Translation for "congolés" to french
Congolés
Similar context phrases
Translation examples
En una habitación contigua, un negro canta en congolés.
Dans une pièce voisine, un Noir chante en congolais.
Es más fácil hacer entender las cosas a una hiena o a una garrapata que a un congolés.
Il est plus facile de faire comprendre les choses à une hyène ou à une tique qu’à un Congolais.
Era congolés, hablaba francés perfectamente y un inglés un tanto confuso.
Joe était congolais, parlait un français presque parfait et un anglais un peu plus approximatif.
—Es mi destino. O me aturde el radio de mi vecina o la tele de ese señor congolés.
– C’est mon destin. Quand ce n’est pas la radio de ma voisine, c’est la télé de ce monsieur congolais qui me casse les oreilles.
Acaba de ver en Walla lo que significa ser pobre, humilde y congolés.
Vous venez de voir à Walla ce que cela signifie d’être pauvre, humble et congolais.
Era un inglés muy original, sin duda, una especie de variante estirada de Oxford con un marcadísimo acento congolés.
Son anglais était des plus originaux : une espèce de version ampoulée d’Oxford mâtinée d’un fort accent congolais.
Pero no recuerdo que el látex congolés despidiera un olor tan fuerte y desagradable». «Son variedades distintas», le explicó Tizón. «Este huele más y es también más resistente que el Africano.
Mais, autant que je m’en souvienne, le latex congolais ne dégageait pas une odeur si puissante et si désagréable. — Ce sont des variétés différentes, lui avait expliqué Tizón, celui-ci sent plus fort et il est aussi plus résistant que l’africain.
Cuando, en febrero de 1885, en la Conferencia de Berlín a la que no asistió un solo congolés, las catorce potencias participantes, encabezadas por Gran Bretaña, Es tados Unidos, Francia y Alemania dieron graciosamente a Leopoldo II —a cuyo lado estuvo en todo momento Henry Morton Stanley— los dos millones y medio de kilómetros cuadrados del Congo y sus veinte millones de habitantes para que «abriera ese territorio al comercio, aboliera la esclavitud y civilizara y cristianizara a los paga nos», Roger Casement, con sus veintiún años recién cumplidos y su año de vida Áfricana, lo festejó.
Quand, en février 1885, à la conférence de Berlin auquel n’assistait pas un seul Congolais, les quatorze puissances participantes, avec à leur tête la Grande-Bretagne, les États-Unis, la France et l’Allemagne, avaient gracieusement donné à Léopold II – et Henry Stanley Morton était à ses côtés – les deux millions et demi de kilomètres carrés du Congo et ses vingt millions d’habitants pour qu’il « ouvre ce territoire au commerce, abolisse l’esclavage, civilise et christianise les païens », Roger Casement, alors âgé de vingt et un ans dont une année de vie africaine, s’était réjoui.
Para entonces este dominio colonial, el más grande del África, creado por un monarca que nunca pondría en él los pies, era ya una realidad comercial a la que los hombres de negocios europeos podían acceder desde el Atlántico, venciendo el obstáculo de un Bajo Congo intransitable por los rápidos, caídas de agua, vueltas y revueltas de las cataratas de Livingstone, gracias a esa ruta que, a lo largo de casi quinientos kilómetros, abrió Stanley entre Boma y Vivi hasta Leopoldville y el pool Cuando Roger llegó al África, audaces mercaderes, las avanzadillas de Leopoldo II, comenzaban a internarse en el territorio congolés y a sacar los primeros marfiles, pieles y canastas de caucho de una región llena de árboles que transpiraban el látex negro, al alcance de quien quisiera recogerlo.
Mais d’ores et déjà ce domaine colonial, le plus grand de l’Afrique, créé par un monarque qui n’y mettrait jamais les pieds, était devenu une réalité commerciale à laquelle les hommes d’affaires européens pouvaient accéder depuis l’Atlantique, tournant l’obstacle d’un bas Congo impraticable du fait des rapides, chutes d’eau, tours et détours des cataractes de Livingstone, grâce à cette piste qu’au long de presque cinq cents kilomètres Stanley avait ouverte entre Boma et Vivi jusqu’à Léopoldville et le pool. Quand Roger était arrivé en Afrique, d’audacieux marchands, les avant-gardes de Léopold II, commençaient à s’enfoncer dans le territoire congolais pour y puiser les premières peaux, les premiers ivoires et les paniers de caoutchouc d’une région pleine d’arbres suant le latex noir, à la portée de qui voudrait le recueillir.
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