Translation for "confín" to french
Translation examples
En los Confines del Mundo
Aux Confins du Monde
—Los confines de la tierra, sí.
— Jusqu’aux confins de la Terre… oui.
Hacia el confín del universo;
Vers les confins de l’univers;
—¡Sond, yo te confino en tu chirak!
— Sond, je te confine dans ton chirak !
Allende los confines de las esferas estrelladas,
Par delà les confins des sphères étoilées,
Él va caminando hasta los confines de su parroquia.
Il se rend à pied aux confins de sa paroisse.
HASTA LOS CONFINES MISMOS DE LA REALIDAD —¡Allí!
TRAQUE JUSQU’AUX CONFINS DE LA RÉALITÉ — Là !
Una confrontación apasionante en los confines de la sociedad.
Passionnante confrontation aux confins de la société.
Donde las luces borran e incendian los confines.
Ici, les lumières effacent et brûlent les confins.
¿Hasta los confines de la ciudad? ¿Hasta el mar? ¿Hasta el puerto?
Jusqu’aux confins de la ville ? Jusqu’à la mer ? Jusqu’au port ?
El metal les confina y el metal está en su sangre;
Du métal qui les enferme et du métal dans leur sang ;
¿A qué tipo de encierro me confina la lectura humorística?
À quel genre d’enfermement la lecture an-humoristique me condamne-t-elle ?
Sachs está preso, Effing se confina en la cueva del ermitaño, y Fanshawe se encierra en una habitación con objeto de escribir su libro.
Sachs est emprisonné, Effing se cloître dans la grotte et Fanshawe s’enferme dans une pièce afin d’écrire son livre.
No dejes que nada ni nadie, la familia, el Silencio, el peso de tu capacidad, incluso mi necesidad de mantenerte cerca, te confine de nuevo.
Ne laisse rien ni personne t’enfermer de nouveau, ni la famille, ni Silence, ni le poids de ton aptitude, ni même le besoin que j’ai de te garder près de moi. »
1844 El primer ataque epiléptico de Gustave pone fin a sus estudios de derecho en París, y le confina en la nueva casa familiar de Croisset.
1844 La première crise d’épilepsie de Gustave met fin à ses études à Paris et il s’enferme dans la nouvelle maison familiale à Croisset.
Al pasar, Pug se asombró al descubrir que los pilares estaban compuestos de minúsculas estrellas, cometas y planetas, galaxias en miniatura que daban vueltas en los confines el pilar, encerradas en un vacío tan negro como el verdadero espacio.
En passant plus près de l’un des piliers, Pug découvrit avec étonnement qu’il était composé de minuscules étoiles, comètes et planètes, de galaxies miniatures qui tournoyaient en son sein, enfermées dans un vide noir comme l’espace.
Y basta con cambiar las leyes, o inventar unas nuevas, para que la gente se quede sin dinero y sin trabajo y sin casa, o para que se decida que no existe; se la priva de la nacionalidad, de la ciudadanía, se la declara intrusa y apátrida, se la confina o se la expulsa;
Et il suffit de changer la loi ou d’en inventer de nouvelles pour que les gens se retrouvent sans argent, sans travail et sans toit, ou pour que l’on décide qu’ils n’existent pas, qu’on les prive de leur nationalité, de leur citoyenneté, qu’on les déclare indésirables et apatrides, qu’on les enferme, qu’on les expulse, ou qu’on les déclare fous, inaptes ou décédés.
La puerta te aísla del resto del mundo, pero también te confina, concentrándote en lo que tienes entre manos. Conviene, dentro de lo posible, que en el despacho no haya teléfono, y menos televisión o videojuegos para perder el tiempo. Si hay ventana, y no da a una pared, corre la cortina o baja la persiana.
La porte sert à vous couper du monde extérieur ; elle sert aussi à vous enfermer et à mieux vous concentrer sur votre tâche. Si c’est possible, il vaudrait mieux qu’il n’y ait pas de téléphone dans votre pièce de travail ; en tout cas, pas de télé ou de jeux vidéo pour vous distraire. S’il y a une fenêtre, tirez le rideau ou baissez les stores pour que tout prenne la neutralité d’un mur.
Ahora ya empezaba a distinguir el panel de cristal oscuro en la pared. Sabía que detrás de él, en los confines de su propia celda exclusiva, estaba el cuadro más famoso del mundo. Y sabía también que aquel mérito, el de ser la obra de arte más famosa del mundo, no le venía de su enigmática sonrisa, ni de las misteriosas interpretaciones atribuidas a muchos historiadores del arte y a defensores de las teorías conspiratorias. No, las cosas eran mucho más sencillas;
Il commença enfin à deviner les contours du caisson transparent. Enfermé dans sa cellule de Plexiglas, le trésor mondialement connu les attendait. Aux yeux de Langdon, la renommée du célébrissime portrait ne tenait pas seulement à son sourire énigmatique, pas plus qu’aux interprétations multiples et souvent farfelues qu’en proposaient depuis quatre siècles les historiens d’art et autres amateurs de mystère. Elle était surtout, et tout simplement, l’œuvre que son auteur considérait comme sa plus grande réussite.
