Translation for "aborrecían" to french
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Hacía mucho tiempo, el agente, Spruce, había dicho que él y sus colegas aborrecían la violencia, que librarse a ella los hacía sentirse degradados.
Il y avait longtemps de cela, Spruce, l’agent, avait déclaré que ses congénères abhorraient la violence, que s’y livrer leur laissait un sentiment d’avilissement.
En el corazón de una guerra sucia, enfrentándose a una bestialidad difícil de imaginar, hacía cuanto estaba en su mano para convencer a sus camaradas de que conservasen todos los rasgos de humanidad que les fuera posible, de que no se convirtiesen en aquello que aborrecían y contra lo que luchaban.
Au cœur d’une guerre sale, contre une sauvagerie difficile à imaginer, il faisait son possible pour persuader ses camarades de maintenir un semblant d’humanité, de ne pas se changer eux-mêmes en ce qu’ils abhorraient et combattaient.
Lo que aquellas gentes no podían perdonar era, al menos eso creía entender yo que habla venido a restaurar un símbolo que aborrecían con todas sus fuerzas; pues, racionalmente o no, para ellos Exham Priory no era otra cosa que un nido de arpías y hombres lobo.
Ce que les gens ne pouvaient pardonner, peut-être, c’est que j’étais venu restaurer un symbole qu’ils abhorraient tant – puisque, rationnellement ou pas, ils considéraient le prieuré d’Exham comme rien moins qu’un repère de démons et de loup-garous.
Contaban con numerosos partidarios tanto en Siria y en Bagdad como en Irán entre árabes y persas, pero no entre los turcos, quienes, una vez ya convertidos a la tradición sunní, no se implicaban en especulaciones teológicas, si bien, como es fácil de comprender; aborrecían la herejía chiita.
ils avaient de nombreux partisans aussi bien en Syrie et à Bagdad qu’en Iran, parmi les Arabes et les Perses, mais non parmi les Turcs, lesquels, convertis une bonne fois à la tradition sunnite, ne se mêlaient pas de spéculation théologique, mais abhorraient comme il se doit l’hérésie chi’ite.
Por lo cual hubo filósofos que aborrecían grandemente a todo el género humano, por verle guiarse por pasión y no por la razón, entre los cuales Timón, filósofo ateniense, fue el inventor y el más apasionado predicador de esta secta, porque no sólo se nombraba enemigo capital de los hombres, diciéndolo a todos en su cara;
C’est pourquoi il y eut des philosophes qui abhorraient grandement tout le genre humain, pour ce qu’ils le voyaient se guider sur la passion et non sur la raison, parmi lesquels Timon, philosophe athénien, fut l’inventeur ét le prédicateur le plus passionné de cette secte, parce que non seulement il se nommait lui-même le plus grand ennemi des hommes, le leur disant à tous en face ;
y mientras existió el templo, se abstuvieron de adorar en él. Esto se debía en parte a que, como el profeta Amós, aborrecían los sacrificios sangrientos; pero sobre todo porque los sacerdotes les impedían observar el hábito de sus antepasados de orar a la salida del sol junto a la puerta del este, mirando hacia el este en lugar de volverse hacia el santuario como los demás judíos.
et tant que le Temple resta debout, ils refusèrent de s’y rendre, en partie parce que, comme le prophète Amos, ils abhorraient les sacrifices sanglants, mais aussi et surtout parce que les prêtres les empêchaient d’observer la coutume de leurs ancêtres et de prier à l’aube à la porte de l’Orient en se tournant vers l’est, et non vers le sanctuaire comme le faisaient les autres Juifs.
