Translation for "continuadamente" to french
Continuadamente
Translation examples
Scrooge estaba espantado de oír al Espectro hablar tan continuadamente y empezó a temblar más de lo que quisiera.
Scrooge était très effrayé d’entendre le spectre continuer sur ce ton, et il commençait à trembler de tous ses membres.
Pero el olvido no sólo trabaja durante las pausas, sino que participa también continuadamente, sin interrupción alguna, en la lectura;
Mais ce n’est pas seulement dans les pauses que l’oubli travaille, il participe à la lecture d’une façon continue, sans la moindre relâche ;
La misma individualidad deberá pronto ser/será castigada con la muerte. En medio del silencio que siguió a sus palabras, sus bastones crujieron como huesos mientras volvía a tomar asiento. Un murmullo atónito recorrió la sala, pero el Supremo Sacerdote Chubsalid dijo con suavidad desde su sillón tapizado de armiño: —No cabe duda de que discursos de este tipo son moneda corriente en la colina Icen; nosotros, en cambio, debemos atenernos a la profesión que hemos elegido y que implica/continuadamente nos llama a templar con piedad nuestra actitud incluso para con los granjeros arruinados.
L’individualisme doit être au plus tôt/sera lui-même puni de mort. » Il se rassit, et au milieu du silence général ses cannes firent un bruit d’ossements. Un murmure choqué fit le tour de la pièce, mais du fond de son fauteuil bordé d’hermine le Prêtre Suprême Chubsalid déclara d’une voix douce : « Je ne doute pas que de tels discours se tiennent à Givremont, mais nous-mêmes devons nous en tenir à la voie que nous avons choisie, ce qui implique (continu) que nous ayons de la compassion, fût-ce pour des fermiers en faillite.
Pero esta noche no dormían, es posible que ninguno de ellos o no del todo, no continuadamente y como es debido, la madre semidesnuda y fuera de la cama indispuesta con un hombre velándola al que conocía superficialmente, el niño ahora no muy bien arropado (se había metido solo, y yo no me atreví a tirar de sus mantas y sábanas de miniatura y cubrirle), el padre quién sabe, habría cenado quién sabe con quiénes, Marta sólo me había dicho, tras colgar el teléfono y con gesto pensativo y ligeramente envidioso -rascándose un poco la sien con el índice: ella, aunque acompañada, seguía en Conde de la Cimera como todas las noches-: 'Me ha dicho que ha cenado estupendamente en un restaurante indio, la Bombay Brasserie, ¿lo conoces?' Sí, yo lo conocía, me gustaba mucho, había estado un par de veces en sus salas gigantes decoradas colonialmente, una pianista con vestido de noche a la entrada y camareros y maítres reverenciosos, en el techo descomunales ventiladores de aspas en verano como en invierno, un lugar teatral, más bien caro para Inglaterra pero no prohibitivo, cenas de amistad y celebración o negocios más que íntimas o galantes, a no ser que se quiera impresionar a una joven inexperta o de clase baja, alguien susceptible de aturdirse un poco con el escenario y emborracharse ridiculamente con cerveza india, alguien a quien no hace falta llevar a ningún otro sitio intermedio antes de coger un taxi con transpontines y llegarse al hotel, o al apartamento, alguien con quien ya no hay que hablar más después de la cena de picantes especias, sólo coger su cabeza entre las manos y besar, desvestir, tocar, encuadrar con las manos esa cabeza comprada y frágil en un gesto tan parecido al de la coronación y el estrangulamiento.
Mais cette nuit ils ne dormaient pas, aucun d’entre eux peut-être ou pas tout à fait, pas d’un sommeil continu comme il convient, la mère à demi nue et hors des draps, malade, avec pour la veiller un homme qu’elle ne connaît que superficiellement, l’enfant maintenant bien couvert (il s’était recouché seul et je n’avais pas osé tirer ses couvertures et ses draps miniatures pour le couvrir), le père peut-être, qui sait avec qui il avait dîné, après avoir raccroché le téléphone Marta m’avait seulement dit, d’un air pensif et légèrement envieux — se grattant un peu la tempe de l’index : elle, bien qu’en compagnie, était toujours rue Conde de la Cimera comme tous les soirs — « Il m’a dit qu’il avait très bien dîné dans un restaurant indien, le Bombay Brasserie, tu le connais ? » Oui, je le connaissais, je l’aimais bien, j’avais fréquenté une ou deux fois ses immenses salles au décor colonial, une pianiste en robe de soirée à l’entrée, des serveurs et maîtres d’hôtel révérencieux, au plafond été comme hiver d’énormes ventilateurs à hélice, un lieu théâtral, plutôt cher pour l’Angleterre mais pas prohibitif, dîners entre amis, de fêtes ou d’affaires plutôt qu’intimes ou galants, à moins que l’on ne veuille impressionner une jeune fille ingénue ou de condition inférieure, susceptible d’être un peu étourdie par la mise en scène et de s’enivrer sottement avec la bière indienne, une personne qu’il n’est point besoin d’emmener dans un autre endroit intermédiaire avant de héler un taxi à strapontins pour aller à l’hôtel, ou à l’appartement, une personne avec laquelle il n’est pas nécessaire de parler davantage après le dîner épicé, juste prendre sa tête et l’embrasser, la déshabiller, la toucher, les mains de chaque côté de ce visage acheté et fragile dans un geste si proche de celui du couronnement ou de la strangulation.
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test