Translation for "cuyo físico" to french
Cuyo físico
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Tampoco sospechó en esos días el cataclismo que causaría en su vida ese joven de veinticuatro años cuyo físico no era para nada el del desamparado vagabundo medio muerto de hambre que le dijo ser.
Il ne soupçonna pas non plus, ces jours-là, le cataclysme qu’allait provoquer dans sa vie ce jeune homme de vingt-quatre ans dont le physique n’était absolument pas celui du pauvre vagabond à moitié mort de faim qu’il prétendait être.
Era el periodo de las clases de higiene, o de practicar los baños con modelos de la vida real: la señora Mackintosh, Lady Chase y el bebé George, cuyo físico lisiado le permitía hacer de bebé niña.
C’était la période des cours d’hygiène et des exercices de toilette au lit sur des mannequins grandeur nature — Mrs Mackintosh, Lady Chase et bébé George, dont le physique suavement privé de relief lui permettait de se dédoubler en bébé fille.
Era un muchacho que sin duda no había cumplido aún los treinta años, y cuyo físico enteco, puro hueso y pellejo, pregonaba a los vientos el desprecio que le merecían la comida y la materia, con los cabellos cortados casi al rape, moreno y más bien bajo.
C’était un garçon qui n’avait sans doute pas encore trente ans, et dont le physique chétif, la peau et les os sans plus, proclamait à tous les vents le mépris qu’il vouait au manger et à la matière, avec des cheveux coupés presque à ras, brun et plutôt petit.
Primero habló del éxito de mi novela, sobre la que había escrito un artículo encomiástico en World Literature Today, y más tarde discutió con Borgheson, Elizabeth Bell y el mando de ésta -un lingüista español llamado Andrés Viñas- sobre los personajes reales que se ocultaban tras los personajes ficticios de El inquilíno, la novela que yo había escrito y ambientado en Urbana, y en algún momento contó que el jefe del departamento de aquella época se había sentido retratado en el jefe del departamento que aparecía en el libro y se las había arreglado para que desaparecieran todos los ejemplares que guardaba la biblioteca, pero me extrañó que ni Laura ni Borgheson ni Elizabeth Bell ni Viñas mencionaran a Olalde, el ficticio profesor español cuyo físico extravagante -y quizá no sólo su físico- estaba transparentemente inspirado en el físico de Rodney.
Elle a d’abord parlé du succès de mon roman, sur lequel elle avait écrit un article élogieux dans World Literature Today, puis elle a discuté avec Borgheson, Elizabeth Bell et son mari – un linguiste espagnol qui s’appelait Andrés Viñas – des personnages réels qui se cachaient derrière les personnages fictifs dans À petites foulées, le roman que j’avais écrit et situé à Urbana, et à un moment donné elle a raconté que le chef du département alors en fonction s’était reconnu dans le personnage de chef du département du livre et qu’il s’était arrangé pour faire disparaître tous les exemplaires de la bibliothèque, mais j’ai trouvé étrange que ni Laura, ni Borgheson, ni Elizabeth Bell, ni Viñas n’évoquent Olalde, le professeur espagnol fictif dont le physique extravagant – et peut-être pas seulement le physique – était nettement inspiré par celui de Rodney.
Ya porque ese hombre desaliñado hubiera perdido toda legitimidad para dirigirle una mirada crítica, decepcionada o severa, ya porque, fuerte a sus treinta y ocho años, le traía sin cuidado lo que se pudiera pensar y comentar de su apariencia, se dijo en todo caso que se habría sentido incómoda y mortificada de presentarse, quince años antes, sudorosa y fatigada ante su padre cuyo físico y aspecto nunca se veían afectados entonces por el menor signo de debilidad o de sensibilidad a la canícula, mientras que esto ahora le era indiferente y que, incluso, ofrecía a la atención de su padre, sin apartarlo, un rostro desnudo, reluciente, que no se había tomado la molestia de empolvar en el taxi, diciéndose, sorprendida: «¿Cómo he podido dar importancia a todo esto?», y también con una alegría un tanto ácida, rencorosa: «Que piense de mí lo que quiera», pues se acordaba de unas observaciones crueles, ofensivas, proferidas con desenfado por ese hombre superior cuando siendo ella y su hermana adolescentes iban a verle y referentes todas a su falta de elegancia o la ausencia de carmín en sus labios.
Était-ce parce que cet homme débraillé avait perdu toute légitimité pour porter sur elle un regard critique ou déçu ou sévère, ou parce que, forte de ses trente-huit ans, elle ne s’inquiétait plus avant toute chose du jugement provoqué par son apparence, elle se dit en tout cas qu’elle se serait sentie embarrassée, mortifiée de se présenter, quinze ans auparavant, suante et fatiguée devant son père dont le physique et l’allure n’étaient alors jamais affectés par le moindre signe de faiblesse ou de sensibilité à la canicule, tandis que cela lui était indifférent aujourd’hui et que, même, elle offrait à l’attention de son père, sans le détourner, un visage nu, luisant qu’elle n’avait pas pris la peine de poudrer dans le taxi, se disant, surprise : Comment ai-je pu accorder de l’importance à tout cela, se disant encore avec une gaieté un peu acide, un peu rancuneuse : Qu’il pense donc de moi ce qu’il veut, car elle se souvenait de remarques cruelles, offensantes, proférées avec désinvolture par cet homme supérieur lorsque adolescentes elle et sa sœur venaient le voir et qui toutes concernaient leur manque d’élégance ou l’absence de rouge sur leurs lèvres.
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