Translation for "degenerativo" to french
Similar context phrases
Translation examples
Dice que es una enfermedad degenerativa.
Le vétérinaire dit que c'est une maladie dégénérative.
No hay síntomas de Enfermedad Degenerativa.
Nous ne voyons aucun signe de la Maladie Dégénérative.
Vea las enfermedades óseas degenerativas.
Voir les maladies dégénératives des os.
Tengo una condición degenerativa llamada osteonecrosis.
Je suis atteinte d’une maladie dégénérative appelée ostéonécrose.
Había sufrido durante años una enfermedad degenerativa indeterminada.
Elle avait souffert pendant des années d’une maladie dégénérative mystérieuse.
Acerca del hermano gemelo de Kolvenik, la enfermedad degenerativa y…
Le frère jumeau de Kolvenik, l’affection dégénérative et…
Aquel proceso degenerativo llegó incluso a afectar a la boina.
Cette action dégénérative était telle que même le béret en était affecté.
La Enfermedad Degenerativa, como hemos dado en llamarla, no existía aún;
La Maladie Dégénérative, telle que nous l’entendons, n’existait pas encore ;
Esta misión se complace en señalar que no hay indicios de Enfermedad Degenerativa.
La mission a le plaisir de signaler qu’il n’y a pas trace de la Maladie Dégénérative.
Y como se trata de una familia un poco degenerativa… ¿Me das permiso para decir degenerativa? —Permiso concedido…
Et comme il s’agit d’une famille un peu dégénérée – tu me permets de dire dégénérée ? — Je t’autorise…
Sin embargo, el angustioso proceso neoplástico degenerativo no operable del suegro avanza y avanza durante tanto tiempo —ya sea porque se trata de una forma inusualmente lenta de cáncer cerebral o porque el suegro es de esa clase de viejos duros, mezquinos y recalcitrantes que se aferran con desesperación a la vida tanto tiempo como les sea posible, uno de esos casos para los cuales X cree íntimamente que se pensó en un comienzo la eutanasia, a saber, un caso en que el paciente no para de degenerar, deteriorarse y sufrir horriblemente pero se niega a rendirse a lo inevitable y a dejar que su puñetero fantasma salga volando y no parece pensar en absoluto en el sufrimiento paralelo que su repugnante pertinacia degenerativa causa a quienes, por las razones incomprensibles que sea, le quieren, o bien por ambas cosas a la vez—, y el conflicto secreto y la vergüenza corrosiva de X finalmente lo dejan tan completamente agotado y le hacen sentirse tan triste en el trabajo y tan catatónico en casa que, por fin, se traga su orgullo, acude con el sombrero en la mano a su colega y amigo de confianza Y y le cuenta toda la situación ab initio ad mala, confiándole a Y todo el egoísmo y la frialdad de sus sentimientos más profundos (es decir, los de X) durante su crisis familiar y describiendo con detalle su vergüenza íntima por la antipatía que siente cuando permanece de pie detrás de la silla de su mujer junto a la cabecera completamente ajustable de aleación de acero de seis mil quinientos dólares de su suegro ahora grotescamente consumido e incontinente y al viejo se le traba la lengua y su cara se contorsiona en una serie de horripilantes espasmos clónicos y una espuma amarillenta se le acumula sin parar en las comisuras de la boca convulsa (al suegro) cuando intenta hablar y su cabeza ahora obscenamente abultada y llena de protuberancias asimétricas[1] gira sobre la funda de almohada italiana con urdimbre de trescientos hilos, y la mirada vidriosa pero todavía cruelmente férrea del viejo tras sus trifocales con montura de acero se desplaza de la cara angustiada de la señora X hasta la tensa y calurosa expresión de apoyo y compasión que X siempre pugna por formar cuando está en el coche y adopta durante esas visitas atroces y luego sus ojos —los ojos del suegro— giran en direcciones opuestas siempre acompañados de una exhalación entrecortada de disgusto, como si percibiera la hipocresía y la falsedad de la expresión de X y discerniera la antipatía y el egoísmo que hay detrás de ella y cuestionara de nuevo la decisión de su hija de permanecer unida a aquel jurado de cuentas insignificante y depravado;
et il garde par-devers lui l’exclusion, le dégoût, la rancœur, la honte et l’auto-révulsion qu’il ressent in petto – il lui semblerait inconcevable d’aller accabler/horrifier sa femme plus qu’elle ne l’est déjà en lui confiant sa croix – et le noir substrat qu’il craint avoir découvert au fond de son âme lui inspire un dégoût et une honte si puissants qu’il est, contrairement à son habitude, absorbé, absent, réservé et peu disponible pour ses proches et amis durant tous les premiers mois de maladie du beau-père et ne s’ouvre à personne des typhons centripètes qui font rage dans son cœur. L’atroce procrastination néoplasique, dégénérative et inopérable du beau-père tire en longueur pendant si longtemps, cependant – soit qu’il s’agisse d’une forme exceptionnellement lente de tumeur au cerveau, soit que le beau-père soit le genre de vieil oiseau coriace qui s’accroche farouchement à la vie aussi longtemps que possible, un de ces cas pour lesquels, pense X in petto, l’euthanasie a sans doute été inventée, n’est-ce pas, pour un patient de ce genre, qui ne cesse d’atermoyer et de dégénérer et de souffrir horriblement mais refuse de se soumettre à l’inévitable et de le rendre, maintenant, son putain de dernier soupir et ne se soucie guère de la souffrance coïncidente que son épouvantable procrastination dégénérative inflige à tous ceux qui, pour Dieu sait quelle impénétrable raison, l’aiment, ou les deux –, et le conflit secret et la honte corrosive de X le minent au point que, maussade au travail et catatonique à la maison, il finit par ravaler sa fierté et revenir la queue entre les jambes voir Y, son fidèle ami et collègue, pour lui exposer toute l’affaire, ab initio ad mala, lui confesser sa (celle de X) froideur et l’égoïsme de ses sentiments les plus intimes au moment de la crise qui ébranle sa famille et lui décrire par le menu la honte principielle venue se greffer à l’antipathie qu’il surprend au chevet en alliage d’acier à 6 500 dollars, complètement articulé, du beau-père devenu grotesquement décharné et incontinent, debout derrière la chaise de sa femme, et la langue du vieux monsieur qui pend et son visage qui se tord en d’horribles spasmes cloniques, l’écume jaunâtre qui s’accumule continûment aux commissures des (celles du beau-père) lèvres convulsées, la bouche qui se déforme chaque fois qu’il essaie de parler et la(15) tête, devenue obscènement grosse, déjetée et asymétrique qui glisse sur l’oreiller… et le regard du vieux monsieur derrière les triple foyer en acier, terni mais encore cruellement ferrugineux, fait à peine escale sur le visage tourmenté de Mrs. X avant de tomber sur l’expression de sympathie et de soutien toute chaleureuse et pincée que X compose à grand-peine dans la voiture et tient bravement lors de ces visites insoutenables, et de rouler incontinent dans la direction opposée (le regard du beau-père roule), périple qui s’achève toujours sur une exhalation heurtée, de dégoût, comme s’il lisait à livre ouvert dans l’expression mensongère et hypocrite de X, en discernait l’antipathie et l’égoïsme et contestait encore une fois la décision de sa fille de ne pas quitter l’expert-comptable insignifiant et dépravé qui lui sert de mari ;
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test