Translation for "benévolamente" to french
Translation examples
Celeste sonríe benévolamente.
Celeste m’adresse un sourire bienveillant.
Muy poco más allá del umbral de la puerta, el adiposo Gutman les sonreía benévolamente.
Dans la pièce, le gros Gutman les regardait en souriant d’un air bienveillant.
Noirtier acogió benévolamente al joven, y recibió con agrado las muestras de gratitud que éste le daba, por la maravillosa intervención que había salvado a Valentina y a él de la desesperación.
Noirtier accueillit par un regard bienveillant les remerciements que Morrel lui prodiguait pour cette merveilleuse intervention qui les avait sauvés, Valentine et lui, du désespoir.
Paul les sonrió discreta y benévolamente, desde la enorme distancia oscura que acababa de recorrer, que hacía que todo lo demás pareciera encantador pero extrañamente irrelevante.
Paul leur adressa un sourire doux et bienveillant depuis l’incommensurable et sombre distance qu’il venait de parcourir, qui rendait tout le reste charmant mais bizarrement hors de propos.
–Vaya, tampoco pertenezco al Ministerio del Interior -explicó Smiley meneando benévolamente la cabeza, lo que de algún modo le permitió compartir el desconcierto del señor Murgotroyd.
— Hélas, pas l’Intérieur non plus », dit Smiley en secouant la tête d’un geste bienveillant qui, dans une certaine mesure le rendait complice de la stupéfaction de M. Murgotroyd.
George le echó un vistazo a la figura caballeresca de Cecil y dijo benévolamente: —Me pregunto si la gente no está empezando a hartarse de la guerra. —Pues yo no creo que ya se haya dicho todo sobre ella —dijo Stokes. —En eso tiene razón —dijo George—.
George jeta un coup d’œil à la silhouette chevaleresque de Cecil et dit d’un air bienveillant : « Je me demande si les gens n’en ont pas assez d’entendre parler de la guerre. – Je ne crois pas que nous arrêterons d’en entendre parler de sitôt. – Vous avez raison.
Ese sentido de plenitud vital, ese regalo de las endorfinas y de la presión sanguínea o de algún ácido benévolamente segregado por el cerebro, lo he sentido realmente en las callejas y en las orillas de Passau, ¿o creo únicamente haberlo experimentado porque ahora intento describirlo en las mesitas del triestino café San Marco?
Ce sentiment de plénitude vitale, ce cadeau des endorphines et de la tension artérielle ou de quelque acide sécrété par un cerveau bienveillant, l’ai-je vraiment éprouvé dans les ruelles et sur les quais de Passau – ou alors est-ce que je crois l’avoir éprouvé seulement parce que, attablé au Caffè San Marco, je suis en train d’essayer de le décrire ?
Puede que me estén engañando mis recuerdos de ese día. Pero mientras el exquisito cepillo volvía de mis manos a las suyas, en el silencio extasiado del piso de la señorita Erith en lo alto de la ciudad de Lichfield, con el doctor Mumtaz Hameed mirándonos benévolamente, sonriente, sentí que lo que estaba teniendo lugar era casi una ceremonia religiosa;
Je suis peut-être farfelu, il se peut que ma mémoire me joue des tours, mais quand cette exquise brosse à dents est passée de mes mains aux siennes, dans le silence suspendu qui régnait chez Miss Erith, au-dessus de Lichfield, sous le regard bienveillant et souriant du Dr Mumtaz Hameed, j’ai eu le sentiment de participer à une cérémonie religieuse, ou presque.
También está la sensación de ser constante, aunque benévolamente observada, lo que vuelve imposible hacer nada extraño o impulsivo —salir a dar un paseo bajo la lluvia antes de desayunar, por ejemplo, o levantarse a las tantas de la madrugada para prepararse una taza de cacao y leer a Trollopesin sin provocar un ansioso interrogatorio: «¿Vinnie?
Et puis il y a cette sensation d’être constamment observée, même si le regard est bienveillant, ce qui interdit de faire quoi que ce soit de bizarre ou d’imprévu, d’aller se promener sous la pluie avant le petit déjeuner, par exemple, ou de se lever à deux heures du matin pour se faire une tasse de cacao et lire Trollope, sans déclencher des interrogations inquiètes. « Vinnie ?
A su alrededor estaban, cuando volvió en sí, Henry, Nathan, la madre de ambos, la prima Essie y el recién llegado de la familia, el muy cordial y muy bondadoso del señor Metz, un hombre de setenta y cinco años, contable retirado, que se mantenía benévolamente aparte de todos los viejos conflictos de los demás, que jamás le echaba en cara nada a nadie y que tenía la cabeza ocupada, más que en ninguna otra cosa, en el bridge.
Rassemblés autour de lui quand il reprit conscience, se trouvaient Henry, Nathan, leur mère, la cousine Essie et le nouveau venu dans la famille, le cordial et bienveillant mari d’Essie, M. Metz, un comptable retraité de soixante-quinze ans qui se tenait élégamment écarté de leurs anciens affrontements, ne reprochant rien à personne et pensant avant tout à jouer au bridge.
