Translation for "entorpeciendo" to french
Entorpeciendo
Translation examples
Si sigue entorpeciendo la investigación, lo arresto.
Enfin, je vous arrête si vous continuez à entraver le cours de cette enquête.
Ni se adecuaba a los pasos de Carvalho ni imponía su propio ritmo andarín, y en sus bandazos a veces daba con un hombro en Carvalho o se quedaba adelantada y entorpeciendo el paso a su acompañante.
Elle ne s’adaptait pas à celui de Carvalho et n’imposait pas son allure de promeneuse et de temps à autre, dans sa démarche, elle heurtait l’épaule du détective ou se retrouvait devant lui, le gênant pour avancer.
Siguió frecuentando la iglesia los domingos, pero volvía en seguida a casa, porque ya no tenía con quién dejar a su hijo, y el niño lloraba mucho durante la ceremonia, entorpeciendo la concentración de los demás fieles.
Elle a continué à fréquenter l’église le dimanche, mais elle rentrait tout de suite chez elle – elle n’avait plus personne à qui laisser son fils, et le petit pleurait beaucoup durant la cérémonie, gênant la concentration des autres fidèles.
Acusaban al joven, además, de haber manipulado a Jeanne, para provocar una ruptura que había terminado en un juicio por la custodia de Sieva (favorable a los Trotski, por suerte) y para que interviniera en la investigación sobre la muerte de Liova, entorpeciendo la labor de la policía, más que ayudándola.
Ils accusaient le jeune homme d’avoir également manipulé Jeanne pour provoquer la rupture à l’origine du procès pour la garde de Sieva (heureusement favorable aux Trotski) et pour qu’elle intervienne dans l’enquête sur la mort de Liova, gênant le travail des policiers au lieu de le faciliter.
Se queda quieto junto al kiosco, entorpeciendo el paso de nuevos clientes, y mientras el primer trozo de chocolate se le derrite en la boca lee la plegaria en voz muy baja, empapándose, por el mero contacto con el billete, de un capital religioso que jamás ha tenido ni tendrá.
Il demeure immobile près du kiosque, gênant le passage des nouveaux clients, et tandis que le premier bout de chocolat fond dans sa bouche, il lit la prière à voix basse, s’imprégnant, par simple contact avec le billet, d’un capital religieux qu’il n’a jamais eu et n’aura jamais.
Los dos clientes de Manille estaban eligiendo ahora los taburetes del bar a la americana en el que, Rudy estaba dispuesto a apostar lo que fuese, no tomarían nunca ni una comida, ni se acodarían jamás para tomarse un café, prefiriendo la incómoda mesita que siempre les había servido hasta entonces y que encontrarían la manera de reintroducir como quien no quiere la cosa en la cocina totalmente nueva que Manille les habría instalado, y cuando, con ocasión de una visita de sus hijos, éstos se asombrasen y les riñesen poco menos por haber vuelto a colocar allí su vieja mesa grasienta, de ranuras llenas de migas, en la esquina de la barra, entorpeciendo así el acceso al frigorífico, se justificarían, pensó Rudy, arguyendo que era provisional y que eliminarían su querida mesa una vez que hubieran encontrado un determinado mueblecito que aún les faltaba para dejar, cuando regresaban de hacer la compra, las bolsas y los cartones.
Les deux clients de Manille en étaient maintenant à choisir les tabourets du bar américain sur lequel, Rudy était prêt à le parier, ils ne prendraient jamais le moindre repas, auquel ils ne s’accouderaient même jamais pour boire un café, préférant la petite table malcommode qui leur avait toujours servi jusqu’alors et qu’ils trouveraient le moyen de réintroduire en douce dans la cuisine toute neuve que Manille leur aurait installée, et quand, à l’occasion d’une visite de leurs enfants, ceux-ci s’étonneraient et les gronderaient presque d’avoir relogé leur vieille table graisseuse, aux rainures emplies de miettes, au coin du comptoir, gênant ainsi l’accès au réfrigérateur, ils se justifieraient, pensa Rudy, en arguant que c’était provisoire et qu’ils élimineraient leur chère table dès qu’ils auraient trouvé tel petit meuble qui leur manquait encore pour déposer, lorsqu’ils rentraient des courses, les sacs et les cartons.
Baja de hecho las escaleras de la escuela esa mañana, baja lento, entorpeciendo un poco el ímpetu con el que pretenden bajar sus compañeros, que rápidamente sofocan la mala noticia con la euforia de un feriado imprevisto, y cuando uno que baja lento como él, uno de los llamados cerebros de la clase, lo mira y, buscando su complicidad, porque él también, más allá del énfasis con que procura convencerse a sí mismo, desconfía de que esté creyendo en lo que hay que creer, le confiesa su alivio y para respaldar su alivio cita algo que le oyó decir a su padre o su tío a propósito de las catástrofes aéreas, que nunca suceden dos veces seguidas en un mismo país, menos en un mismo aeropuerto y menos aún en la misma compañía aérea, él ni siquiera puede devolverle la mirada, a tal punto siente el filo acerado de la muerte ya no sólo en lo que toca —el pasamanos de la baranda de la escalera, la manija de cuero del portafolios, el interior del bolsillo del pantalón, agujereado, por donde se obstina en rascarse con dos dedos el muslo para saber si su carne reacciona y sigue siendo humana—, sino en su propia boca, en las encías, en la saliva que traga, que siente cruzar el umbral de su garganta y caer y derramarse y teñir de muerte los rincones más secretos de su cuerpo.
Ce matin-là, il descend l’escalier de l’école, il le descend lentement, gênant quelque peu la précipitation avec laquelle aimeraient bien descendre ses camarades, qui ont rapidement remplacé la mauvaise nouvelle par l’euphorie d’un jour de congé imprévu, et lorsque l’un d’entre eux qui descend lentement comme lui, un de ceux qu’on appelle les cerveaux de la classe, le regarde et, cherchant sa complicité, car lui aussi, au-delà de la persuasion avec laquelle il tente de se convaincre, n’a pas l’impression d’être en train de penser ce qu’il faudrait penser, lui avoue son soulagement et pour épauler son soulagement il parle de quelque chose que son père ou son oncle a dit à propos des catastrophes aériennes, à savoir qu’elles ne surviennent jamais deux fois de suite dans un même pays, encore moins dans un même aéroport et enfin beaucoup moins dans la même compagnie aérienne, il ne parvient même pas à lui renvoyer son regard, tellement il sent le tranchant acéré de la mort pas seulement dans ce qu’il touche – la main courante de la rampe de l’escalier, la poignée de cuir du cartable, l’intérieur de la poche trouée de son pantalon à travers laquelle il s’obstine à se gratter la cuisse avec deux doigts pour vérifier si sa chair réagit et continue à être humaine – mais aussi à l’intérieur de sa propre bouche, sur ses gencives, dans la salive qu’il avale, qu’il sent traverser le seuil de sa gorge, tomber et se répandre et teindre de mort les recoins les plus secrets de son corps.
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