Translation for "cochambre" to french
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Por suerte yo me sentía muy bien en la cochambre y con mis amigos de la negritud. Ya eran las cinco y media. Kurt no aparecía.
Par chance, je me sens à l’aise dans la saleté, avec mes amis de la négritude. Cinq heures et demie et toujours pas de Kurt.
Por ahora sigo cultivando mis hábitos de siempre: me atrae la cochambre, el olor a sudor, la pendejera en las axilas.
Pour l’instant, je garde mes vieilles habitudes. Je suis attiré par la saleté, la sueur, la porcherie sous les aisselles.
Ahí, el capitalismo mexicano mostraba la cochambre, la suciedad intrínseca que en otros lados disimulaba tras ladrillos blancos y fachadas higiénicas.
Ici, le capitalisme mexicain étalait la crasse, la saleté intrinsèque qu’il dissimulait ailleurs derrière des briques blanches et des façades hygiéniques.
Es como si, al anochecer, una lenta marea de cochambre y de súplicas fuera invadiendo el barrio, voces pedigüeñas, pasos menudos que siguen pero podrían perseguir, el aliento fétido que agradece, la mano retorcida que se apodera de la moneda y la esconde en la pollera raída, los ojos que brillan un minuto y se apagan.
On dirait qu’à la nuit, une lente marée de saleté et de supplications envahit le quartier, voix quémandeuses, pas menus qui suivent mais pourraient poursuivre, haleines fétides des remerciements, mains tordues s’emparant de la monnaie et la fourrant dans une jupe déchirée, les yeux brillent une minute puis s’éteignent.
Como a casi todos estos muchachos de ahora, a él lo que le gusta es la cochambre y la mierda en que se ha convertido este país, alardear con sus amigos por la ropa de colorines que tiene y el cadenón de fantasía que se ponía en el cuello, meterse unas pastillas con alcohol y salir volando por el techo a ritmo de reguetón… Eso, vivir del cuento y de lo que pueda sacar de su cara linda y de esa pinga grande que tiene… ¡Parece un caballo, chico!
Comme presque tous les garçons de maintenant, ce qu’il aime c’est la saleté, la merde qu’est devenu ce pays, il adore se pavaner devant ses amis avec ses vêtements bariolés, porter au cou sa grosse chaîne fantaisie, s’envoyer des cachetons avec de l’alcool et planer à fond la caisse au rythme d’un reggaeton… Voilà, se la couler douce et se faire du fric avec sa jolie gueule et sa grande queue… on dirait un cheval, mon vieux !
A estas pobres, que aparecían tendidas a la orilla de un río ribeteado de basuras, entre botellas de aceite arrojadas por la borda y bolsas de bocadillos que forman la cochambre de nuestra vida cotidiana, les faltaba hasta la piel.
Les victimes n’avaient même plus de peau, lorsqu’on les retrouvait sur les berges jonchés d’ordures d’une rivière, parmi les jerricanes d’essence des hors-bord et les sacs de plastique.
No limpia jamás y vive en la cochambre.
Elle ne nettoie jamais et vit dans la crasse.
Cuando regresé a La Habana necesité unas cuantas semanas para readaptarme a la cochambre.
De retour à La Havane, il m’a fallu quelques semaines pour me réhabituer à la crasse.
Esos recipientes hediondos decían mucho sobre aquella corte, mezcla de pompa y dejadez, de pretensión y cochambre, de tacañería y derroche.
Les récipients nauséabonds en disaient long sur cette cour, mélange de pompe et de négligence, de prétention et de crasse, de ladrerie et de gaspillage.
—Sí, tú. Te has podido quedar en veinte países y vivir como las personas. Ah, pues no, tú de atravesao y de bruto, siempre regresas a la cochambre.
— Oui, toi ! Tu pouvais te rester dans vingt ou trente pays et vivre comme il faut, mais non, le sauvage, le têtu, il revient toujours à la crasse !
