Translation for "angustiante" to french
Angustiante
Translation examples
–Mira, Brian, imagino que todo esto es muy angustiante para ti.
— Écoute, Brian, j’imagine que tout ceci est très pénible pour toi.
Era otra cosa, un vacío angustiante, doloroso, una postración penosa que no le impedía oír a Geneviève llamándola:
C’était autre chose, un vide angoissant, douloureux, une prostration pénible qui ne l’empêchait pas d’entendre Geneviève appeler :
La empresa fue angustiante: los cuerpos estaban abandonados desde hacía más de cinco días y se encontraban ya en estado de descomposición; los perros y los animales salvajes habían dado buena cuenta de aquellos pobres restos.
La tâche fut fort pénible : abandonnés depuis cinq jours, les corps étaient en putréfaction, et les animaux les avaient déjà attaqués.
Las máquinas deben trabajar por y para nosotros en las minas de carbón, realizar las labores sanitarias, las que les corresponden a los fogoneros, limpiar las calles y llevar los mensajes cuando llueve y, en general, hacer cualquier cosa que sea tediosa o angustiante.
Les machines doivent travailler pour nous dans les mines de charbon, assurer tous les services sanitaires, alimenter les chaudières des navires, nettoyer les rues, porter les lettres les jours de pluie et faire tout ce qui est ennuyeux ou pénible.
Cuando mis conocidos me preguntan cómo estoy ahora oigo una inflexión nueva en sus voces, una inflexión que antes no oía y que cada vez me resulta más angustiante, casi humillante: esos conocidos parecen preguntarlo con impaciencia, medio preocupados y medio irritados, como si ya no les interesara la respuesta.
J’entends une tonalité inédite dans la voix de mes proches qui me demandent comment je vais, une tonalité que je n’avais pas décelée jusqu’à présent et que je trouve de plus en plus pénible, voire humiliante : ces proches paraissent, quand ils me posent cette question, impatients, moitié inquiets, moitié irrités, comme si la réponse ne les intéressait plus.
Y a continuación se desarrollaba un diálogo basado en el equívoco de los celos (gelosia) de su mujer, hasta que se descubría que aquellas lesiones no se debían a un sentimiento sino a la caída de una celosía (gelosia): elemento concebido quizá para aliviar ese sentimiento homónimo y angustiante, pero que no guardaba relación alguna con él. Un sentimiento que parecía haber desaparecido últimamente, aunque quizás estuviese renaciendo.
et il mettait cela sur le compte de la jalousie. Entre les deux le dialogue se déroulait sur l’équivoque de la jalousie de la femme, jusqu’au moment où l’on comprenait que ces blessures n’étaient pas l’effet d’un sentiment, mais de la chute du haut d’une fenêtre, d’une jalousie, d’une persienne : une menuiserie qui avait peut-être été imaginée pour soulager ce sentiment homonyme et pénible, mais qui n’avait désormais plus rien à voir avec lui.
Se divisa ya la ventana iluminada de la fonda… Sin embargo, no se oye ni una voz, ni un solo ruido… Reina el silencio, como si dentro no hubiera ni un alma… Pero no es así, se escucha a alguien tocando el bandoneón… Irimiás se quita el barro de los zapatos, que pesan como plomo… Se aclara la garganta… Empuja la puerta con cautela… La lluvia arrecia de nuevo… Por el este, el cielo se ilumina con la velocidad de un recuerdo, se apoya con su color rojo y con el azul propio del alba sobre el ondulado horizonte, y sale también el sol con la angustiante inseguridad con que el mendigo sube por la mañana las escaleras de la iglesia, emerge para crear las sombras, para desgajar los árboles, la tierra, el firmamento, los animales, los hombres de esa unidad caótica y gélida en la que se dejaron atrapar como moscas en la telaraña, y todavía llega a ver la noche que huye al otro lado por el horizonte, llega a ver cómo van cayendo uno tras otro sus temibles elementos allá en el oeste, cual ejército a la desbandada, desesperado y derrotado. III SABER ALGO
En ce moment il sort avec ma sœur car depuis l’année dernière on lui doit l’argent des graines pour les semis… » On voit déjà apparaître la fenêtre illuminée de l’auberge… mais pas un mot, pas un bruit… le silence, comme s’il n’y avait personne à l’intérieur… mais si, quelqu’un joue de l’accordéon… Irimiás essuie ses lourdes chaussures boueuses… se racle la gorge… ouvre délicatement la porte… et la pluie se remet à tomber, à l’est le ciel s’illumine à la vitesse d’un souvenir, se pare de reflets rouges, bleu aurore, s’agrippe aux vagues de l’horizon, et avec une détresse bouleversante, comme un mendiant qui chaque matin gravit péniblement les marches de l’église, voici le soleil qui s’élève pour créer les ombres, détacher les arbres, la terre, le ciel, les animaux, les hommes, de cette union glaciale, chaotique, où ils se sont laissé enfermer, telles des mouches dans un filet, et dans l’immensité du ciel il aperçoit la nuit qui s’enfuit de l’autre côté, vers l’ouest de l’horizon, là où l’un après l’autre, chacun de ses frêles éléments vient s’effondrer, comme les soldats désespérés, désorientés d’une armée vaincue.
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