Mediante Retribución que se Discutirá Amablemente, el célebre Pinhas Solal, apodado Comeclavos, se mostraría dispuesto a escribir un Libro Elogioso sobre Cualquier cosa, por ejemplo una obra sincera y patriótica sobre cualquier país, aunque preferentemente Francia, o Inglaterra y su Cámara de los Lores, o Suiza, pequeña pero poderosa y bien cuidada, o se mostraría asimismo benévolamente dispuesto a redactar Libro Profundo sobre Escritor varón o hembra o sobre Actriz poco conocida, con Reflexiones Galantes, o también una obra emotiva para rehabilitar a algún pobre Condenado a Muerte, ¡siempre que la familia sea de Clase Acomodada!
« Moyennant Rétribution à Débattre Aimablement, le célèbre Pinhas Solal, surnommé Mangeclous, serait disposé à écrire un Livre Élogieux sur N’Importe Quoi, par exemple un ouvrage sincère et patriotique sur tout pays généralement quelconque, mais de préférence la France, ou l’Angleterre et sa Chambre des Lords, ou la Suisse, petite mais solide et bien entretenue, ou encore il serait bienveillamment disposé à rédiger Livre Profond sur Écrivain mâle ou femelle ou sur Actrice peu connue, avec Réflexions Galantes, ou encore un ouvrage ému réhabilitant quelque pauvre Condamné à Mort, si la famille est de Situation Aisée !
Éstos que acudieron a calentarse en mi fuego, al contrario, son fluctuantes como las llamas y las sombras, me acogen benévolamente en su número ahora que he quemado mi nombre definitivamente, mi voz la perdí hace mucho tiempo, ya no tengo sexo porque puedo ser una vieja más entre tantas viejas de la casa, y mis papeles incoherentes de garabatos que intentaron implorar que se me concediera una máscara definida y perpetua, los quemo, pero no todos, no todos, quedan tantos volúmenes allá en la biblioteca de los sillones grises, pero no lo saben, creen que soy como ellos porque he aprendido a ir disfrazándome con los desperdicios que voy encontrando tirados en los rincones o en la calle… alguna vez lograré ser uno de ellos… partir sin dejar rastro… no hollar el suelo… no alcanzar sombra de contorno recortado… sólo así lograré liberarme de don Jerónimo que me busca porque me necesita y necesita cosas que conservo y de las que no me puedo desprender todavía, y de la Peta Ponce, que no muere jamás, llega hasta aquí como un eco nacido en la pesadilla inicial, no logro engañarla con mi sucesión de disfraces, por lo menos confundirme con ellos, sombras, espaldas cargadas con sacos, barbas, encías sin dientes, pitillo caído en la esquina de la boca, quisiera integrarme a la corte que lentamente se va yendo… yo, víctima temblorosa dotada de una identidad precaria, transformado como ellos en débil verdugo intocable porque nada podemos perder porque no tenemos nada que nadie nos envidie ni desee… se van… vámonos de aquí, madre Benita, sigámoslos, hace frío aquí en el cauce de piedra y los carabineros, arriba, siguen vigilando para buscarme porque me robé mi propio libro, pero no, hasta los carabineros se van porque ya es tarde.
Ceux qui sont venus se chauffer à mon feu sont au contraire fluctuants comme les flammes et les ombres, ils m’accueillent bienveillamment parmi leur nombre maintenant que j’ai définitivement brûlé mon nom ; ma voix, il y a beau temps que je l’ai perdue ; je n’ai plus de sexe puisque je peux être une vieille de plus parmi toutes celles de la Maison ; et mes papiers incohérents, dont les griffonnages tentèrent de supplier que l’on m’accordât un masque déterminé et perpétuel, je les brûle, mais pas tous, pas tous, il reste tous ces volumes là-bas dans la bibliothèque aux fauteuils gris, mais ils ne le savent pas, ils croient que je suis comme eux parce que j’ai appris à me déguiser avec les détritus que je trouve jetés dans les coins ou dans la rue… un jour j’arriverai à être l’un d’eux, à partir sans laisser de trace… pas d’empreinte sur le sol… sans projeter d’ombre au contour bien découpé… c’est seulement ainsi que je parviendrai à me libérer de don Jerónimo qui me cherche parce qu’il a besoin de moi et de choses que je conserve et dont je ne puis me séparer encore, et de la Peta Ponce, qui ne meurt jamais, qui arrive jusqu’ici comme un écho né du cauchemar initial, je ne parviens pas à la tromper par la succession de mes déguisements – du moins voudrais-je me confondre avec eux, ombres, dos chargés de sacs, barbes, gencives sans dents, cigarillo tombant au coin des lèvres, m’intégrer à cette cour qui est en train de lentement s’en aller… moi, victime tremblante dotée d’une identité précaire, transformé comme eux en faible bourreau intouchable car nous ne pouvons rien perdre si nous n’avons rien que personne ne désire ou ne nous envie… ils s’en vont… partons d’ici, mère Benita, suivons-les, il fait froid ici dans ce lit de pierre, et les carabiniers, là-haut, continuent leur guet, à ma recherche parce que j’ai volé mon propre livre, mais non, même les carabiniers s’en vont, car il est tard.
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