Translation for "again" to french
Translation examples
Dying, dying, Lolita Haze Of hate and remorse, l'm dying. And again my hairy fist I rise.
C’est fini, je me meurs, ma Lolita, ma Lo ! Oui, je meurs de remords et de haine, Mais ce gros poing velu je le lève à nouveau, À tes pieds, de nouveau, je me traîne.
No podía quitarme de la cabeza una frase de una canción de Bob Dylan: «Stuck Inside of Mobile with the Memphis Blues Again».
Et un vers de Bob Dylan se mit à trotter dans ma tête : « Coincé de nouveau à Mobile avec le blues. »
Cuando, por ejemplo, Bioy Casares y él se propusieron una nueva y nunca concluida traducción de Macbeth, Borges sugirió que la célebre cita de las brujas, «When shall we three meet again / In thunder, lightening or in rain?» («¿Cuándo volveremos a vernos las tres, / en medio de los truenos, de los rayos o de la lluvia?») se transformase en «Cuando el fulgor del trueno otra vez / seremos una sola cosa las tres».
Par exemple, lorsqu'il tentait avec Bioy Casares de mettre au point une version espagnole de Macbeth, qui ne fut jamais achevée, il suggérait de transformer la célèbre invocation des sorcières (“When shall we three meet again /In thunder, lightning or in rain ?”) en “Cuando el fulgor del trueno otra vez/ Seremos una sola cosa las tres” (“Quand brillera de nouveau le tonnerre / Nous ne ferons qu'une toutes les trois”).
Por otro lado, el pergamino de Isildur, que Gandalf ha descubierto en los archivos de Gondor y que cuenta cómo éste arrancó el Anillo de la mano de Sauron después de la Batalla de Dagorlad mucho tiempo atrás, es aún más arcaico que el habla de Elrond, ya que utiliza las antiguas terminaciones verbales en -eth -seemeth, fadeth- y formas subjuntivas como «were the gold made hot again» [si el oro se calentara de nuevo].
Le parchemin d’Isildur, que Gandalf a découvert dans les archives du Gondor, et qui raconte comment Isildur a coupé l’Anneau de la main de Sauron après la Bataille de Dagorlad il y a fort longtemps, est rédigé dans une langue encore plus archaïque que le parler d’Elrond, utilisant l’ancienne terminaison verbale -eth – seemeth, fadeth – et les formes du subjonctif comme were the gold made hot again (« si l’or étoit de nouveau chauffé »).
Sentado furtivamente ante el escritorio, notando palpitaciones en los oídos y temblores en las manos, oyó cómo la ronca voz de Skin-ner bramaba, con un fuerte acento cockney, para que le oyera toda la oficina: «I'M ORF TO IBEEFA AGAIN THIS SUMA-AAH EHND OIM AVIN IT LAWWRGGG!!»1 Y
Installé piteusement à son bureau, les mains tremblantes et le sang battant dans ses oreilles, il entendit la voix rauque de Skinner beugler à travers la pièce, le ton moqueur : — MOÂ, J’ME BARRE ENCORE À IBIIIZA CET ÉTÉ ET JE VAIS M’ÉCLATER GRAAAAVE !!
Me acariciaban la cabeza, me leían las líneas de la mano, me vaticinaban un hermoso futuro de actor o piloto de avión, bromeaban pidiéndome en matrimonio, «look, he’s blushing again, your son is so ROMANTIC!», me hacían preguntas indiscretas sobre la vida de mi padre a cambio de anacardos y chocolatinas Milka, me proponían raptarme y compartir el rescate y entonces mi padre intervenía: «Ya vale, es tarde, sube a acostarte, si tu madre te viera me mataba», y las beldades nórdicas me llevaban a mi cuarto, me besaban en la frente, la nariz, la muñeca o el cuello, pero evitaban cuidadosamente la boca que yo les ofrecía con los ojos cerrados (porque, para ser sincero, yo sólo pedía una cosa: que aquellas diosas abusaran de mí sexualmente), y luego rodeaban la cama soplando el humo de los cigarros sobre la almohada y sonreían con suavidad cuando les pedía que me apretaran otro poco, y después yo oía el restallido de sus tacones de aguja en la escalera antes de dormirme en el país maravilloso de los brazos de las modelos-estrella, país donde sigo viviendo y donde, a ser posible, quisiera expirar cuanto antes.
Elles caressaient ma tête, lisaient les lignes de ma main, me prédisaient un bel avenir d'acteur ou de pilote d'avion, me demandaient en mariage pour rigoler, « look, he's blushing again, your son is so ROMANTIC ! », posaient des questions indiscrètes sur la vie de mon père en échange de noix de cajou et de carrés de chocolat Milka, me proposaient de me kidnapper et de partager la rançon, et alors mon père intervenait : « ça suffit, il est tard, va te coucher, si ta mère voyait ça elle me tuerait », et les beautés nordiques me remontaient dans ma chambre, en m'embrassant sur le front, le nez, le poignet ou dans le cou, évitant soigneusement la bouche que je leur tendais les yeux fermés (car pour être franc, je ne demandais qu'une chose : être abusé sexuellement par ces déesses), puis elles bordaient mon lit en soufflant la fumée de leur cigarette sur mon oreiller, souriaient gentiment quand je leur demandais de me serrer encore un peu, et puis j'entendais leurs talons aiguilles cliqueter dans l'escalier, avant de m'endormir dans le pays merveilleux des bras de mannequins-vedettes, pays que j'habite toujours et où, si possible, je souhaiterais expirer dans les plus brefs délais. 11
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test