Translation for "calefaccionado" to french
Calefaccionado
Translation examples
El ascensor estaba calefaccionado.
L’ASCENSEUR était chauffé.
Había alojamiento, y muy agradable, por cierto, en el bien calefaccionado castillo, pero opté por dormir en mi cochecito. Estaba acostumbrado a él y me gustaba la sensación de independencia que me proporcionaba por las noches.
Il y avait des chambres – fort agréables d’ailleurs – dans le château, lui-même bien chauffé, mais je préférai dormir dans mon petit fourgon : j’y suis habitué et il me donne, la nuit, un sentiment d’indépendance.
Las ventanas resplandecían más que las paredes porque la casa estaba calefaccionada, y los antiguos cristales de las numerosas puertas del edificio estaban pobremente aislados a pesar de las enormes cortinas que pendían de ellos.
Déjà, les fenêtres assortaient par contraste, car le bâtiment était chauffé, et toutes ces ouvertures aux huisseries à l’ancienne étaient mal isolées, malgré les épaisses tentures accrochées derrière.
Sí; Dios sea alabado por no haber sentido nunca pesar sor Edit, por haber permanecido en aquella enorme habitación, mal calefaccionada, en la que el áspero frío de la noche invernal penetraba y la invadía. —¡Amén!
Oui, Dieu soit loué qu’elle n’ait jamais eu de regrets d’être restée dans cette grande pièce mal chauffée où l’âpre froid de la nuit d’hiver pénétrait et la saisissait ! – Amen !
Se queda en silencio para regodearse en su dicha solo, como quien una noche de invierno polar huye de la intemperie y se refugia en el interior de un auto muy bien calefaccionado, y se pone a manejar, y una a una va despreciando todas las posibilidades de calor y hospitalidad que le ofrece el camino, bares, clubes, un cine, su misma casa, ante cuya puerta pasa sin aminorar la marcha, por el solo placer de perpetuar ese bienestar inmediato, simple, sin testigos.
Il garde le silence pour se délecter tout seul de son bonheur, comme lorsque quelqu’un, par une nuit d’hiver polaire, fuit le mauvais temps en se réfugiant à l’intérieur d’une voiture extraordinairement bien chauffée, et se met à conduire en dédaignant les unes après les autres toutes les possibilités de chaleur et d’hospitalité que lui offrent la route, les bars, les clubs, un cinéma, même sa maison, devant laquelle il passe sans ralentir, pour le simple plaisir de faire durer son bien-être immédiat, simple et sans témoin.
Era un juego. Pero yo no jugaba, el juego jugaba conmigo, porque yo no podía salirme de él, me envicié, corriendo de departamento en departamento, rabiando por un vidrio roto, pescando bronquitis en los corredores de las casas de renta de la Brígida, en sus conventillos distanciándome de mis amigas, descuidando a mis nietos que me interesaban menos que este juego, desgañitándome de tanto gritarle a un arrendatario que no quería o no podía pagar, mientras ella, la Brígida, me esperaba en mi casa calefacciónada, siempre tranquila y compuesta con su moño gris tan soignée.
C’était un jeu mais ce n’était pas moi qui jouais, c’était le jeu qui jouait avec moi, car je ne pouvais plus m’en sortir, c’en devint un vice, je courais d’un appartement à l’autre, j’enrageais pour un carreau cassé, j’attrapais des bronchites dans les couloirs des maisons de rapport de Brígida, dans ses courées, je délaissais mes amies, je négligeais mes petits-enfants qui m’intéressaient moins que ce jeu, je m’égosillais à crier après un locataire qui ne pouvait ou ne voulait pas payer pendant que Brígida, elle, m’attendait dans ma maison bien chauffée, toujours tranquille et bien arrangée avec son chignon gris si soigné(44).
Bien al abrigo en los anocheceres de invierno, en los departamentos calefaccionados contra los vidrios de cuyas ventanas venían a golpear inútilmente los copos de nieve o los puñados de lluvia helada, los que en otras épocas habían nacido para ser personas y ahora se habían transformado en meros compradores, en unidad de medida de los sistemas transnacionales de crédito, en fracciones de los puntos de audiencia de la televisión y en blanco sociológica y numéricamente caracterizados de las tandas publicitarias, absorbían, entre dos cucharadas de alimentos descongelados en el horno a microondas, con alivio injustificado y credulidad inagotable, los comunicados pregrabados que la imagen fantomática del comisario Lautret daba la impresión ilusoria de murmurar al oído de cada uno desde las pantallas magnéticas y siempre al borde de la desintegración de los televisores.
Bien à l’abri par les soirs d’hiver dans les appartements chauffés aux vitres desquels venaient en vain frapper les flocons de neige et les paquets de pluie glacée, ceux qui en d’autres temps étaient venus au monde pour être des personnes et qui de nos jours s’étaient transformés en simples acheteurs, en unités de mesure des systèmes de crédit internationaux, en fractions de points d’audience à la télévision et en cibles socialement et numériquement définies des campagnes de publicité, absorbaient, entre deux cuillerées d’aliments décongelés au four à micro-ondes, avec un soulagement injustifié et une crédulité inépuisable, les communiqués préalablement enregistrés que la silhouette fantomatique du commissaire Lautret donnait l’impression illusoire de murmurer à l’oreille de chacun depuis les écrans magnétiques et toujours au bord de la désintégration des téléviseurs.
¿De dónde vienen? Más que de un hogar, con sus livings calefaccionados, sus dormitorios a medio hacer, sus baños todavía empañados por el vapor de una ducha, más que de una oficina, con sus sillones giratorios, sus cortinas de baquelita, sus pisos alfombrados, se los imagina veinte minutos antes y los ve emergiendo de las cápsulas vidriadas en las que han hibernado toda la noche y que se abren de golpe, activadas quién sabe por qué cerebro central, con un chasquido que se prolonga en una exhalación, muy parecido al que años después harán los ómnibus de línea, no ónigos, cuando frenan y se detienen —las mismas cápsulas, mezcla de viejos secadores de pelo y ascensores transparentes, donde los invasores de Los invasores pasan en estado de inanimación el tiempo en el que no están ocupados tomando el control de fábricas de armamento, apoderándose de canales de televisión o anidando en los cuerpos de un elenco de terrícolas estratégicos.
D’où viennent-ils ? Plus que de leurs domiciles, avec leurs salons bien chauffés, leurs chambres à moitié rangées, leurs salles de bains encore envahies par la vapeur d’eau après une douche, plus que de bureaux, avec leurs chaises pivotantes, leurs stores vénitiens, leurs sols couverts de moquette, il les imagine vingt minutes plus tôt et les voit émerger de capsules vitrées dans lesquelles ils ont hiberné toute la nuit et qui s’ou-vrent soudain, actionnées par on ne sait quel cerveau central, dans un claquement prolongé par un soupir très semblable à celui que feront, des années plus tard, les omnibus de ligne, pas les onigos, en freinant et en s’arrêtant – ces mêmes capsules, croisement entre un sèche-cheveux et un ascenseur transparent, dans lesquelles les envahisseurs des Envahisseurs passent inanimés tout le temps où ils ne sont pas occupés à prendre le contrôle d’usines d’armement, à s’emparer de chaînes de télévision ou à se glisser dans le corps d’une série de terriens à l’importance stratégique.
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