sí, tales habían sido esas noches, rechazadas al umbral de la doble despedida, noches del sueño de los mundos inmutablemente igual, tanto en las plazas como en las calles, como en las tabernas, iguales irrecusablemente desde el comienzo en ciudades y más ciudades, resonantes imperceptiblemente desde todas las lejanías del tiempo y por eso mismo más insistentemente sabidas; los hombres hacían ruido: también esto era sueño, aunque los poderosos del mundo se hicieran festejar en lugares de fiesta y más fiesta, rodeados por los reflejos de las antorchas y la música, sonreídos por rostros y más rostros, cortejados por cuerpos y más cuerpos, sonriendo ellos mismos, cortejando ellos mismos; sueño esto también, aunque ardieran los fuegos de guardia, no sólo ante los castillos, sino también fuera, donde había guerra, en los confines, en los ríos negros de noche y en las lindes de los bosques rumorosos de noche y entre el centelleante clamoreo del asalto de los bárbaros surgiendo de la oscuridad; oscuridad; sueño también esto, sueño y más sueño como el de los ancianos desnudos, que en cuevas pestilentes dormían para quitarse del cuerpo el último residuo de consciencia, como el de los lactantes que soñaban sin ensueños la sorda vigilia de una vida futura desde la miseria de su nacimiento, como el de la tropa de esclavos encadenados en los vientres de las naves, tendidos como gusanos atontados sobre los bancos, sobre las planchas, sobre los atados de sogas, sueño y más sueño, rebaño y más rebaño, destacándose sobre la confusión de su suelo primigenio como filas de alcores en la noche descansando en la llanura, sumergidos en lo inexorablemente materno, en el constante retorno que no es aún eternidad y a pesar de ello da a luz en cada noche de la tierra;
Oui, c’est ainsi qu’avaient été les nuits à travers lesquelles il avait cheminé toute sa vie, les nuits qu’il avait passées en vigilance, redoutant l’inconscient qui dangereusement gît au-dessous des sphères nocturnes, ne redoutant pas moins la zone au-dessus d’elles, la zone sans ombres – oh ! menace de l’infidélité envers Pan – danger du sommet et de l’abîme, parce que l’un comme l’autre porte la menace de l’intemporel, la menace janusienne du sommeil. Oh ! les nuits de sa vie, nuits qui l’avaient cloué au seuil de ce double adieu, elles faisaient partie du sommeil universel qui demeure à jamais et que rien ne peut changer, bien que l’homme ait continuellement voulu l’interrompre ; il a voulu l’interrompre en bâtissant des villes et encore des villes, en y suscitant le tumulte de leurs places, leurs rues et leurs ruelles, leurs maisons obscènes et leurs cabarets, et il a voulu l’interrompre en s’adonnant de plus en plus à un déchaînement dont le vacarme vient comme un écho inaudible de toutes les parties du monde habité et de toutes les époques, même les plus lointaines, s’accumulant dans la conscience et l’aiguisant tout cela n’était qu’une forme de sommeil, et bien que les puissants du monde aient bâti des salles de fêtes et encore des salles, les remplissant de l’éclat des torches et de musique, s’y faisant entourer par des corps et encore des corps, par des visages et encore des visages, pour s’y faire courtiser par eux et recevoir leurs sourires admiratifs, mais aussi pour leur rendre leurs sourires et les courtiser en retour, afin qu’ils restassent des admirateurs fidèles, cela aussi n’était qu’une forme de sommeil, et bien que les feux de bivouac brûlassent non seulement ici, non seulement devant les palais et les forteresses, mais aussi partout où il y avait la guerre, là-bas sur les frontières, là-bas au bord des fleuves noirs de nuit, là-bas aux lisières des forêts qui bruissent dans leurs ombres dormantes, tandis que les barbares surgissaient de l’obscurité impénétrable des broussailles, tout en annonçant leur attaque par des rugissements coupants, cela aussi n’était qu’une forme de sommeil, c’était du sommeil et encore du sommeil, sommeil comme celui des vieillards nus dans leurs antres puants, sommeil vers lequel ils fuient, vers lequel ils se traînent pour s’y débarrasser de leur dernier reste d’éveil, et c’était un sommeil comme celui des nourrissons muets qui, après la misère de leur naissance morne, entrent en rêvant sans rêves dans un évanouissement qui sera l’éveil de leur vie future, et c’était un sommeil comme celui de la troupe enchaînée des galériens qui, enfermés au fond des navires, se jettent à l’heure du repos sur tout ce qui est proche, sur un rouleau de cordages ou, simplement sur les vergues, y tombent et restent allongés, ressemblant à un grouillement de vermine abasourdie, c’est du sommeil et encore du sommeil, et quelque forme qu’il prenne, il est le grand sommeil du grand troupeau ;
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