Translation for "asfaltar" to french
Translation examples
Un camino estrecho sin asfaltar seguía el curso del río.
Un étroit chemin non asphalté serpentait le long du fleuve.
Lo derribaron, a él y a la bici, al suelo de la calle que el condado había tenido a bien asfaltar aquel invierno.
Ils l’envoyèrent valser avec son nouveau vélo sur l’asphalte que le comté avait fait poser l’hiver précédent.
Al poco, sin embargo, notó que el vehículo giraba y enfilaba un nuevo camino sobre un terreno llano y tosco, sin asfaltar.
Peu après, cependant, il nota que le véhicule tournait et roulait sur un terrain plat et rudimentaire, sans asphalte. Ils avaient changé de chemin.
Seguro que estaba en el condado de Bruce, dijimos, y en el lado septentrional de una carretera sin asfaltar en dirección este-oeste, y cerca había muchas coníferas.
Elle était sûrement dans le comté de Bruce, avons-nous dit, et sur le côté nord d’une route est-ouest non asphaltée, et il y avait beaucoup de conifères dans le voisinage.
Podía hacerlo horas, pero en las calles sin asfaltar de Iquitos tropezaba a menudo en huecos y charcos lle nos de agua, donde croaban las ranas.
Il pouvait le faire des heures durant, mais dans les rues non asphaltées d’Iquitos il trébuchait souvent sur des trous et des flaques pleins d’eau, où coassaient les grenouilles.
Los quebequeses no se tomaban ya el trabajo de asfaltar más allá de unos diez kilómetros fuera de la ciudad, dado que el hielo se empeñaba en hacer estallar, cada invierno, el asfalto.
Au-delà d’une dizaine de kilomètres hors la ville, les Québécois ne prenaient plus la peine de goudronner, attendu que le gel s’employait à faire exploser l’asphalte chaque hiver.
Excavadoras, apisonadoras, máquinas de asfaltar, hormigoneras, ahora inmóviles, cobraban una presencia tan sólida como la de los edificios donde ya se habían cubierto aguas, sobre los cuales ondeaban en la tarde luminosa de finales de septiembre hermosas banderas tricolores.
Des pelleteuses, des rouleaux compresseurs, des asphalteuses, des bétonnières maintenant immobiles acquéraient une présence aussi solide que celle des bâtiments à peine mis hors d’eau au-dessus desquels flottaient, dans l’après-midi lumineux de la fin septembre, les beaux drapeaux tricolores.
Ahora sabía ya por qué esa sensación de riesgo e inquietud aparecía siempre unida a mis recuerdos de los caminos sin asfaltar, a veces sin grava siquiera —algunos tenían tales roderas y surcos que mi padre los llamaba «tablas de lavar»—, y los puentes de tablones de un solo carril.
Je sus alors pourquoi un tel sentiment de risque, une inquiétude si vive, se mêlait à mon souvenir de ces routes non asphaltées, dépourvues même, pour certaines, d’une couche de gravier – quelques-unes étaient si ondulées que mon père les appelait planches à laver – et des ponts de bois à voie unique.
Un viento que amenazaba con desarbolar la capota del Mehari soplaba desde el mar, y en determinado momento (para entonces hacía ya rato que no nos cruzábamos con ningún coche) la carretera se desintegró, convertida casi de golpe en un camino de tierra o en un camino a medio asfaltar. ¿Adónde vamos?, preguntó el Zarco. No lo sé, dije.
Un vent qui menaçait d’arracher le capot de la Mehari soufflait depuis la mer et à un moment donné (ça faisait déjà pas mal de temps qu’on ne croisait plus de voitures), la route s’est dégradée, devenant presque d’un coup un chemin de terre vaguement asphalté. Où est-ce qu’on va ? a demandé Zarco. Je ne sais pas, ai-je dit.
Camina el Capitán a paso ligero por la acera del puente, sobrepasando a los obsesos compradores atraídos por la ciudad campamento de Ciudad del Este, falsificadas marcas de París o de la ciudad universal del consumo en almacenes gigantescos de frontera, como depósitos para mercancías de una huida, abiertos a calles sin asfaltar donde circulan las aguas podridas de las cloacas rotas y las aguas perdidas de las lluvias recientes.
Le Capitaine marche d’un pas rapide sur le trottoir du pont, dépassant les acheteurs obèses attirés par la ville-campement de Ciudad del Este, fausses marques de Paris ou de la capitale universelle de la consommation dans de gigantesques magasins de frontière, comme si des gens avaient fui et qu’on avait mis là toutes les marchandises, dépôts ouverts sur les rues non asphaltées où circulent les eaux pourries des égouts crevés et les eaux perdues des pluies récentes.
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