Translation for "almorrana" to french
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Como un gallo con almorranas.
Comme un coq aux piles usagées.
Pero en cuanto concibe la idea de la evolución, en cuanto escribe El origen de las especies y empieza a ver las consecuencias que va a tener para la religión, desarrolla toda clase de síntomas: forúnculos, flatulencias, vómitos, tiritonas, desmayos… almorranas… tinnitus… puntos delante de los ojos… todas las calamidades que se te ocurran… ninguno de sus médicos pudo explicarlas ni curarlas… uno de ellos dijo que era gota reprimida, digamos más bien culpa reprimida… y probó todo género de remedios de curandero que un científico serio no habría considerado ni por un segundo… por ejemplo, qué era, atarse con cadenas hechas con alambre de latón y zinc… empaparse en vinagre… chupar el zumo de dos limones al día… sumergirse en bañeras de agua helada… todo en vano… ¿Eran todos estos disparates una especie de castigo autoinfligido por haber asestado un golpe de muerte a la religión?… Aunque no fue la evolución, fue la muerte de su pequeña y adorada Annie la que acabó con su creencia en Dios… Hay que recordar que había infinidad de muertes en aquellos tiempos, muchas más que ahora, las enfermedades infantiles normales podían ser fatales, y un parto también… no fue tanto el deseo de inmortalidad personal lo que llevó a Galton y compañía al espiritismo, sino el ansia de volver a reunirse con sus seres queridos, sobre todo si habían muerto jóvenes… Sin duda es la razón de que Helen Reed sintiese el impulso de entrar en la capilla el domingo pasado, todavía llora a su marido… He ensayado un poco de terapia de choque con ella, rechazando la convención de compadecerla cuando ella ha jugado la carta de su luto durante el almuerzo, y pensé por un momento que se iba a marchar enfadada, pero no ha perdido la compostura… y hemos tenido una conversación bastante animada sobre el dualismo, la conciencia, la inteligencia artificial y etc… Luego la he traído aquí para enseñarle el mural de Karinthy… Es inteligente, y además guapa, hoy era más visible, por debajo de un suéter y unos pantalones, la silueta que en gran parte le ocultaba su vestido la noche del sábado, y claramente torneada… también tiene una piel notablemente bonita para una mujer que ha traspasado con creces el esplendor de la juventud… Pero hay en ella algo melancólico, me da la impresión de que necesita urgentemente un buen repaso, no creo que haya tenido un revolcón desde la muerte de su marido, despide una aureola como de voto de castidad, como una monja… Me pregunto cuánto tiempo me abstendría yo de sexo si Carrie muriese de repente, no mucho, sospecho, bueno, té que no sería… Es bastante espeluznante, pero… si me imagino a Carrie moribunda lo primero que se me pasa por la cabeza no es una imagen de mí mismo consternado y abatido, sino que estoy libre para follar con otras mujeres, Marianne o Helen Reed o cualquier otra que estuviese disponible, sin ningún escrúpulo ni miedo a ser descubierto… Por supuesto que estoy seguro de que estaría realmente deshecho y afligido si ocurriera de verdad, y quizás perdiese todo interés por el sexo durante una temporada, aunque lo dudo… lo más probable es que sucediera lo contrario, que buscase consuelo en brazos de otra mujer, «Por favor, quédate esta noche, sólo quiero compañía en que apoyarme», qué frase, irresistible… Y, por descontado, heredaría por lo menos parte del dinero de Carrie, sería rico además de libre, de nada vale fingir que no lo pienso también si la imagino muriéndose… Es un buen ejemplo de lo que estábamos hablando esta tarde, la intimidad de la conciencia, el secreto del pensamiento, es el archivo del que sólo nosotros tenemos la llave, y menos mal que es así… Carrie estaría desolada si supiera que yo estoy pensando en estas cosas ahora, no me lo perdonaría nunca… y sin embargo, por lo que puedo saber, ella tiene fantasías parecidas en las que yo me muero de repente, sin dolor… se imagina buscando un nuevo compañero, quizás alguien más joven, más romántico que yo… ¿Me molesta esta idea?
