Translation for "cabeza rizada" to french
Cabeza rizada
Translation examples
Posó la mano en la cabeza rizada del karpos.
Elle a posé la main sur la tête bouclée du karpos.
La niña con tos mueve la cabeza rizada en un vehemente gesto de negación.
La fillette qui tousse secoue violemment sa tête bouclée.
La cabeza rizada de Gideon surgió de la trampilla, y luego el resto de él.
La tête bouclée de Gideon apparut à la lucarne, puis le reste suivit.
Roy asomó por la puerta su cabeza rizada, sus ojos grises de besugo.
Roy passa par l’ouverture de la porte sa grosse tête bouclée aux yeux gris de gollywog.
Cuando me desperté al fin, ya había amanecido y la cabeza rizada de Vartan reposaba en mi pecho.
Quand je me réveillai enfin, le soleil était haut dans le ciel et la tête bouclée de Vartan reposait sur ma poitrine.
La bella cabeza rizada del extranjero no le presta atención, sino que se yergue sobre su dueño a su máxima altura; parece tratarse de un turco relativamente grande.
La jolie petite tête bouclée de l’étranger ne l’écoute pas, elle se pousse de toute la taille de son propriétaire – un Turc relativement grand, semble-t-il.
El sol lanzaba sus dardos sobre la cabeza rizada de Daphne. En la penumbra, al fondo de la biblioteca, una compañera de Daphne leía encorvada sobre una mesa.
Un oblique rayon de soleil, juste au-dessus de la tête bouclée et maussade de Daphné, illuminait de lourdes particules dansantes : au fond de la salle, dans la pénombre, l’autre employée était affalée sur une table : elle lisait.
Hasta su hermano pequeño, Auad, levantó su cabeza rizada y me miró fijamente con ojos de cordero marrones, sorprendidos, llenos de curiosidad y un cierto temor, y de repente también él empezó a recitar en un hebreo impecable: ¡Dame un momento! ¡No tengo un momento!
Le petit frère, Awad, qui avait levé sa tête bouclée pour me regarder avec ses yeux candides et innocents, emplis de curiosité et d’une légère inquiétude, s’écria brusquement : « Donnez-moi le temps !
21 Me había fascinado ver, en el Teatro Colonial de la plaza Garibaldi en México, a los hombres debatirse para abrevarse en el sexo de las mujeres, alzarse, apoyándose en los brazos de sus asientos tras dar un codazo a un amigo o a un viejo verde para impedirles que hicieran lo mismo, hasta la pasarela en la que ellas desfilaban iluminadas por un haz de luz, eligiendo entre la gente una cabeza para metérsela entre los muslos abiertos; yo, mientras, sentado a un lado en un banco de madera, asustado y aturdido, encogiéndome e incrustándome en el banco a medida que se desarrollaba el espectáculo más primario y más bello del mundo, esa comunión de los hombres en el vello de las mujeres, ese impulso juvenil por alcanzarlo incluso en los hombres más viejos, yo los devoraba con los ojos y el corazón palpitante, desapareciendo casi debajo de mi asiento por temor a ser escogido por una de aquellas bailarinas de strip-tease, pues para mí meter el morro en su triángulo habría sido como desvanecerme definitivamente del mundo, como perder en él mi cabeza para siempre, y la mamona avanzaba hacia mí provocándome, se acercaba cada vez más, convirtiendo mi terror en el hazmerreír de los demás jóvenes, dispuesta a ponerse en cuclillas ante mi rostro y agarrar mi cabeza rizada, la única rubia una vez más de todo el público, y zarandearla hasta que mis labios se abrieran para rendir culto a la raja y beber la sed de los jóvenes que se habían saciado en ella, pero de repente las luces volvieron a encenderse, la bailarina de strip-tease sorprendida se estremeció, recogió una bata de una silla y se fue corriendo, y los acomodadores hicieron salir con silbatos, cuando no a latigazos, como si se tratara de animales, a los jóvenes sedientos o ahítos, que habían perdido su ardor repentinamente, como si todo no hubiese sido más que una ilusión óptica, una ilusión de la sombra, a la luz en la que volvían a ser trabajadores agotados, con trajes anodinos y estrechos, y que habían escondido a sus mujeres en el asiento de al lado.
21 J’avais été ébloui, au Teatro colonial, place Garibaldi à Mexico, de voir les hommes se battre pour s’abreuver au sexe des femmes, se hisser de leurs sièges en traction sur leurs bras, après avoir assommé un pote à soi ou un vieux cochon pour qu’ils y renoncent, vers la passerelle où elles défilaient dans leur pinceau de lumière, choisissant une tête dans la foulée pour la plaquer entre leurs cuisses écartées, moi assis à l’écart sur un de ces bancs de bois, terrorisé et étourdi, rétrécissant et m’incrustant dans ce banc au fur et à mesure du déroulement du spectacle le plus primaire et le plus beau du monde, cette communion des hommes dans la toison des femmes, cet élan juvénile même des plus âgés pour l’atteindre, je les buvais des yeux le cœur battant, disparaissant quasiment sous mon siège de crainte d’être élu par une des strip-teaseuses, car pour moi fourrer mon museau dans leur triangle c’était m’évanouir définitivement du monde, et y perdre ma tête à jamais, l’effeuilleuse avançait dans ma direction en me narguant, s’approchait toujours plus près, désignant mon effroi comme un élément comique à la risée des autres jeunes hommes, prête à s’accroupir devant ma face et saisir ma tête bouclée, la seule blonde encore de toute l’assistance, et la malmener jusqu’à ce que mes lèvres s’entrouvrent pour honorer la fente, et boire la soif des jeunes hommes qui s’y étaient assouvis, mais d’un seul coup les lumières se rallumèrent, la strip-teaseuse surprise frissonna, ramassa un peignoir sur une chaise et détala, et les ouvreurs firent sortir comme des bêtes, à coups de sifflet sinon de fouet, les jeunes hommes assoiffés ou rassasiés, qui avaient perdu leur fougue en un éclair comme une illusion d’optique, une illusion de l’ombre, dans la lumière où ils redevenaient des travailleurs épuisés, aux costumes ternes et étriqués, qui avaient caché leur femme dans le fauteuil à côté d’eux.
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