Translation for "ataba" to french
Translation examples
Su cara era redondeada, y se ataba atrás el espeso cabello con dos o tres trozos de paja.
Sa face était ronde, et ses cheveux touffus liés dans le dos par de la paille.
Debió de darse cuenta de que la Juventus ya no sería el mismo equipo y que, si me ataba al club, mi carrera habría acabado.
Il devait avoir compris qu’après ça la Juventus ne serait plus la même équipe et que mon destin aurait été scellé si un nouveau contrat m’avait lié au club.
El Espíritu Santo sería el acuerdo que nos ataba, porque estábamos atados, eso es seguro, y nunca dejé que mis pensamientos fueran más allá de las órdenes del Hombre Justo.
Le Saint-Esprit était ce qui nous liait, parce que nous étions liés, c’était certain, et je n’avais jamais songé à voir plus loin que les ordres de l’Homme Juste.
La Policía llegaba primero, amordazaba y ataba a la víctima y se la llevaba en sus resplandecientes vehículos, de modo que cuando llegaban los bomberos encontraban la casa vacía.
La police arrivait d’abord, bâillonnait la victime au ruban adhésif et l’embarquait pieds et poings liés dans ses coccinelles étincelantes, de sorte qu’en arrivant on trouvait une maison vide.
—Me lo imaginé sentado en el borde de la cama mientras ataba a Tonia Lee, doblando meticulosamente su ropa, ella consciente en todo momento de que iba a morir—. Era un desecho —repitió.
Je l'imaginais, debout au pied du lit après y avoir lié les mains et les pieds de Tonia. Il lui parlait tout en pliant méthodiquement ses vêtements. Et Tonia Lee savait qu'elle allait mourir. — Une petite merde.
¿Todo al cabo se ataba en un haz que reunía los hilos de la trama en este encuentro azaroso con Filopáter y en la lectura, aún más fortuita, de una carta que me escribió Lucha Zapata sin perder esperanzas de que yo la leyera un día?
Est-ce que tout se trouvait finalement lié en un faisceau qui rassemblait les fils de la trame et convergeait dans cette rencontre imprévue avec Philopater et dans la lecture, encore plus fortuite, d’une lettre que m’avait écrite Lucha Zapata sans perdre l’espoir que je la lise un jour ?
Las reliquias eran algo más que meras posesiones atesoradas por los cinco hechiceros que apresaron a Tz'arkan, eran parte integral del proceso que lo ataba al reino físico. Es por eso por lo que debe encontrarlas si quiere deshacer esa vinculación que le han impuesto.
Les reliques n’étaient pas seulement des biens possédés par les cinq sorciers qui ont séquestré Tz’arkan : elles ont joué un rôle majeur dans l’opération qui l’a lié au royaume physique. C’est la raison pour laquelle il en a besoin s’il veut rompre l’entrave qui est la sienne.
Sangre lo había convertido en empleado, explotando la situación en beneficio propio. (Meditabundo, Seda se acarició la mejilla y de nuevo sintió la aspereza de la barba recién crecida). En beneficio personal de Sangre, como no cabía menos esperar; pero la relación, como todas las relaciones, los ataba a los dos. Él era empleado de Sangre, le gustase o no, pero también lo era sin que importase la opinión de Sangre.
Pensif, Organsin gratta à nouveau sa barbe naissante. Sangre ne visait qu’à s’enrichir par son intermédiaire mais ils étaient liés par un contrat réciproque. Sangre l’avait lui-même entériné en chargeant le docteur Héron de le visiter au mantéion.