Mais dès que lui vient l’idée de l’évolution, dès qu’il écrit De l’origine des espèces et entrevoit les conséquences pour la religion, toutes sortes de symptômes apparaissent chez lui – furoncles, flatulence, vomissements, frissons, évanouissements… hémorroïdes… acouphènes… taches devant les yeux… tous les bobos imaginables… aucun de ses médecins n’était capable de les expliquer ni de les guérir… d’après l’un d’entre eux il s’agissait de goutte refoulée, disons plutôt de culpabilité refoulée… et il essayait des tas de remèdes de charlatan, indignes d’un scientifique sérieux… comme de, quoi déjà, s’attacher des chaînes de cuivre et de zinc… s’inonder de vinaigre… téter le jus de deux citrons par jour… se plonger dans des bains glacés… tout ça en vain… Est-ce que ces conneries n’étaient pas une forme d’autopunition pour avoir frappé la religion d’un coup mortel ? Quoique… ce n’est pas l’évolution, c’est la mort de sa petite Annie tant aimée qui a eu raison de sa propre foi en Dieu… Il faut se rappeler qu’à l’époque on était cerné par la mort, beaucoup plus que maintenant, les maladies infantiles ordinaires pouvaient être fatales, l’accouchement aussi… Si Galton et compagnie s’intéressaient au spiritualisme, c’était moins par désir d’immortalité pour eux-mêmes que dans l’espoir de retrouver leurs chers défunts, surtout s’ils étaient morts prématurément… C’est sûrement ce qui a poussé Helen Reed à entrer dans la chapelle dimanche dernier, elle pleure encore son mari… Je l’ai soumise à un petit traitement de choc en refusant de lui témoigner une compassion conventionnelle lorsqu’elle a joué la carte du deuil durant notre conversation à table, et j’ai cru un instant qu’elle allait me planter là, fâchée, mais elle a repris son sang-froid… et nous avons parlé avec animation du dualisme, de la conscience, de l’I.A… Ensuite je l’ai amenée ici pour lui montrer la fresque de Karinthy… elle est futée, et jolie femme, les formes que cachait sa robe au dîner de samedi soir étaient plus visibles aujourd’hui, sous le chandail et le pantalon, pas mal du tout… de plus, sa peau est d’une fraîcheur remarquable pour une personne qui n’est plus de première jeunesse… Mais elle a quelque chose de mélancolique, elle me donne l’impression d’avoir méchamment besoin qu’on s’en occupe, je ne pense pas qu’elle ait fait l’amour depuis la mort de son mari, elle dégage une espèce d’aura de chasteté, comme une nonne… Je me demande combien de temps je m’abstiendrais de baiser si Carrie mourait brusquement, pas longtemps je le soupçonne, ou plutôt je le sais… C’est assez choquant mais… quand j’imagine la mort de Carrie, la première pensée qui me vient en tête n’est pas le chagrin et le désarroi dont je serais saisi, mais la liberté que j’aurais de m’envoyer en l’air avec d’autres femmes, Marianne, Helen Reed ou quiconque serait disponible, sans affres de mauvaise conscience ni crainte d’être découvert… Naturellement, je suis sûr que j’éprouverais un chagrin terrible si ça arrivait et je perdrais peut-être momentanément toute espèce d’envie sexuelle, mais j’en doute… le contraire serait plus probable, je chercherais sans doute à me consoler dans les bras d’une autre : “S’il te plaît ne t’en va pas, j’ai besoin de quelqu’un qui me serre dans ses bras cette nuit”, quelle réplique irrésistible… Et puis j’hériterais d’une partie au moins de la fortune de Carrie, je serais riche en même temps que libre, inutile de feindre que ça ne m’effleure pas quand j’imagine qu’elle pourrait mourir… Voilà un bon exemple de ce dont nous parlions cet après-midi, la conscience intime, le secret de la pensée, c’est le classeur dont nous seuls détenons la clé, encore une chance… Carrie serait foudroyée si elle connaissait les pensées qui me viennent en ce moment, elle ne me pardonnerait jamais… et pourtant selon toute vraisemblance elle a des fantasmes similaires, d’une mort soudaine et indolore qui m’emporterait… elle se voit trouvant un nouveau partenaire dont elle tomberait amoureuse, peut-être quelqu’un de plus jeune, de plus romanesque que moi… Est-ce que cette idée me tracasse ?
A Terry empezaron a picarle las almorranas; era posible que la humedad del pedo las hubiese irritado.
Les poils de cul de Terry le grattaient, l’humidité de son pet avait peut-être irrité son anus.
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