Translation for "deslumbramiento" to french
Deslumbramiento
Translation examples
le causaron un deslumbramiento.
 » lui causèrent un éblouissement.
había en él horror y deslumbramiento.
il en avait l’horreur et l’éblouissement.
la segunda, de deslumbramiento.
la seconde, l’éblouissement.
Sintió como un deslumbramiento.
Il eut comme un éblouissement.
Los demás historiadores han sufrido un cierto deslumbramiento, y en este deslumbramiento andan a tientas.
Tous les autres historiens ont un certain éblouissement, et dans cet éblouissement ils tâtonnent.
Era como una especie de deslumbramiento.
C’était comme une sorte d’éblouissement.
Reflejos, deslumbramiento. Calor.
Reflets, éblouissement. Chaleur.
¡Ah! ¡Ese deslumbramiento en las tinieblas!
Ah ! cet éblouissement dans ces ténèbres !
Se habían activado pantallas protectoras contra el deslumbramiento y la radiación de los motores.
Des boucliers avaient été soigneusement positionnés pour filtrer l’éclat et la radiation des moteurs.
Llegamos a la sombra de la armería y abrí los ojos agradecido tras el deslumbramiento de los patios abiertos.
Nous pénétrâmes dans l’armurerie ombreuse et mes yeux, soulagés après l’éclat des terrains à l’air libre, purent se rouvrir normalement.
Supuso que los cascos eran para atenuar un deslumbramiento que aún no había visto… un resplandor inimaginable, la luz cegadora de la creación… pero ¿qué podía protegerte de eso? Cogió el traje de su estantería y se lo puso, sin duda un gesto inútil, pero le hizo sentirse menos vulnerable. Después salió al aire fresco.
Les casques, pour diffuser une lueur invisible pour l’instant – radiance inimaginable, éclat aveuglant de la création. Comme si on pouvait s’en protéger. Il descendit la combinaison de son étagère et l’endossa. Geste inutile, sans doute, mais réconfortant. Puis il sortit.
Rodney lo recordaba todo como envuelto en una neblina de sueño, el Chinook en que viajaba descendiendo primero sobre el mar y luego sobre la arena y por fin en círculos sobre un puñado de huertos intactos mientras los campesinos corrían hacia la plaza del pueblo, presas del pánico a causa de las voces perentorias que escupían los altavoces, el helicóptero aterrizando junto a un camposanto y luego el fogonazo de sol en el cielo ejemplarmente azul y el deslumbramiento de las flores en los alféizares y un clamoreo difuso o remoto de gallinas o niños en el aire cristalino de la mañana mientras los soldados se dispersaban por una impecable geometría de calles desiertas hasta que en algún momento, sin saber muy bien cómo ni por qué ni quién lo había iniciado, se desencadenó el tiroteo, primero se oyó un disparo aislado y casi enseguida ráfagas de ametralladora y más tarde gritos y explosiones, y en sólo unos segundos una tormenta enloquecida de fuego pulverizó la quietud milagrosa del pueblo, y cuando Rodney se dirigía hacia el lugar donde imaginaba que se había entablado el combate oyó a su espalda un rumor multitudinario de fuga o acecho y se volvió y dio un grito de furia y de espanto y empezó a disparar, y luego siguió gritando y disparando sin saber por qué gritaba ni hacia dónde ni a quién disparaba, disparando, disparando, disparando, y también gritando, y cuando dejó de hacerlo lo único que vio frente a él fue un amasijo ininteligible de ropa y pelo empapados de sangre y manos y pies minúsculos y desmembrados y ojos sin vida o todavía suplicantes, vio una cosa múltiple, húmeda y escurridiza que rápidamente huía de su comprensión, vio todo el horror del mundo concentrado en unos pocos metros de muerte, pero no pudo soportar esa visión refulgente y a partir de aquel momento su conciencia abdicó, y de lo que vino luego sólo guardaba un vaguísimo recuerdo onírico de incendios y animales destripados y ancianos llorando y cadáveres de mujeres y niños con las bocas abiertas como vísceras al aire.
Rodney se souvenait de tout comme dans un rêve brumeux : le Chinook qui le transportait survolant d’abord la mer, puis le sable pour finalement faire des cercles au-dessus de quelques champs paisibles, tandis que les paysans couraient vers la place du village, paniqués par les voix péremptoires que crachaient les haut-parleurs, l’atterrissage de l’hélicoptère près d’un cimetière puis le soleil aveuglant dans le bleu exemplaire du ciel et l’éclat des fleurs sur les rebords des fenêtres et une clameur diffuse ou lointaine de poules ou d’enfants dans l’air cristallin du matin pendant que les soldats se dispersaient à travers une impeccable géométrie de rues désertes jusqu’au moment où, sans qu’on sache très bien comment, ni pourquoi, ni qui en était l’initiateur, une fusillade éclata, un coup isolé d’abord puis, presque aussitôt, des rafales de mitraillette et, plus tard, des cris et des explosions, et en quelques secondes seulement une folle tempête de feu pulvérisa la miraculeuse quiétude du village et quand Rodney se dirigea vers l’endroit où il imaginait que le combat se déroulait, il entendit dans son dos la rumeur d’une foule en fuite ou prête à l’attaque et il se retourna et poussa un cri de fureur et d’effroi et il se mit à tirer, sans cesser de crier, et à tirer sans savoir pourquoi il criait, ni sur quoi il tirait, ni sur qui, à tirer, tirer, tirer, et aussi à crier, et quand il s’arrêta, la seule chose qu’il vit devant lui fut un amas inintelligible de vêtements et de cheveux trempés de sang et de mains et de pieds minuscules et arrachés et d’yeux sans vie ou encore suppliants, il vit une masse informe, humide et visqueuse qui échappa rapidement à sa compréhension, il vit toute l’horreur du monde concentrée sur quelques mètres carrés de mort et, incapable de supporter cette vision resplendissante, à partir de ce moment-là sa conscience abdiqua, et il ne garda de ce qui arriva ensuite, tel un rêve, qu’un très vague souvenir d’incendies et d’animaux éventrés et de vieillards en pleurs et de cadavres de femmes et d’enfants, leurs bouches ouvertes comme des viscères à l’air.
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