—Casi todas las mañanas lo veía pescando con caña, allí, mire, junto a aquel remolcador… Es así como nos conocimos. Al principio él no sabía gran cosa, pero yo le aconsejaba. Gracias a mí ha llegado a pescar muy buenos gobios, para las fritangas… A las once, con toda calma, recogía las cañas, las ataba y volvía a casa… Es así como me enteré de dónde vivía…
— Presque tous les matins je le voyais pêcher à la ligne, ici, tenez, où il y a un remorqueur… C’est comme ça que nous avons lié connaissance… Au début, il ne s’y connaissait pas très bien, mais je lui ai donné des conseils… Et il lui est arrivé, grâce à moi, de prendre au chènevis de belles fritures de gardons… À onze heures tapant, il repliait ses lignes, attachait ses cannes et rentrait chez lui… C’est comme ça que j’ai su où il habitait…
Un día, contó María Guavaira, en una hora como ésta y la luz como ahora estaba, apareció el perro, con aire de venir de muy lejos, traía el pelo sucio, le sangraban las patas, llegó y con la cabeza dio contra la puerta, abrí creyendo que era uno de esos mendigos que van de tierra en tierra, y que en llegando golpean con el bordón y dicen, Una limosnita para este pobre, señora, pero, qué es lo que veo, el perro, jadeando como si viniera a la carrera desde el fin del mundo, y la sangre manchaba la tierra bajo sus patas, lo más asombroso fue que yo no me asustara, y no era el caso para menos, quien no conozca lo bendito que el can se creería que está ante la más temible de las fieras, pobrecillo, así que me vio se tumbó en el suelo, como si sólo estuviera a mi espera para descansar, y parecía que lloraba, como alguien que quisiera hablar y no pudiese, durante el tiempo que estuvo aquí nunca lo oí ladrar, Lleva seis días con nosotros y tampoco ha ladrado, dijo Joana Carda, Lo metí en casa, lo curé, no es un perro vagabundo, se le nota en el pelo, y se ve que los dueños lo alimentaban bien, le daban cuidados y atención, para notar la diferencia basta compararlo con los perros gallegos, que nacen hambrientos y mueren hambrientos tras vivir hambrientos, y son tratados a palo y piedra, por eso un perro gallego no es capaz de alzar el rabo, lo esconde entre las piernas con la esperanza de pasar inadvertido, su desquite, cuando puede, es morder, Este no muerde, dijo Pedro Orce, Vete a saber de dónde vino, quizá no lo sepamos nunca, dijo José Anaiço, y tal vez la cosa no tenga importancia, lo que me da que pensar es que haya ido a buscarnos para traemos aquí, uno no puede dejar de preguntarse por qué, No lo sé, sólo sé que se marchó un día con un trozo de hilo en los dientes, me miró como si quisiera decir, No salgas de aquí hasta que yo vuelva, y tiró monte arriba, por donde ahora ha bajado subió entonces, Qué hilo es éste, preguntó Joaquim Sassa mientras enrollaba y desenrollaba de la muñeca la punta que todavía lo ataba a María Guavaira, Ojalá lo supiera yo, respondió ella doblando entre los dedos la punta de su lado y estirando así el hilo como una tensísima cuerda de guitarra, pero ni él ni ella parecían reparar en que estaban atados, los otros, sí, miraban, los pensamientos que tenían los callaron, aunque no sea difícil imaginarlos, Porque lo único que hice yo fue deshacer una media vieja, de esas que servían para guardar dinero, la media que deshice daría un puñado de lana, sin embargo, la que ahí hay corresponde a la lana de cien ovejas, y quien dice cien dice mil, qué explicación se encontrará a este caso, Detrás de mí anduvieron durante días dos mil estorninos, dijo José Anaiço, Tiré al mar una piedra que casi pesaba tanto como yo y cayó muy lejos, añadió Joaquim Sassa dándose cuenta de que exageraba, y Pedro Orce sólo dijo, La tierra tembló y tiembla.
Il y a quelque temps, raconta Maria Guavaira, à la même heure qu’aujourd’hui, la lumière aussi était identique, le chien est apparu, il avait l’air de venir de très loin, son poil était sale, ses pattes saignaient, il a cogné sa tête contre la porte, et lorsque je suis allée ouvrir, pensant qu’il s’agissait de l’un de ces mendiants qui vont de-ci de-là et qui, lorsqu’ils arrivent quelque part, frappent avec leur bâton et disent, Une petite aumône pour un pauvre diable, madame, et qu’est-ce que je vois, le chien, il haletait comme s’il arrivait du bout du monde en courant, et le sang tachait la terre sous ses pattes, mais le plus étonnant c’est que je n’ai pas eu peur, et pourtant il y avait de quoi, quand on ignore à quel point il est pacifique on croit se trouver face au plus terrible des fauves, le pauvre, dès qu’il m’a vue il s’en est remis à moi, comme s’il avait attendu de me trouver pour se reposer enfin, et on aurait dit qu’il