Translation for "abarrotes" to french
Translation examples
La espalda del boliche estaba cubierta por una tienda de abarrotes.
À l’arrière du bowling, il y avait une épicerie.
Antes de poder encontrarlos, se le apareció a la vuelta de una tienda de abarrotes un hombre armado con una escopeta, que sin presentación le dijo:
Avant qu’il en ait trouvé, il tomba juste derrière une épicerie sur un type armé d’un fusil, qui lui dit sans se présenter :
Fue hacia su casa dando pequeños rodeos para comprar pan en «La Queretana», y leche, jamón y huevos en una pequeña tienda de abarrotes que sólo tenía como razón social visible un letrero de Orange Crush.
Il rentra chez lui en faisant de petits détours pour acheter du pain à La Queretana, du lait, du jambon et des œufs dans une petite épicerie-bazar dont la seule raison sociale visible était une enseigne d’Orange Crush.
Todos esos seres humanos moviéndose sin fin, los autos, las bicicletas, la tienda de abarrotes de enfrente, iluminada de día y de noche con luces de neón, y a un costado la panadería, siempre atestada de gente buscando el pan fresco que salía de sus hornos.
Tous ces êtres humains s’affairant sans fin, les voitures, les vélos, l’épicerie d’en face, éclairée au néon jour et nuit, et un côté de la boulangerie, toujours pleine de gens avides du pain frais qui sortait du four.
Y de pronto, la señora de la farmacia de enfrente, el empleado de la tienda de abarrotes de la esquina donde estuvo haciendo la compra durante los últimos dos años, el vigilante del banco con su uniforme azul y su repetidora del calibre 12 en bandolera -el mismo que solía piropearla con una sonrisa cada vez que pasaba por delante-, se le antojaban peligrosos y al acecho.
Et voilà que soudain la pharmacienne d’en face, l’employé de l’épicerie où elle avait fait ses achats au cours des deux dernières années, le vigile de la banque avec son uniforme bleu et son fusil à répétition calibre 12 en bandoulière – celui qui lui adressait des propos galants en lui souriant chaque fois qu’elle passait devant – lui semblaient dangereux, à l’affût.
-Una pequeña psi en la calle se apresuró a llevar a un gatito a un lugar seguro cuando se cayó en un canal, Ashaya trabajando tan duro para construir un escudo para humanos, los empáticos ayudando a sanar mentes humanas rotas, la anciana Psy en la tienda de abarrotes que suma cuidadosamente sus compras antes de pagar... -Otro beso se presionó su cabello-. De adulto supe que no todos los psi son poderosos, ricos o despiadados.
— Une fillette Psi dans la rue qui s’est précipitée pour mettre en sécurité un chaton qui allait tomber dans un canal, Ashaya qui s’est donné tant de mal pour construire un bouclier pour les humains, des empathes qui aident des esprits humains brisés à guérir, la vieille femme Psi à l’épicerie qui calcule soigneusement ses achats avant d’aller payer… (Il déposa un nouveau baiser dans les cheveux de Kaia.) Le moi adulte sait que tous les Psis ne sont pas puissants, riches ou impitoyables.
Cruzó calles y parques, paseó por camellones llenos de basura, brincó bardas, entró en tiendas de abarrotes donde bebió un refresco o compró cigarrillos, comió tacos de pie, entró en una librería y salió con dos novelas policiacas de Chester Himes, la Historia de la conquista del Nilo y todas las novelas de ciencia ficción de Alfred Bester que pudo encontrar, gastó dos mil pesos en latas de conserva en un súper;
Il traversa des rues et des parcs, marcha sur des terre-pleins couverts d’ordures, sauta des barrières, entra dans des épiceries pour y boire un soda ou y acheter des cigarettes, il mangea des tacos debout, pénétra dans une librairie et en ressortit avec deux romans policiers de Chester Himes, l’Histoire de la conquête du Nil et tous les romans de science-fiction d’Alfred Bester qu’il put trouver.
