Translation for "coja" to french
Translation examples
Soy la serpiente coja
Je suis le serpent boiteux
—Sí, por ejemplo, la serpiente coja.
– Oui, le serpent boiteux, par exemple.
Pero voy a ir dando tumbos hasta que coja rodaje.
Mais ça sera boiteux jusqu’à ce que j’aie pris le pli.
La mayoría, sin embargo, lo designa como «la serpiente coja».
Cependant la plupart l’appellent “serpent boiteux”.
Lo aferré por la delgada muñeca blanca y arrastré a la criatura coja dentro de la estancia.
Je l’attrapai par son fin poignet blanc et tirai dans la chambre le petit boiteux.
¿Acaso te digo que este apartamento es deprimente y que te vistes como quien ha perdido las ganas de vivir, salvo en tu papel de porno-elfo a la pata coja? ¿Eh? ¿Eh? Pues no.
Est-ce que je te dis que cet appart est déprimant, que tu t’habilles comme une dépressive, à part quand tu te déguises en lutin porno boiteux ? Hein ? Hein ? Non.
Ninguna figura coja, quizá semiescondida tras alguna otra, que intentara pasar inadvertida por alguna de las entradas. Según lo que había visto, ese hombre había entrado en el edificio pero no había salido.
Aucun individu boiteux n'avait quitté l'immeuble, même en se cachant derrière quelqu'un d'autre pour passer inaperçu. L'homme était entré, mais il n'était jamais ressorti.
Quedaba una mesa, una banqueta coja, platos tirados entre los desechos y una estufa que me pareció que seguía en buen estado, y por la que pretendía volver antes de que un hundimiento la enterrase del todo.
Il restait une table, un tabouret boiteux, des couverts jetés au milieu des déchets et un poêle qui m’avait l’air encore utilisable, et que je comptais bien prendre avant que le toit ne s’effondre complètement et ne l’enterre.
¿Ahora qué vas a hacer con la yegua coja? Como respuesta, Seregil le dio un fuerte azote en la grupa y observó cómo trotaba desmañadamente hasta desaparecer de la vista entre las casas abandonadas. —Vamos.
Qu’est-ce que tu vas faire de ton cheval boiteux ? En guise de réponse, Seregil donna une claque sur la croupe de la jument qui s’éloigna en trottant avec peine. Il la regarda jusqu’à ce qu’elle disparaisse entre les maisons abandonnées. — Partons, maintenant.
Se cuenta que entre ellos estaban un padre ciego y su hijo paralítico. El segundo de los hijos llevó en una carreta al padre y al hermano hasta la acacia, cumpliendo con sus obligaciones filiales, y regresó a casa. Pasados tres días, cuando una marea humana rodeaba el árbol, llegaron las tropas imperiales, forzaron a aquellos cientos de miles de personas a migrar y a quienes habían permanecido en casa a quedarse para labrar la tierra . Se decretaron cupos cuantitativos y cada persona, fuera ciega, coja, anciana, mujer o niño, quedó reducida a un número. Sin alternativa posible, el anciano invidente fue obligado a unirse al contingente de emigrantes e iniciar la marcha, renqueando a cada paso y cargando con el hijo paralítico a la espalda.
Dans certaine famille, prétend-on, le père étant aveugle et le frère aîné n’ayant de sa vie jamais tenu sur ses jambes, le cadet, mû par la piété filiale, les porta en brouette jusqu’à Hongdong avant de rentrer chez lui attendre l’inévitable transfert. Mais au bout des trois jours, alors que la foule s’entassait, impressionnante, l’armée des Ming arriva et usa de sa force pour faire prendre à ces milliers de gens le chemin de l’exil. Seuls ceux qui étaient restés à la maison purent continuer de labourer leurs champs. Les migrants se comptant par tête, peu importait que vous fussiez aveugle, boiteux, paralytique, femme ou enfant : vous étiez toujours une unité de plus. N’y pouvant mais, le vieil aveugle prit l’infirme sur son dos et, chancelant, se joignit au convoi. Le fils était les yeux : il disait le chemin.
Como William Goldman hizo decir a un personaje de Boys and Girls Together, comentando una obra que estaban ensayando, «lava la basura y seguirá siendo basura». No importa lo maravillosamente que se ejecute una historia si la historia en sí —lo que ocurre en ella y por qué— está coja por el uso de clichés o una mala estructura.
Comme William Goldman le faisait dire à un personnage dans Boys and Girls Together, en parlant d’une pièce que l’on répétait : « Lavez l’ordure, ça restera de l’ordure. » On se fiche de savoir si une histoire est joliment rendue, si l’histoire elle-même – ce qui s’y passe et pourquoi – se fait estropier par les clichés ou une mauvaise structure.
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