Translation for "empequeñecerse" to french
Translation examples
Todo lo que mira, incluida la cara de su hijo, se aleja de él sin empequeñecerse.
Tout ce qu’il regarde, y compris le visage de son fils, s’éloigne de lui sans rapetisser pour autant.
la cabeza se le iba enfermando, parecía empequeñecerse y envejecer para alimentar la mirada.
sa tête était douloureuse, elle semblait rapetisser, vieillir, pour nourrir son regard.
Taj el-Molk pareció empequeñecerse y miró al suelo, falsamente afligido.
Taj el-Molk parut rapetisser et fixa le sol, faussement affligé.
Los objetos que flotaban en aquella sutil película móvil suspendida sobre su cabeza dejaron de empequeñecerse durante un momento.
Les objets qui flottaient au-dessus de sa tête cessèrent un instant de rapetisser.
Desde la ventana del motel vio empequeñecerse los faros del coche mientras Belknap se alejaba, hasta que fueron apenas dos puntos de luz, y luego sólo un recuerdo.
À travers la fenêtre de sa chambre de motel, elle regarda les feux arrière de la voiture de Todd rapetisser tandis qu’il s’éloignait, jusqu’à ce qu’ils ne soient plus que des têtes d’épingle, puis rien de plus qu’un souvenir.
El padre volvió a callarse, se quedó como suspendido en sus recuerdos, después se replegó sobre sí mismo, pareció empequeñecerse, adelgazar, y Jed tuvo conciencia de la fogosidad, del entusiasmo con que había hablado durante los últimos minutos.
Son père se tut à nouveau, resta comme suspendu dans ses souvenirs, puis se tassa sur lui-même, parut se rapetisser, s’amenuiser, et Jed prit alors conscience de la fougue, de l’enthousiasme avec lesquels il avait parlé pendant ces dernières minutes.
Una vez, en casa de mi tío, encontré a Glanz, Abel Glanz, un hombre diminuto, andrajoso y mal afeitado, que se encogía aterrorizado cuando uno se dirigía a él. Tenía la facultad de empequeñecerse automáticamente, gracias a algún misterioso mecanismo de su naturaleza.
Une fois, je rencontrai Glanz chez mon oncle, Abel Glanz, un petit homme mal rasé, aux vêtements râpés, qui, timide, s’affaissait sur lui-même quand on lui adressait la parole et possédait la faculté de rapetisser automatiquement, par je ne sais quel mécanisme mystérieux de sa nature.
Es la forma más común del aura, continuaba Ziegler, efectos luminosos como si estallaran fuegos artificiales dentro de los ojos, y también las cosas, los objetos tienen contornos luminosos, o brillantes por lo menos, ¿verdad?, como si estuvieran rodeados por un cable eléctrico a través del que se viera pasar la electricidad… pero los síntomas del aura, antes de que llegue la emperatriz o mientras le esté visitando, son infinitos… alucinaciones sensoriales de variado tipo, turbulencias emotivas con emociones intensísimas y sin embargo indefinibles, imposibles de contar, de comunicar a los demás… en cierto modo se parecen al éxtasis, y hay a quien pueden llegar a proporcionarle placer… quién sabe, tal vez muchos místicos sufrieran hemicráneas espantosas… y además alteraciones de la visión, de la percepción de los objetos y de las figuras, con efectos de distorsión o de agigantamiento de la imagen, qué sé yo… una persona a la que ve empequeñecerse delante de usted, o bien crece, crece en un instante ante sus ojos como se ve en ciertos documentales de botánica, los habrá visto, donde un objetivo se coloca durante un semana delante del capullo de una flor y usted ve abrirse la corola en pocos segundos al haber sido aumentada la velocidad de la imagen… Lewis Carroll sufría hemicráneas espantosas y describió muy bien estos efectos ópticos en su Alicia… por lo demás era un matemático y entendía de lógica, supo relatar con lógica sus síntomas, aunque a nosotros nos parezca una lógica fantástica… y además están las alucinaciones sonoras… por lo general son ruidos, silbidos, zumbidos, murmullos, con una sonoridad más oscura o más cristalina, eso depende, puede ser el retumbo de un trueno o el gorgoteo de una fuente… pero pueden ser voces también, muchas voces que nos llegan… la casuística más frecuente es la de voces familiares, que forman o formaron parte de nuestra vida o que en todo caso escuchamos lo suficiente como para almacenarlas en nuestro depósito de recuerdos… pero pueden ser también voces absolutamente desconocidas, artificiales, se las inventa nuestro cerebro, las produce él.
C’est la forme la plus commune d’aura, avait continué Ziegler, des effets lumineux comme si des feux d’artifice éclataient dans les yeux, même les choses, les objets ont des contours lumineux, ou pour le moins brillants, pas vrai ?, comme s’ils étaient entourés d’un fil électrique dans lequel on verrait circuler l’électricité… mais les symptômes d’aura, avant que l’impératrice n’arrive ou tandis qu’elle est en train de vous visiter, sont infinis… hallucinations sensorielles de types variés, turbulences émotives avec des émotions très intenses et pourtant indéfinissables, impossibles à raconter, à communiquer aux autres… elles ont quelque chose de l’extase, et peuvent même procurer du plaisir à certains… qui sait, peut-être que de nombreux mystiques ont souffert d’épouvantables céphalées… en outre, des troubles de la vision, de la perception des objets et des figures avec des effets de distorsion ou de gigantisme de l’image, que sais-je… une personne est devant vous que vous voyez rapetisser, ou alors elle grandit, grandit en un instant sous vos yeux comme on l’observe dans certains documentaires sur la botanique, vous en avez probablement vu, où un objectif a été placé durant une semaine devant une fleur en bouton et on la voit s’ouvrir en corolle en quelques secondes du fait que la vitesse de l’image a été accélérée… Lewis Carroll souffrait de migraines épouvantables et décrivit très bien ces effets optiques dans son Alice… du reste il était mathématicien et s’y connaissait en logique, il a su raconter ses symptômes avec logique, même si ça nous paraît une logique fantastique… et puis il y a les hallucinations sonores… d’habitude ce sont des bruits, des sifflements, des bourdonnements, des gargouillements avec une sonorité plus ou moins sombre ou plus ou moins cristalline, ça dépend, ça peut être le grondement d’un tonnerre ou le crépitement d’une cascade… mais ça peut aussi être des voix, beaucoup de voix qui arrivent… la plus fréquente est statistiquement celle des voix familières, qui font ou firent partie de notre vie, ou que nous écoutâmes en tout cas suffisamment pour les emmagasiner dans notre dépôt de souvenirs… mais cela peut aussi être des voix absolument inconnues, artificielles, et c’est alors notre cerveau qui les invente, qui les produit.
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