Viendo los chats, Ifemelu tenía la sensación de que su blog era intrascendente, una comedia de costumbres, una sátira ligera sobre un mundo que era cualquier cosa menos ligero. No escribía en su blog sobre la ruindad que encontraba cada mañana al conectarse, aparentemente multiplicada durante la noche, brotando nuevos chats, floreciendo más virulencia, porque de hacerlo, propagaría las palabras de personas que aborrecían no al hombre que Barack Obama era, sino la idea de tenerlo como presidente. Optó por escribir sobre la postura política de Obama, en un post recurrente titulado «He aquí por qué Obama lo hará mejor», añadiendo a menudo vínculos a la página web de él, y escribió también sobre Michelle Obama. Disfrutó con la ironía poco convencional del humor de Michelle Obama, el aplomo con que movía sus largas extremidades, y luego lo lamentó cuando la atenazaron, la plancharon, la revistieron de una imagen insulsamente íntegra en las entrevistas.
Les forums ôtaient soudain à son blog toute importance, le reléguaient au rang de comédie de mœurs, une satire mesurée d’un monde qui était tout sauf mesuré. Elle n’écrivait pas sur les bassesses qui semblaient proliférer tous les matins dans les blogs qui poussaient comme des champignons, déversant toujours plus de vitriol, parce que c’eût été répandre les paroles de ceux qui abhorraient non pas l’homme, mais l’idée qu’ils se faisaient de Barack Obama comme président. Elle défendait au contraire sa position politique, dans une rubrique régulière intitulée : « Voici pourquoi Barack Obama fera mieux », ajoutant souvent des liens avec le site Internet d’Obama, et elle écrivait aussi sur Michelle Obama. Elle s’enthousiasmait pour son humour décapant, l’assurance de sa silhouette longiligne, et elle se lamentait lorsqu’elle la voyait piégée, étouffée, obligée à une tiédeur hygiénique dans les interviews.
Las chicas la aborrecían.
Les nanas la détestaient.
Claro que aborrecían a Bergman.
Bien sûr qu’ils détestaient Bergman.
Sobre todo, los inspectores que aborrecían a Arthur Nebe tanto como él y yo.
Surtout ceux qui détestaient Arthur Nebe autant que lui et moi.
Lo aborrecían, aunque era y porque era para mí, realmente, el producto de ellos que prefería.
Ils le détestaient, même si – et d’autant plus que –, de tous leurs produits, il était celui qui m’était le plus cher.
Unos cuantos en Londres habían sido devueltos a los pocos días de su llegada y lo aborrecían.
Ils étaient assez nombreux, à Londres, ceux qu’il avait renvoyés quelques jours après leur arrivée et qui le détestaient.
Os recuerdo que Ted Tennenbaum y el alcalde se aborrecían, así que es una coartada perfecta.
Je vous rappelle que Ted Tennenbaum et le maire se détestaient, ça colle donc parfaitement au niveau de l’alibi.
Los sirios aborrecían, como hemos visto, a los griegos y no deseaban ninguna intromisión bizantina en Tierra Santa.
Les Syriens, nous l’avons vu, détestaient les Grecs et ne souhaitaient nullement une mainmise byzantine sur la Terre sainte ;
Por lo general el preso era un ladrón, y ellos aborrecían a los ladrones con la rabia de la gente que ha luchado con dureza por lograr lo que tenían.
Le prisonnier était d’ordinaire un voleur et ils détestaient les voleurs avec la passion de gens qui ont durement gagné ce qu’ils possèdent.
Y sobre todo, sobre todo y con diferencia, aborrecían que su forma favorita de intentar empatizar fuese mediante la condescendencia. «¡Ay, pobrecillo!
Et, par-dessus tout, ils détestaient sa façon de prendre tout le monde en pitié. « Oh, mon pauvre ! s’exclamait-elle.
Sus compatriotas fangs estaban a cientos de kilómetros, los bubi lo aborrecían y los escasísimos diplomáticos y trabajadores humanitarios lo despreciaban.
Ses partisans fangs étaient à des centaines de kilomètres, les Bubis le détestaient et les quelques diplomates et humanitaires qui n’étaient pas partis le méprisaient.
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