Translation for "cristiano cuyo" to french
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Explicaré el curioso origen de la asociación El Gato y el Cristiano, cuyo nombre ha dado lugar a lamentables tergiversaciones.
J’expliquerai l’origine curieuse du « Chat et du Chrétien », dont on a si honteusement mal interprété le nom.
Ya no es la señora de Hulot la que le habla, caballero sino la pobre, la humilde pecadora, la cristiana cuyo solo sentimiento, el de arrepentirse, y que se entregará por completo a la oración y a la caridad.
Ce n’est plus madame Hulot, monsieur, qui vous parle, c’est la pauvre, l’humble pécheresse, la chrétienne dont le cœur n’aura plus qu’un seul sentiment, le repentir, et qui sera toute à la prière et à la charité.
Pero la plaza obediente da los gritos de ritual, y apenas se ha callado el legionario, ya hay otro allí desgañitándose, mucho habla esta gente, son cosas de España, nacionalistas contra rojos, y que en los campos de Castilla y Andalucía se defienden los sagrados y eternos valores de la civilización occidental, que es un deber de todos ayudar a nuestros hermanos de fe, y el remedio contra el comunismo está en el regreso a la moral cristiana cuyo símbolo vivo es Salazar, caramba, tenemos un símbolo vivo, no puede haber contemplaciones con los enemigos, tanta palabra, y se pasa a hablar del buen pueblo de la región allí presente para dar testimonio de gratitud al inmortal estadista y gran portugués que consagró la vida entera al servicio de la patria, Dios se la conserve, y yo iré a decirle al señor presidente del consejo lo que he visto en esta histórica ciudad de Évora, y a llevarle el testimonio y la seguridad de que estos millares de corazones laten al unísono con el corazón de la patria, ellos son la patria, inmortal, sublime, la más hermosa de todas las patrias, porque tenemos la suerte inmensa de un gobierno que pone por encima de los intereses de cualquier clase los superiores intereses de la nación, porque los hombres pasan y la nación queda, muera el comunismo, abajo, abajo el comunismo, muera, qué diferencia hay, en medio de tanta gente ni se nota, y recordemos que la vida del Alentejo, contra lo que muchos piensan, no es propicia al desarrollo de ideas subversivas, porque los trabajadores son verdaderos socios de los propietarios, compartiendo con éstos los beneficios y daños del trabajo, ah, ah, ah, Dónde se puede mear, oye Requinta, esto no es serio, nadie se atreve a decir tal cosa en tan grave momento, cuando la patria, que no mea nunca, es invocada por aquel señor tan puesto del estrado, que abre ahora los brazos como si quisiera abrazar a todos, y como no llega tan lejos se abrazan allí unos a otros, el comandante de la legión, el mayor que vino de Setúbal, los diputados, los de la unión nacional de ellos, el capitán del regimiento de caballería número cinco, uno que es del i-ene-te-pe, si no sabes pregunta, instituto nacional de trabajo y previsión, y todos los demás que vinieron de Lisboa, parecen grajos encaramados en una encina, pero éste es tu error, los grajos somos nosotros, aquí alineados en los grádenos, moviendo las alas, dándole al pico, y viene ahora la música, es el himno, todos en pie, unos porque saben que ésta es la etiqueta, la mayoría por imitación, Requinta pasa revista a su gente, A cantar todos, eso querría yo, pero quién se sabe el himno, aún si fuera eso de marianita, algo se haría, vamos saliendo ya, aún no, no ha llegado el momento de salir, quién pudiera volar, abrir las alas y marchar lejos de aquí, sobre los campos, viendo desde arriba las camionetas que regresan, qué tristeza, fue todo tan triste, y encima gritábamos como si nos hubieran pagado, ni yo sé qué habría sido peor, no es justo, parecía el baile del oso, Entonces no te divertiste allá, Juan, Ni tanto así, Faustina, fuimos como borregos, como borregos vinimos.
Mais les arènes obéissantes réagissent en criant les mots d’ordre et le légionnaire ne s’est pas encore tu que déjà un autre ouvre la bouche toute grande, ces gens parlent beaucoup, de l’Espagne, des nationalistes contre les rouges, ils disent que dans les champs de Castille et d’Andalousie on défend les valeurs sacrées et éternelles de la civilisation occidentale, que notre devoir à tous c’est d’aider nos frères dans la foi, et que le remède contre le communisme se trouve dans un retour à la morale chrétienne dont le symbole vivant est Salazar, bon sang, nous avons un symbole vivant, pas de complaisance à l’égard des ennemis, des paroles et des paroles, ensuite on parle du bon peuple de la région, ici présent pour apporter le témoignage de sa gratitude envers l’homme d’État immortel et le grand Portugais qui a voué sa vie entière au service de la patrie, Dieu veuille la lui conserver, et j’irai dire à monsieur le président du conseil ce que j’ai vu dans cette ville historique d’Évora, je lui apporterai la garantie que ces milliers de cœurs battent à l’unisson du cœur de la patrie, ils sont la patrie, l’impérissable, la sublime et la plus belle de toutes les patries, puisque nous avons le bonheur d’avoir un gouvernement qui place au-dessus des intérêts de n’importe quelle classe les intérêts supérieurs de la nation, car les hommes passent et la nation reste, mort au communisme, à bas, à bas le communisme, mort, quelle différence cela fait-il, au milieu de tant de gens ça ne se remarque pas, et souvenons-nous que la vie dans l’Alentejo, contrairement à ce que beaucoup de gens pensent, n’est pas propice au développement d’idées subversives, car les travailleurs sont les vrais associés des propriétaires, ils partagent avec eux les profits et les pertes de l’agriculture, ah, ah, ah, Où c’est que je peux pisser, eh, Requinta, ce sont des blagues, personne ici n’ose dire pareille chose à un moment aussi solennel où la patrie, elle qui jamais ne pisse, est invoquée ainsi sur l’estrade par un monsieur aussi bien mis, qui écarte les bras comme s’il voulait nous embrasser tous et, comme il n’y arrive pas de là-bas si loin, tous ici s’étreignent mutuellement, le commandant de la légion, le major venu de Setúbal, les députés, l’homme de leur union nationale, le capitaine de cavalerie numéro cinq, un type qui est de l’i-n-t-p, si tu ne sais pas ce que c’est, demande, institut national du travail et de la prévoyance, et tous les autres venus de Lisbonne, on dirait des corneilles perchées sur une yeuse, mais là tu te goures lourdement, c’est nous tous qui sommes des corneilles, alignées ici sur les gradins, battant des ailes, agitant le bec, et maintenant vient la musique, c’est l’hymne, tout le monde se lève, les uns parce qu’ils savent que l’étiquette l’exige, la majorité par esprit d’imitation, Requinta passe en revue ses troupes, Chantez tous, je ne demanderais pas mieux, qui donc connaît l’hymne, si encore c’était la marianita, allons-nous bientôt sortir, pas encore, ce n’est pas le moment de partir, il vaudrait mieux voler, ouvrir les ailes et s’envoler loin d’ici, par-dessus les champs, regardant d’en haut les camionnettes qui vont rentrer, quelle tristesse, tout ça a été bien triste, et les gens qui se sont mis à crier comme si on nous avait payés pour ça, et moi je ne sais pas ce qui aura été le pire, ce n’est pas juste, on dirait un intermède dans la danse de l’ours, Alors, tu ne t’es donc pas amusé, João, Pas un seul instant, Faustina, nous sommes allés là-bas comme des moutons, comme des moutons nous sommes revenus.
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