Translation for "aduciendo" to french
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Isabel se le puso por delante a Moncada aduciendo que no había pruebas contra su amigo, pero él la apartó de un brusco empujón.
Isabel se plaça devant Moncada, alléguant qu’il n’y avait pas de preuves contre son ami, mais il l’écarta d’une brusque poussée.
otros, aduciendo que ningún viandante dijo haber visto tal cosa, afirmaron que tenía comprados a varios empleados del hotel.
d’autres, alléguant qu’aucun passant ne témoigna avoir vu pareille chose, affirmèrent qu’il avait acheté plusieurs employés de l’hôtel.
Era una empresa desesperada: aunque el doctor Jones estuviera dispuesto a extenderse, el fiscal tenía derecho a oponerse, cosa que hizo, aduciendo el hecho de que la ley de Kansas no permite otra respuesta más que sí o no a la pregunta formulada.
C’était sans espoir, car, bien que le Dr. Jones eût accepté de développer sa réponse, l’accusation avait le droit de faire opposition ; ce qu’elle fit, alléguant le fait que la loi du Kansas ne permet rien de plus qu’une réponse par oui ou non à la question posée.
No obstante, había rechazado la oferta que le hizo el shōgun de una selecta parcela de tierra en el centro de Edo, aduciendo que un guerrero rural como él se sentiría allí desplazado, y prefirió un terreno boscoso junto al santuario de Hirakawa Tenjin, donde estableció su escuela en una antigua granja con tejado de paja, a la que añadió una nueva aula para impartir las lecciones teóricas y una entrada bastante imponente.
Toutefois, il avait refusé l’offre par le shogunat d’un terrain de choix dans le centre d’Edo, en alléguant qu’un guerrier campagnard tel que lui-même ne s’y sentirait pas à sa place. Il préféra un terrain boisé contigu au sanctuaire de Hirakawa Tenjin, où il avait installé son école dans une ancienne ferme au toit de chaume à laquelle on avait ajouté une salle de cours neuve et une entrée assez imposante.
En la voz de su padre los personajes tienden a confundirse, intercambian nombres, apodos y profesiones que rara vez vuelven a su portador original: de golpe, el mellizo que hoy capea el temporal refugiado en el garage de la casa de un primo tiene las facciones, el bigote cepillo y los vicios de un viejo ex socio de su padre que cae preso por tener una línea de teléfono clandestina, y en los métodos con que intenta reunir el dinero que debe resuenan demasiado los ardides que su padre pone en práctica para hacer lo único que está entrenado para hacer, levantar muertos, sin ir más lejos el que le deja la compañía farmacéutica a la que le organiza el viaje de fin de año con el que premia a su personal, que, aduciendo dificultades financieras, le paga con seis meses de atraso los casi noventa pasajes de avión que su padre ha debido pagar con estricta puntualidad a la compañía aérea. Lo que es evidente, de cualquier modo, es que su padre se arremanga, activa contactos de los que no se enorgullece, renuncia a ciertos derechos a cambio de información y da por fin con el mellizo, y una vez ahí, en ese garage húmedo y mal iluminado donde el otro, en musculosa, con la barba de días, los párpados enrojecidos y ese aire de embrutecimiento que da el encierro —el mismo aspecto con el que quince años atrás recuperan la libertad los rehenes de las organizaciones armadas—, ha montado una parodia de oficina con una mesa y unas sillas de plástico de jardín y un viejo teléfono de baquelita, escucha de sus labios lo que ha temido oír desde el principio: que no tiene el dinero, que no sabe cuándo lo tendrá, que ni siquiera puede asegurarle que lo tenga alguna vez. Empieza a clarear.
Dans la voix de son père les personnages tendent à se mêler, échangent des noms, des pseudonymes et des professions qui correspondent rarement à leur vrai propriétaire ; soudain, le jumeau qui pour l’instant laisse passer la tempête, réfugié dans le garage de la maison d’un cousin, possède les traits, la moustache en brosse et les défauts d’un vieil ex-associé de son père aujourd’hui en prison pour détention d’une ligne téléphonique clandestine, et dans les méthodes qu’il utilise pour tenter de ramasser l’argent qu’il doit, on reconnaît trop les ruses que son père utilise pour faire la seule chose qu’il soit entraîné à faire, récupérer son argent, celui, sans aller plus loin, que ne lui verse pas le laboratoire pharmaceutique pour lequel il organise le voyage de fin d’année offert en prime à son personnel, et qui, alléguant des difficultés financières, lui paie avec six mois de retard les presque quatre-vingt-dix billets d’avion que son père a dû régler à une date bien précise à la compagnie aérienne. Ce qui est évident, de toute façon, c’est que son père se retrousse les manches, active des contacts dont il ne se vante pas, renonce à certains droits en échange d’une information et retrouve enfin le jumeau, et une fois qu’il est là, dans ce garage humide et mal éclairé où l’autre a monté – avec son marcel, sa barbe de plusieurs jours, ses paupières rouges et cet air d’abruti que confère l’enfermement : la même allure que celle des otages des organisations armées lorsqu’ils recouvrent la liberté quinze ans plus tard – une parodie de bureau avec une table et des chaises de jardin en plastique et un vieux téléphone en Bakélite, il écoute se glisser entre ses lèvres ce qu’il a craint d’entendre depuis le début : qu’il n’a pas l’argent, qu’il ne sait pas quand il l’aura et qu’il ne peut même pas lui assurer de l’avoir un jour.
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