como me entreno!
« “C’est comme ça que je m’entraîne !
Los entrené personalmente en Kabul.
Je les ai entraînés à Kaboul.
Pero lo cierto es que entrena duro.
Mais il s’entraîne dur.
De modo que él también se entrena.
Or c’est ainsi qu’il s’entraîne également.
¿Para qué narices entrenas?
Pourquoi t’entraînes-tu alors, hein ?
—Porque cuando entreno no puedo.
— Parce que je ne peux pas, quand je m’entraîne.
El Muro que están construyendo para que no entren refugiados de Tejas, porque con la valla no bastaba.
Le Mur qu’ils sont en train de construire pour arrêter les réfugiés tex-mex – les barbelés, ça n’a pas suffi.
Cuando el eslabón y el radio entren en contacto, la cadena se romperá y caerá sobre la carretera.
Quand maillon et rayon entrent en contact l’un avec l’autre, la chaîne saute et traîne sur la route.
Pienso en las ganas que tengo de estar con Dianne en el aeropuerto y en las poquitas que tengo de estar aquí cuando Nelly y algunos otros colegas de Franco entren en tromba por la puerta.
J’ai tellement envie d’être à l’aéroport avec Dianne, au lieu de traîner ici quand Nelly et les potes de Franco passeront les portes avec fracas.
Una vez, se turnaron montando en un burro y el voceador gritaba: «¡Entren y vean las ancas de Sally Rand!» Joe nos acompañaba a menudo.
Un jour, nous les trouvâmes en train de grimper sur un âne chacune leur tour tandis que le bonimenteur criait : « Venez voir Sally Rand les quatre fers en l’air ! » Joe nous rejoignait souvent.
Entren, señores, por favor… Señor comisario, porque si no me equivoco es el comisario Lucas a quien tengo el honor de hablar, tenga la bondad de registrar los bolsillos de este individuo a quien acabo de sorprender robando en mi casa o, mejor dicho… Pero ya le explicaré lo restante luego…
— Entrez, messieurs, je vous en prie... Monsieur le commissaire, car, si je ne me trompe pas, c'est au commissaire Lucas que j'ai l'honneur de parler? Veuillez donc fouiller les poches de cet individu que je viens de surprendre en train de cambrioler mon appartement... Ou plutôt... Mais je vous expliquerai le reste ensuite...
Te ibas a peinar, porque estás chascona, y al verme ensartas la peineta en las mechas grises de tu nuca, pero tus ojos borronientos de sueño se hacen precisos al fijarse en las cosas que te traigo: que la Iris me deje el visón, el astracán y el cofrecito aquí encima de mis sábanas revueltas, no vale la pena que entren los paquetes a mi celda, Mudito, ayúdenme a ponerme el visón encima de la bata y llevemos todos estos paquetes a la cocina, las viejas deben estar tomando desayuno.
Tu allais te peigner, car tu as les cheveux en désordre, et en me voyant tu fixes le peigne dans les mèches grises de ta nuque, mais tes yeux empâtés de sommeil retrouvent leur précision en tombant sur les affaires que je t’apporte : Iris n’a qu’à laisser le vison, l’astrakan et le coffret ici, sur mes draps défaits, ça ne vaut pas la peine de rentrer les paquets dans ma cellule, Mudito, aidez-moi à passer le vison par-dessus ma robe de chambre et portons tous ces paquets à la cuisine, les vieilles doivent être en train de prendre le petit déjeuner.
—¿Has leído en el periódico lo del otro día? El dueño de una gasolinera y su mujer, en algún sitio del centro del estado, estaban sirviendo a una cola de coches cuando a uno de ellos se le escapó el embrague y aplastó a la mujer contra el coche de delante. Me parece haber leído que le rompió una cadera, y mientras el marido la estaba atendiendo y pedía auxilio a los conductores, ellos, en lugar de ayudarle, cogieron las mangueras y se pusieron gasolina gratis. —Sí —dice Harry—, creo que lo oí por la radio, aunque es difícil creerlo. Y también lo de ese tipo de Pittsburgh que lleva siempre un par de calzos y monta sobre ellos las ruedas traseras para que entren en el depósito unos cuantos centavos más de gasolina. Eso es fanatismo.
— Tu as vu dans le journal, l’autre jour, dans une station-service, quelque part dans le centre de l’État, y avait toute une file de voitures qui faisaient la queue aux pompes, le patron et sa femme étaient en train de servir quand un des types a embrayé et a écrasé la bonne femme contre la voiture de devant, fracture de la hanche je crois, et pendant que le mari la soutenait et suppliait qu’on vienne à son secours, les salauds se sont emparés des pompes pour faire le plein à l’œil. — Ouais, dit Harry. Je crois que j’ai entendu ça à la radio, mais c’est un peu dur à avaler, non. Comme cette histoire du mec de Pittsburgh qui se trimballe avec deux grosses planches et qui grimpe dessus en marche arrière, histoire de fourrer quelques cents supplémentaires d’essence dans son réservoir.
Los relatos empezaban en primera persona del plural, invariablemente en un tono de burlona jovialidad que el jefe de redacción consideraba de buen tono: «Cuando nos enteramos de la nueva inspección policial de los colegios mayores (todas las semanas el departamento del Campo de Instrucción de Oficiales de Reserva inspeccionará las habitaciones de los hombres que viven en la Colina) esperábamos ver en todo el campus pancartas con inscripciones como “Abajo los militares”, “¡Impedid que los fascistas entren en nuestras habitaciones!”…» «El otro día compramos una auténtica piel de carnero sin teñir por la ridicula suma de cinco dólares…» «Uno de nuestros amigos, especializado en sociología por más señas, nos contó una anécdota la otra tarde. Parece ser que el domingo por la tarde tomó el tren en Nueva York…». Algunos textos eran hábiles y legibles, otros rezumaban socarronería, y ninguno se ajustaba a la prescripción de una revista «valientemente obscena» que había hecho E. Cummings.
Les faits relatés étaient toujours présentés à la première personne du pluriel, invariablement sur un ton de jovialité comique considéré comme urbain par l’éditeur : « Lorsque nous avons entendu parler de la nouvelle politique d’inspection des dortoirs (les étudiants logés sur la Colline verront leurs chambres inspectées chaque semaine par le département du R.O.T.C.[19]), nous nous sommes attendus à voir, tout au long du campus, des pancartes de protestation : “À bas l’armée !’’ ou “Sortez les fascistes de nos chambres !”… » « L’autre jour, nous avons acheté une authentique peau de mouton brute, pour la somme ridiculement basse de cinq dollars… » « Un de nos amis, étudiant en sociologie, si vous voulez le savoir, nous a raconté l’autre après-midi une histoire. Il semble qu’il ait pris le train de l’après-midi pour quitter New York un dimanche… » Il y avait des morceaux habilement écrits et lisibles, mais d’autres suintaient de malice, et aucun n’obéissait à la prescription de Cummings en faveur d’un magazine « intrépidement obscène ».
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