Translation for "clasemediero" to french
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Los meses que había pasado en ese fraccionamiento me habían acostumbrado al brillo de las prendas clasemedieras y a sus muebles impecables.
Les mois que j’avais passés dans ce quartier résidentiel m’avaient habitué au lustre des vêtements de la classe moyenne et à son mobilier impeccable.
Haciendo gala de nuestra condición de clasemedieros mentales, les ofrecimos agua de jamaica y galletas María.
Pour leur prouver notre condition de classe moyenne mentale, on leur offrit de l’eau de Jamaïque et des biscuits Maria.
Mi mamá insistía en que el tamaño de la cocina era un despropósito, pero lo decía desde su perspectiva de clasemediera farsante.
Ma mère insistait sur le fait que la dimension de la cuisine était disproportionnée, mais elle le disait de son point de vue de classe moyenne frelatée.
Yo conocía muy bien su casa, situada en un fraccionamiento clasemediero con aspiraciones yankies como decía mi papá.
Je connaissais bien leur maison, située dans un quartier résidentiel de la classe moyenne aux aspirations yankies, comme disait mon père.
Había tratado de ignorar que existía mientras salía de allí rumbo a la confortable seguridad apestosamente clasemediera de la Nápoles.
Il avait essayé d’ignorer qu’il existait des endroits pareils tandis qu’il s’acheminait vers la confortable sécurité de la Colonia Napoles, qui puait la classe moyenne.
El México fronterizo, tan satisfecho de ser lo más próspero del país, el norte industrial, sin indios, sin la miseria extrema de Chiapas o Oaxaca, el México clasemediero satisfecho de sí mismo frente a la mano tendida del sur mendicante.
Le Mexique frontalier, si content d’être ce qu’il y a de plus prospère dans le pays, le Nord industriel sans Indiens, sans la misère extrême du Chiapas ou d’Oaxaca, le Mexique de la classe moyenne, content de lui face à la main tendue du Sud indigent.
¿Creen que podemos tomar el aeropuerto?, jajajá, háganse invisibles, no se miren entre sí hasta la hora del ataque, corten los conductos de agua, gas, electricidad, aíslen a los barrios de la ciudad, aíslen al centro, a las colonias clasemedieras, a las poblaciones fantasma, sin nombre, donde muere la ciudad: siéntanse unidos y no se rindan.
Vous croyez qu’on peut prendre l’aéroport ?, ha ! ha ! ha !, rendez-vous invisibles, n’échangez pas de regards avant l’heure de l’attaque, coupez les conduits d’eau, de gaz, d’électricité, isolez les quartiers de la ville, isolez le centre, les colonias de la classe moyenne, les agglomérations fantômes, sans nom, où meurt la ville : sentez-vous unis et ne vous rendez pas.
Azoto el teléfono para cortar la comunicación y salgo de la cabina y casi me precipito corriendo a la calle, pero el paraguayo de la caja me detiene con un berrido histérico: ¿¡Adónde vas sin pagar, capullo!?, y mis prejuicios clasemedieros (mis valores, diría mi madre) son más fuertes que el impulso de huir, así que me detengo a esperar a que el paraguayo imprima la cuenta, son dos euros con ochenta, mientras me dice que el timo del cliente que recibe una noticia terrible y se larga sin pagar ya está muy visto, que nadie se lo traga, que en el barrio había una cubana que salía llorando de la cabina y gritaba que sus hijitos habían muerto en La Habana, o en Matanzas, cambiaba la ciudad dependiendo del locutorio, y nadie se atrevía a detenerla cuando se iba, hasta que se corrió la voz en el barrio.
Je trifouille le téléphone pour couper la communication, sors de la cabine et file vers la sortie, mais à la caisse le Paraguayen m’arrête en poussant un hurlement hystérique : Où tu vas sans payer, crétin !? Et mes préjugés de classe moyenne (mes valeurs, dirait ma mère) sont plus forts que mon désir de fuir, je me fige et attends que le Paraguayen imprime ma note, deux euros quatre-vingts, en m’expliquant que l’arnaque du client qui reçoit une horrible nouvelle et se tire sans payer c’est bien connu, mais que ça ne prend pas, que dans le quartier il y avait une Cubaine qui sortait de la cabine en larmes, criant que ses chers petits étaient morts à La Havane, ou à Matanzas, elle changeait le nom de la ville en fonction de la téléboutique, et personne n’osait l’arrêter quand elle s’en allait, jusqu’au jour où la chose s’est répandue dans le quartier.
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