Translation for "algodoncito" to french
Algodoncito
Translation examples
Un simple algodoncito estéril por las encías, para sacarle una muestra de saliva.
Je vous passe juste un coton-tige stérile sur les gencives pour prendre un peu de salive.
Hurga en su maletín, luego me frota el brazo con un algodoncito mojado en alcohol.
Elle ouvre un flacon, puis me frotte le creux du coude avec un coton imbibé d’alcool.
LE LIMPIARÁS EL CORDÓN UMBILICAL CON UN ALGODONCITO MOJADO CON AGUA CALIENTE Y JABÓN, POR LO MENOS UNA VEZ AL DÍA;
TU DÉSINFECTERAS LE RESTE DE CORDON OMBILICAL AVEC UN COTON-TIGE TREMPÉ DANS UN MÉLANGE D’EAU CHAUDE ET DE SAVON, AU MOINS UNE FOIS PAR JOUR ;
Entretanto, el cura administraba la extremaunción a la vieja dama, sirviéndose de seis algodoncitos preparados en una bandeja. Urbain se quedó dormido. Ella también.
pendant que le curé, se servant de six petits cotons préparés sur un plat, administrait la vieille dame, il s’endormit.
Por lo menos catorce, le aseguró Carlota, y entonces se pasó el algodoncito con un poco de polvo de color por las mejillas, como había visto hacer a su amiga.
Au moins quatorze, lui assura Carlota, et alors elle se passa le petit coton avec un peu de poudre sur les joues, comme elle avait vu son amie le faire.
Mojó un algodoncito con isopropilalcohol y lo dejó en la mesa contigua al cuadro. En un segundo algodón vertió destilado de petróleo, el agente neutralizador.
Il imbiba un premier morceau de coton d’alcool isopropylique qu’il posa près de lui, puis versa sur un second du distallat de pétrole, le produit neutralisant.
Y así aconteció: con un nudo en la garganta contuve mi llanto durante el trayecto al sitio donde dejaríamos a mi hermano, y lo seguí conteniendo mientras la amiga de mi madre me conducía a casa, y hasta cuando pasamos frente al Hospital del Seguro Social, adonde habían llevado a mi padre luego del «accidente», tal como escuché decir a mi madre la noche anterior cuando recibió la llamada telefónica, y seguí conteniendo el llanto el resto de la mañana, en la casa que era un remolino de personas que entraban y salían, y en la funeraria a la que me condujeron a mediodía, donde transcurrí el resto de la jornada y también la noche entera y el siguiente día, siempre como zombi y con un nudo en la garganta, conteniendo el llanto, aun cuando me acerqué al féretro recién traído al salón y observé a través de la ventanilla de cristal el rostro céreo de mi padre con su bigote finamente recortado y dos algodoncitos que sobresalían en sus fosas nasales, el primer cadáver que miraba en mi vida, ante el que permanecí absorto, y al que luego me acercaría varias veces a contemplarlo, conteniendo el llanto, con la misma actitud de zombi, y enseguida deambularía entre familiares y conocidos, boquiabierto ante la larga fila de compañeros alcohólicos anónimos que desfilaban doloridos ante el féretro de mi padre, hasta que a media tarde enfilamos en la caravana de autos hacia el cementerio, y fue ahí y entonces, cuando los enterradores comenzaron a bajar el féretro y a echar las primeras paladas de tierra, que el nudo en la garganta de pronto se me deshizo, y me retiré deprisa de la multitud que se apelotonaba alrededor del foso, a resguardarme detrás de una vieja ceiba, donde solté de una vez el llanto que por tanto tiempo había contenido.
Et cela s’était passé ainsi : un nœud dans la gorge, j’avais retenu mes larmes durant le trajet jusqu’à l’endroit où nous devions laisser mon frère, et je les avais retenues encore pendant que l’amie de ma mère me ramenait à la maison, et même quand nous étions passés devant l’hôpital de la Sécurité sociale où mon père avait été conduit après “l’accident”, comme j’avais entendu ma mère le dire la veille au soir quand elle avait reçu le coup de téléphone, et j’avais contenu mes larmes tout le reste de la matinée, à la maison où des gens entraient et sortaient comme un tourbillon, et à l’agence funéraire où on m’avait conduit à la mi-journée, où j’étais resté tout le reste du jour et aussi toute la nuit et le lendemain, toujours comme un zombie et avec un nœud dans la gorge, retenant mes larmes, même quand je m’étais approché du cercueil que l’on venait d’amener dans la salle et que j’avais observé à travers la fenêtre vitrée le visage cireux de mon père avec sa moustache finement taillée et les deux petits cotons qui sortaient de ses fosses nasales, le premier cadavre que je regardais de ma vie, devant lequel j’étais absorbé, et auquel plus tard on me reconduirait plusieurs fois pour le contempler, contenant mes larmes, toujours comme un zombie, et par la suite je déambulerais entre des gens de la famille et des connaissances, bouche bée devant la longue file d’alcooliques anonymes qui défileraient tristement devant le cercueil de mon père, jusqu’au milieu de l’après-midi où la caravane de véhicules s’était mise en route pour le cimetière, et c’est à cet endroit et à ce moment-là, quand les fossoyeurs avaient commencé à descendre le corps et à jeter les premières pelletées de terre, que le nœud dans la gorge s’était soudain défait et que je m’étais dépêché de m’écarter de la foule massée autour de la fosse pour me mettre à l’abri derrière le tronc d’un vieux fromager, où j’avais enfin laissé couler les larmes si longtemps contenues.
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