Translation for "diluirlos" to french
Translation examples
—No debería poner hielo en esto. Es muy fino como para diluirlo. ¿Quieres un sorbo?
« Je ne devrais jamais mettre de glace là-dedans : c’est une liqueur trop raffinée pour qu’on la dilue, ça a un parfum si délicat. Tu n’en veux pas une gorgée ?
—No —repuso Piper—. Obtura el plumín. Intenté una vez diluirla con tinta corriente, pero no me sirvió de nada.
— Non, dit Piper, elle bouche la pointe. J’ai essayé de la diluer avec de l’encre ordinaire, mais cela ne marchait toujours pas.
y, si se chupa el dedo, lo hace precisamente para diluirlo, para transformarlo en una pasta engomada que obture el agujero de su boca.
et s’il suce son doigt, c’est précisément pour le diluer, pour le transformer en une pâte collante qui obturera le trou de sa bouche.
El aura de amor y satisfacción que les rodeaba era más difícil de soportar en dosis concentradas, cuando no había nadie alrededor de ellos para diluirla.
L’aura d’amour et de bien-être qui entourait le couple était plus délicat à absorber en doses concentrées, lorsqu’il n’y avait personne alentour pour les diluer.
Para tratar de diluirlo, para pensar en otra cosa, Max se levantó y se dirigió hacia el bar, desequilibrado por los movimientos del tren y asiéndose a la parte superior de los asientos.
Pour tenter de la diluer, pour s'occuper un peu, Max quitta sa place et se dirigea vers le bar, déséquilibré par les mouvements du train, s'accrochant aux montants des sièges.
Todd sacaba entonces la fregona del armario y empezaba a pasarla febrilmente por el suelo a un lado y a otro, sabiendo que no conseguiría limpiar la sangre, que sólo conseguiría diluirla y extenderla por toda la cocina, pero incapaz de detenerse.
Todd arracha le balai 0 Cedar du placard et le passa sur le sol comme un insensé, voyant qu’il n’arrivait pas à éponger le sang mais seulement à le diluer, à le répandre plus loin, il était pourtant incapable d’arrêter.
Saco mis beneficios del Banco de la Tabla de Madera y vuelvo a depositar los billetes doblados en mi portadocumentos, que guardo a su vez dentro de mi chaqueta de esquí, con el pensamiento de que, si bien los ricos no tienen más posibilidades de nacer idiotas que los pobres, crecer en un entorno rico intensifica la estupidez mientras que una niñez marginal ayuda a diluirla, aunque solo sea por una cuestión darwinista.
Je retire l’intégralité de mes actifs de la Banque du Plancher et effectue immédiatement un dépôt de la liasse de billets dans la pochette de mon passeport, que je glisse à l’intérieur de ma veste de ski en méditant sur ce fait : bien que les riches ne soient pas davantage susceptibles de naître idiots que les pauvres, une éducation bourgeoise aggrave une idiotie innée tandis qu’une enfance misérable la dilue, ne serait-ce que pour des raisons darwiniennes.
«Coincidencia perfecta entre lo vivido y la expresión literaria.» No es otra cosa que una variante del eslogan de Sainte-Beuve: «Literatura inseparable de su autor». Eslogan que recuerda: «La unidad de la vida y de la obra». Lo cual evoca la célebre fórmula falsamente atribuida a Goethe: «La vida como una obra de arte». Estas mágicas locuciones son a la vez perogrulladas (por supuesto, lo que hace el hombre es inseparable de él), antífrasis (inseparable o no, la creación supera a la vida), tópicos líricos (la unidad de la vida y de la obra «siempre buscada y por todas partes esperada» se presenta como estado ideal, utopía, paraíso perdido por fin reencontrado), pero, sobre todo, delatan el deseo de negar al arte su estatuto autónomo, de relegarlo adonde ha salido, a la vida del autor, de diluirlo en esa vida, y de negar así su razón de ser (si una vida puede ser obra de arte, ¿para qué las obras de arte?).
« Coïncidence parfaite entre le vécu et l’expression littéraire. » Ce qui n’est qu’une variante du slogan de Sainte-Beuve : « Littérature inséparable de son auteur. » Slogan qui rappelle : « L’unité de la vie et de l’œuvre. » Ce qui évoque la célèbre formule faussement attribuée à Goethe : « La vie comme une œuvre d’art. » Ces locutions magiques sont à la fois lapalissade (bien sûr, ce que l’homme fait est inséparable de lui), contrevérité (inséparable ou non, la création dépasse la vie), cliché lyrique (l’unité de la vie et de l’œuvre « toujours cherchée et partout espérée » se présente comme état idéal, utopie, paradis perdu enfin retrouvé), mais, surtout, elles trahissent le désir de refuser à l’art son statut autonome, de le repousser là d’où il est surgi, dans la vie de l’auteur, de le diluer dans cette vie, et de nier ainsi sa raison d’être (si une vie peut être œuvre d’art, à quoi bon des œuvres d’art ?).
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