Translation for "comensal" to french
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Me preocupaba además la cena y qué ofrecer a los comensales.
Je m’inquiétais également du dîner et de ce que j’allais servir.
también habían acudido los comensales de la mesa contigua a la suya en el restaurante.
Et les occupants de la table voisine de la sienne au dîner de la veille étaient présents eux aussi.
La conversación continuó hasta que el sonido del gong llamó a los comensales a la mesa.
La conversation se poursuivit allègrement jusqu’à ce que le gong retentisse, annonçant le dîner.
Rara vez se sentaban a cenar menos de diez comensales.
Il était bien rare que le dîner réunît moins de dix convives.
Ése era el conjunto habitual de comensales en la casa del comandante Goeth.
Telle était la brochette d’invités qui se rendaient régulièrement aux dîners du commandant Goeth.
Durante esa cena fue cuando pude observar a gusto a los comensales y el decorado del entorno.
Ce fut au cours du dîner que je pus à loisir observer les convives et le décor qui nous entourait.
Talleyrand jamás acostumbraba cenar con menos de dieciséis comensales.
Talleyrand était accoutumé à ne jamais dîner avec moins de seize personnes à sa table.
La cena casi había terminado, y los comensales descansaban y charlaban entre plato y plato.
Le dîner touchait à sa fin, ils bavardaient paisiblement entre chaque plat.
Medina volvió a encontrarse con dos de los comensales de aquella noche en una de las discotecas de Garduño.
Medina revit deux des invités au dîner dans l’une des discothèques de Garduño.
Si cenan con Thorin y Rimer, no serán los únicos nuevos comensales de su mesa.
S’il vous arrive de dîner avec Thorin et Rimer, vous ne serez point les seuls nouveaux convives à table.
En el interior del vagón restaurant figuran algunos nuevos comensales: entre otros, dos negros. Caterna les llama los hombres sombríos.
À l’intérieur du wagon-restaurant figurent quelques nouveaux convives, – entre autres, deux nègres, que M. Caterna appelle volontiers des « hommes sombres ».
a tal efecto, el tren restaurante está provisto de un anuncio sonoro especial que indica el momento de abrir las puertas para la entrada o salida de los comensales.
le wagon-restaurant est pourvu à cet effet d’un signal sonore spécial qui indique les moments où ses portes peuvent être ouvertes.
Carvalho atravesó la nube de insecticida para llegar al vagón cocina restaurante, donde tanto personal de servicio como comensales se afanaban en el viejo arte de la comida viajera.
Carvalho traversa le nuage d’insecticide pour arriver au wagon-restaurant où personnel et passagers s’affairaient les uns et les autres dans l’art ancien des repas voyageurs.
Abrí las puertas de más lavabos, atravesé como un rayo cuatro o cinco coches-restaurante, esquivando con habilidad a los camareros negros de blanco delantal que iban arriba y abajo del pasillo entre los fragantes vapores de los platos que servían a los comensales.
J’ouvris les portes d’autres toilettes, arpentai les couloirs garnis de peluche funèbre de quatre ou cinq wagons, inspectai plein d’espoir le wagon-restaurant où des serveurs noirs en tablier blanc papillonnaient dans le couloir au milieu d’une buée lourde de relents d’huile rance.
Los chirridos de las ruedas de metal ahogaron el fragor del tiroteo y los aullidos del superintendente en la reserva de aves. En todos los compartimientos los pasajeros que iban sentados de cara a la locomotora fueron catapultados a los regazos de aquellos otros que les daban la espalda, y en el vagón restaurante —donde servían desayunos— cafés y camareros se mezclaron con los comensales y salieron despedidos en todas direcciones.
Le grincement de métal réussit à noyer jusqu’aux coups de feu et aux hurlements du superintendant dans la réserve ornithologique. Dans chaque compartiment, les passagers placés dans le sens de la marche furent précipités sur ceux qui leur faisaient face ; le wagon-restaurant, où l’on servait le petit déjeuner, ne fut plus qu’un horrible mélange de clients, de serveurs et de café brûlant.
Y allí, sentado en la mullida butaca de color calabaza del vagón restaurante, acunado por el traqueteo del tren y el torbellino de palabras que giraba sin pausa en mi cabeza, con el bullicio de los comensales cenando a mi alrededor y con mi whisky casi vacío delante, y en el ventanal, a mi lado, la imagen ajena de un hombre entristecido que no podía ser yo pero era yo, allí vi de golpe mi libro, el libro que desde hacía años venía persiguiendo, lo vi entero, acabado, desde el principio hasta el final, desde la primera hasta la última línea, allí supe que, aunque en ningún lugar de ninguna ciudad de ninguna mierda de país fuera a haber nunca una calle que llevara el nombre de Miralles, mientras yo contase su historia Miralles seguiría de algún modo viviendo y seguirían viviendo también, siempre que yo hablase de ellos, los hermanos García Segués -Joan y Lela- y Miquel Cardos y Gabi Baldrich y Pipo Canal y el Gordo Odena y Santi Brugada y Jordi Gudayol, seguirían viviendo aunque llevaran muchos años muertos, muertos, muertos, muertos, hablaría de Miralles y de todos ellos, sin dejarme a ninguno, y por supuesto de los hermanos Figueras y de Angelats y de María Ferré, y también de mi padre y hasta de los jóvenes latinoamericanos de Bolaño, pero sobre todo de Sánchez Mazas y de ese pelotón de soldados que a última hora siempre ha salvado la civilización y en el que no mereció militar Sánchez Mazas y sí Miralles, de esos momentos inconcebibles en que toda la civilización pende de un solo hombre y de ese hombre y de la paga que la civilización reserva a ese hombre.
Et ce fut là, assis dans un fauteuil moelleux couleur citrouille du wagon-restaurant, bercé par les secousses du train et le tourbillon de mots qui ne cessait de tourner dans ma tête, entouré du brouhaha des convives qui dînaient autour de moi, devant mon whisky presque vide, avec, sur la fenêtre à mes côtés, l’image étrangère d’un homme attristé qui ne pouvait être moi et qui pourtant l’était, ce fut là que je vis tout d’un coup mon livre, le livre que je poursuivais depuis des années, je le vis tout entier, terminé, du début à la fin, de la première à la dernière ligne, ce fut là que je sus, quand bien même nulle part dans aucune ville d’aucun pays de merde jamais aucune rue ne porterait le nom de Miralles, que tant que je raconterais son histoire Miralles continuerait en quelque sorte à vivre, tout comme continueraient à vivre, pour peu que je parle d’eux, les frères García Segués – Joan et Lela – et Miquel Cardos et Gabi Baldrich et Pipo Canal et le gros Odena et Santi Brugada et Jordi Gudayol, bien que morts depuis tant d’années, morts, morts, morts, je parlerais de Miralles et d’eux tous sans oublier personne, et bien sûr des frères Figueras et d’Angelats et de Maria Ferré et aussi de mon père, jusqu’aux jeunes Latino-Américains de Bolaño, mais surtout de Sánchez Mazas et de ce peloton de soldats qui au dernier moment a toujours sauvé la civilisation et auquel Sánchez Mazas ne méritait pas d’appartenir, contrairement à Miralles, de ces moments inconcevables lors desquels la civilisation tout entière dépend d’un seul homme et je parlerais de cet homme et du traitement que la civilisation lui réserve.
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