—…Tellier contándote sus pequeños cochambres comerciales en la mesa, ¡y acercándose para besarte entre dos bocados, con los labios grasientos y migajas de pan sobre el pantalón!
— … Tellier te racontant ses petites crasses commerciales, à table ; et venant t’embrasser entre deux bouchées, les lèvres graisseuses et avec des miettes sur le devant de son pantalon !
—Vea usted —dijo de pronto Charlie, que había guardado un rato de silencio para que su huésped pudiera examinar el lugar a su antojo—, vea usted lo que le andaba diciendo ahora mismo: ¡qué cochambre!
— Vous voyez, dit soudain Charlie après un silence destiné à permettre à son hôte de contempler les lieux à loisir, vous voyez ce que je vous disais il y a un instant… Quelle crasse !
Aquel viejo confuso y deteriorado, poco menos que en las últimas, había sido mi dueño y señor, mi opresor, el hombre que me obligó a pasar hambre, a vivir en la cochambre, que utilizó mi cuerpo de manera vergonzante, que nunca me dejó levantar cabeza por encima de la vergüenza que me provocaba. En esos momentos era absolutamente mío: me pertenecía.
Cette vieille épave à la cervelle brouillée avait été mon maître, mon oppresseur, l’homme qui m’avait laissé vivre dans la crasse et le ventre creux, qui avait honteusement abusé de mon corps et ne m’avait jamais permis d’émerger de cet état de honte. Maintenant, il m’appartenait, il était ma chose.
Aseguraban las lenguas maledicentes que malvivía en los sótanos de la morgue haciendo de la cochambre un arte y envejeciendo con mal tiento al abrigo de un camastro sembrado de chinches y una única muda de ropa que ya llevaba cuando ingresó en desafortunadas circunstancias en la institución al cumplir los dieciséis años.
Les mauvaises langues racontaient qu’il vivait dans les sous-sols de la morgue, élevant la crasse au rang d’un art et vieillissant sans soin, dormant sur une paillasse pleine de punaises et sans autres vêtements que ceux qu’ils portaient sur lui à son entrée dans l’institution, à dix-sept ans, dans de fâcheuses circonstances.
¡Los escritores más ^ilustres ensalzando la guerra en los periódicos, la gran cruzada de la cultura alemana!» Hablaba en alemán, como si declamara, y algunas personas que pasaban se quedaban mirándolo: la cabeza pelada y ovoide, el traje como de un luto anacrónico, entre la formalidad y la cochambre, la voz ronca y extranjera y la cartera negra apretada entre los brazos, como si contuviera algo muy valioso, sus diplomas y certificados en letra gótica, las cartas de recomendación escritas en varios idiomas, los pasaportes obsoletos, con un sello estampado en rojo en la primera página (Juden -fuif), los salvoconductos o papeles de tránsito mecanografiados en caracteres cirílicos, las copias de solicitudes de visados, las notificaciones desalentadoras de la embajada americana en Madrid, los fajos de periódicos internacionales desmantelados por las tijeras, llenos de subrayados y de signos de admiración y de interrogación, de notas garabateadas en los márgenes.
Les écrivains les plus illustres encensant la guerre dans les journaux, la grande croisade de la culture allemande ! » Il parlait en allemand, comme s’il déclamait, et certaines personnes qui passaient s’arrêtaient pour le regarder : la tête chauve et ovoïde, habillé comme pour un deuil anachronique, entre la correction et la crasse, sa voix étrangère enrouée et son cartable noir serré entre ses bras, comme s’il contenait quelque chose de très précieux, ses diplômes, des certificats en écriture gothique, des lettres de recommandation en plusieurs langues, des passeports périmés portant sur la première page un tampon rouge (Juden-Juif), des sauf-conduits ou des autorisations de transit dactylographiés en caractères cyrilliques, des copies de demandes de visas, des notifications décourageantes de l’ambassade américaine à Madrid, des coupures de journaux étrangers abîmées par les ciseaux, soulignées et couvertes de points d’exclamation et d’interrogation, de notes griffonnées dans les marges.
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