Sacó una foto de la billetera y los vi, dos pelaos feísimos, la verdad, porque eso es algo típico de Colombia, cónsul, cómo son de feos los niños pobres, ¿no le parece?, a mí me gustan ya grandes, y no es que Víctor fuera pobre, tenía bolsas de dólares de los decomisos, pero era humilde, la mamá tenía una tienda de abarrotes en un pueblo de Boyacá, en fin, los niños, no le dije lo que pensaba sino lo contrario, obvio, tan lindos, el niño es igualito a usted, y él, ay, mamita, ahí sí me mató, y sacó otro fajo de dólares y me dijo, vea, reina, para que vea cómo la aprecio, y me lo entregó, otros dos mil, o sea que ya llevaba seis, era lo bueno de las detenciones gordas.
Il a sorti une photo de son portefeuille et j’ai vu deux mouflets tout moches, vraiment, c’est typique de la Colombie, monsieur le consul, les enfants pauvres sont laids, vous ne trouvez pas ? Moi, je les aime plus grands. Víctor n’était pas pauvre, il avait les poches remplies de dollars saisis, mais il était d’origine modeste, sa mère avait une épicerie dans un village de Boyacá, bref, les enfants… je ne lui ai pas dit ce que je pensais, bien au contraire, évidemment : comme ils sont mignons, le garçon te ressemble… Et lui, ah ! mamita ! Là, il m’a sciée, il a sorti une autre liasse de dollars en disant, tiens, ma reine, pour que tu saches à quel point tu me plais, et il m’a donné deux mille dollars de plus, ça m’en faisait six, c’était le bon côté des arrestations importantes.
Iban muriendo los abarrotes, los estanquillos y las misceláneas en cada esquina y las compañías de teléfonos rivales se unificaron al fin, Laura recordó a Jorge (ya casi nunca pensaba en él) y se distrajo de lo que decía Santiago sentado en el balcón, vestido de bata y con los pies desnudos, te quiero, ciudad, mi ciudad, te quiero porque te atreves a mostrar el alma en tu cuerpo, te amo porque piensas con la piel, porque no me permites verte si antes no te he soñado como los conquistadores, porque aunque te quedaste seca, ciudad laguna, tienes compasión y me llenas las manos de agua cuando necesito aguantarme el llanto, porque me dejas nombrarte sólo con verte y verte sólo con nombrarte, gracias por inventarme a mí para que yo te pudiera inventar de nuevo a ti, ciudad de México, gracias por dejarme hablarte sin guitarras y colores y balazos, sino cantarte con promesas de polvo, promesas de viento, promesas de no olvidarte, promesas de resucitarte aunque yo mismo desaparezca, promesas de nombrarte, promesas de verte a oscuras, ciudad de México, a cambio de un solo regalo de tu parte: sígueme viendo cuando ya no esté aquí, sentado en el balcón, con mi madre al lado…
On fermait les petites épiceries, les échoppes, les bazars naguère installés à chaque coin de rue et les deux compagnies de téléphone concurrentes finirent par fusionner, Laura se souvint de Jorge (elle ne pensait presque plus jamais à lui) et elle perdit le fil de ce que disait Santiago, assis sur le balcon en robe de chambre et les pieds nus, je t’aime, ma ville, je t’aime parce que tu oses montrer ton âme dans ton corps, je t’aime parce que tu penses avec ta peau, parce que tu ne me permets pas de te voir si je ne t’ai d’abord rêvée comme les conquistadors, parce que bien que tu sois asséchée, ville-lagune, tu es compatissante, tu me remplis les mains d’eau quand j’ai besoin de retenir mes larmes, parce que tu me permets de te nommer rien qu’en te voyant et de te voir rien qu’en te nommant, merci de m’avoir inventé afin que je puisse t’inventer à mon tour, Mexico, je te rends grâce de pouvoir te parler sans guitares ni banderoles ni coups de feu, de te chanter avec des promesses de poussière, des promesses de vent, des promesses de ne pas t’oublier, de te ressusciter bien que je sois moi-même destiné à disparaître, des promesses de te nommer, des promesses de te voir dans le noir, Mexico, en échange d’une seule faveur de ta part : continue de me voir quand je ne serai plus là, assis sur le balcon, à côté de ma mère…
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