Translation for "dios me oiga" to french
Translation examples
¡Ojalá Dios me oiga y me castigue!
Que Dieu m’entende et me punisse !
Dios te oiga, Dick —respondió el doctor, conmovido—.
– Dieu t’entende, Dick, répondit le docteur d’une voix émue.
—Volverán —decretó la vecina—. No lo dudo ni por un instante. —¡Dios te oiga!
“Ils reviendront”, décréta ma voisine. “Je n’en doute pas un instant.” “Dieu t’entende !”
Dios te oiga —dijo Bill, utilizando una de las frases preferidas de Harry.
Bill lui emprunta une de ses expressions favorites : « Dieu t'entende.
—También me ha dicho eso a mí. ¡Dios te oiga! —¡Que Dios destruya sus casas! Han hecho que me flaqueen las rodillas.
— On m’a dit ça aussi, Dieu t’entende ! — Ils m’ont scié les genoux, ces salauds !
—Y si no nos encuentra en el canal, nos buscará en todo el manglar… —Dios te oiga. 9:12 a.m. —¡Hey, Jimmy!
– Et s’il ne nous trouve pas sur le canal, il nous cherchera dans toute la mangrove… – Dieu t’entende. 9 h 12 – Hé, Jimmy !
Dios te oiga —respondió su abuela, tras lo cual escupió tres veces en rápida sucesión. —Bueno, dejemos el tema del nombre —intervino Jill al tiempo que daba unas palmadas—. ¿Alguien quiere un poco más de descafeinado?
— Dieu t’entende, lui répliqua sa grand-mère, avant de cracher trois fois, coup sur coup. — Assez parlé des prénoms ! décréta Jill en frappant dans ses mains. Quelqu’un reprendra du déca ?
De momento solo llevo a novilleros, poca cosa. A ver si alguno se me convierte en figura y me llena de fajos de esos, Dios te oiga, preciosidad’. De nuevo me chirrió ese vocativo, habría desarrollado vulgaridad.
Pour le moment, je ne suis que le manager de quelques novilleros, ce n’est pas grand-chose. On ne sait jamais, l’un d’eux peut devenir un dieu de l’arène et me remplir les poches, que Dieu t’entende, ma beauté. » À nouveau, cette façon de m’appeler me fit tiquer, il tombait dans la vulgarité.
Yo sentía esos golpes en el estómago, la tenaza invisible, mi propio monstruo de Loch Ness que empezaba a emerger y cerraba los ojos, tratando de fugarme, de ir muy lejos, pero cuando mis alucinaciones terminaban y regresaba a la mesa él seguía ahí, opinando sin parar, pasando un bocado de arroz precipitadamente para no perder el hilo, diciendo frases que en su boca sonaban falsas aunque pudieran ser ciertas, ideas que, dichas por él, eran puras pendejadas: que en Colombia los terroristas se habían vuelto estrellas de la farándula, que todos querían hacerse fotos con ellos, que era increíble que alguien siguiera hablando de negociar, que la silla vacía de Tirofijo con Pastrana era el símbolo de la burla y la falta de principios, y repetía enardecido, concentrando la sangre en las mejillas, lo que aquí se necesita es mano dura, así haya que hacer un sacrificio, y si no miren el caso de Chile, que es hoy ejemplo en América Latina, aquí hay que pegar un timonazo, cambiar de carril y hacerlo con decisión, sentido del deber y amor a la patria, y mamá, sintiéndose obligada a confirmar lo que él decía, como si los estuvieran filmando en un alucinado show de Gran Hermano o programa de concurso de las tardes, le decía, ay, Alberto, dios lo oiga, Álvaro Uribe es el único que no habla de tratos ni de regalarle el país a la guerrilla, sino todo lo contrario, quiere darles bala, el único lenguaje que los terroristas entienden, bala y más bala, él les va a hacer frente, virgen santa, y ojalá que los otros sinvergüenzas, hijos de papi y vendepatrias, se vayan.
Je sentais des coups dans l’estomac, une tenaille invisible, mon propre monstre du Loch Ness qui commençait à émerger, je fermais les yeux et tentais de m’enfuir, de partir très loin, mais lorsque mes hallucinations cessaient et que je revenais à table, mon père était toujours là, à déblatérer, ne s’interrompant que pour avaler précipitamment une bouchée de riz et ne pas perdre le fil, il débitait des phrases qui sonnaient faux dans sa bouche même si elles comportaient une part de vérité, des idées qui, énoncées par lui, étaient de pures conneries : qu’en Colombie les terroristes étaient devenus des vedettes du show-business, que tout le monde voulait se faire photographier avec eux, que c’était incroyable qu’on continue de parler de négocier avec eux, que la chaise vide de Tirofijo3 avec Pastrana était le symbole de la duperie et de l’absence de principes, et il répétait en s’échauffant, les joues en feu, qu’il fallait une poigne de fer et faire des sacrifices, s’inspirer du cas chilien, un exemple aujourd’hui en Amérique latine, donner un coup de barre à droite, changer de cap avec décision, sens du devoir et amour de la patrie, et ma mère, se sentant obligée d’approuver ce qu’il disait comme s’il était filmé dans un show halluciné de la série Big Brother, ou une émission de jeux de l’après-midi, lui disait, ah ! Alberto, Dieu t’entende, Álvaro Uribe est le seul à ne pas parler de négociations ni offrir le pays à la guérilla, il veut au contraire leur donner des balles, le seul langage que les terroristes connaissent, des balles, encore des balles, il va les affronter, sainte Vierge, et il faut espérer que les autres salauds, tous ces fils à papa et traîtres à la patrie, s’en iront.
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