pleurait comme quelqu’un qui aurait voulu parler et n’aurait pu le faire, pendant tout le temps qu’il est resté ici je ne l’ai pas entendu aboyer une seule fois, Il est avec nous depuis six jours et il n’a pas aboyé non plus, dit Joana Carda, Je l’ai gardé à la maison, je l’ai soigné, je me suis occupée de lui, ce n’est pas un chien errant, ça se voit à son poil, ses maîtres devaient sûrement bien le traiter et bien le nourrir aussi, pour s’en rendre compte il suffit de le comparer avec les chiens galiciens qui naissent faméliques, meurent faméliques après avoir vécu faméliques toute leur vie, et on les traite à coups de pierre et de bâton, c’est pourquoi le chien galicien n’est pas capable de dresser sa queue, il la dissimule entre ses pattes dans l’espoir de passer inaperçu, sa seule défense, quand il le peut, c’est de mordre, Celui-ci ne mord pas, dit Pedro Orce, On ne saura probablement jamais d’où il vient, dit José Anaiço, et ça n’a d’ailleurs pas beaucoup d’importance, ce qui m’intrigue c’est qu’il soit parti à notre recherche pour nous ramener ici, on se demande vraiment pourquoi, Je l’ignore, je sais seulement qu’un jour il est parti avec un bout de fil entre les dents, il m’a regardée comme s’il voulait dire, Ne sors pas d’ici tant que je ne serai pas de retour, et puis il est parti dans la montagne, celle qu’il vient de redescendre, Qu’est-ce que c’est que ce fil, demanda Joaquim Sassa tout en enroulant à son poignet le bout de fil qui le reliait encore à Maria Guavaira, et en le déroulant, Qu’est-ce que j’en sais, répondit celle-ci, enroulant le bout de fil entre ses doigts et le tendant comme une corde de guitare, aucun des deux ne semblait remarquer qu’ils étaient liés, les autres si, et ils les observaient, non, on ne dira rien de leurs pensées, encore qu’il ne soit guère difficile de les deviner, Je n’ai rien fait d’autre que détricoter une vieille chaussette, une de celles dont on se sert pour garder l’argent, mais la chaussette aurait dû donner une poignée de laine à peine, or ce qu’il y a là correspond à la laine de cent moutons, et quand je dis cent, je devrais dire cent mille, quelle explication peut-on donner à une pareille chose, Des milliers d’étourneaux m’ont suivi plusieurs jours durant, dit José Anaiço, J’ai lancé une pierre à la mer qui était aussi lourde que moi et elle est allée tomber au loin, ajouta Joaquim Sassa, tout en sachant qu’il exagérait, et Pedro Orce dit simplement, La terre a tremblé et elle tremble encore.
Sostenía una cuerda, la que ataba al niño.
Il tenait une corde à la main, celle avec laquelle était attaché l’enfant.
Vi que los tallos habían sido cortados muy rudamente y que ningún cordel los ataba.
Je remarquai que les tiges grossièrement cassées n’étaient pas attachées par le moindre lien.
Rodeándole el cuello, un alambre ataba el saco a la cruz.
Le sac était serré au cou par un morceau de fil de fer, attaché derrière la nuque à la croix d’acier.
Una de ellas le ataba los brazos a la espalda, por los codos, en tanto que la otra la llevaba anudada al cuello, a guisa de traílla.
Elle avait les coudes attachés derrière le dos, et une laisse lui enserrait le cou.
Me pregunté si él se acordaba de Esmeralda mientras prendía los alfileres o ataba los cordones.
Je me demandai s’il pensait à la petite Esmeralda lorsqu’il fermait les épingles de nourrice ou nouait les attaches.
Sentía que ya nada le ataba a Guy, pero pensaba que, si la vida hubiera sido distinta, probablemente habrían sido felices.
Elle ne se sentait aucune attache avec Guy mais, si la vie avait été différente, ils auraient peut-être pu être heureux.
Cuando empezó a sonar la campana, vio a Frank Shabata que llegaba a caballo y lo ataba al poste.
Quand la cloche eut commencé à sonner, il vit Frank Shabata arriver à cheval et attacher sa monture à la barre.
Fuera del tren, la gente se ataba con correas a los vagones y algunos permanecían de pie en la escalera aferrados a la barandilla.
À l'extérieur du train, des gens étaient attachés aux wagons par des sangles et certains se tenaient debout sur les marches en s'accrochant aux rambardes.
La joven se habría derrumbado hacía rato, pero la cuerda del techo que le ataba las muñecas la mantenía de pie, derecha.
Elle se fût effondrée depuis longtemps si la corde liant ses poignets n’avait été attachée au plafond pour la maintenir debout.
El modelo se ataba a una base de cartón mediante un cable, y las partes más finas se envolvían con papel tisú.
Le modèle était attaché à un socle en carton par un câble, et les parties plus fines étaient enveloppées dans du papier de soie.
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