Translation for "épluchage" to spanish
Translation examples
La mère de Nwoye lâcha un juron et se rassit pour reprendre son épluchage.
La madre de Nwoye la maldijo y volvió a sentarse a pelar.
Ma grand-mère, avec son côté nonchalant, en était très contente, car elle pouvait enfin faire de l’épluchage sans se fatiguer.
Mi abuela, que era muy perezosa, estaba encantada con lo fácil que resultaba pelar con él las verduras.
Et, en soldat discipliné ayant reçu un ordre raisonnable, il ôte sa veste, dénoue sa cravate, déboutonne son col de chemise, se rassoit et reprend l’épluchage de l’abricot avec application.
Y como un soldado que hubiera recibido una orden, se quita la chaqueta y se desanuda la corbata, se desabrocha el botón superior de la camisa, se sienta de nuevo y vuelve a pelar el melocotón con cuidado.
Après avoir écouté pendant une dizaine de minutes une fille décrire à grand renfort de soupirs et de gémissements l’épluchage et l’absorption d’une banane, j’ai commencé à me demander si ce n’était pas des règlements agricoles qu’il s’agissait.
Durante diez minutos escuché a una chica que explicaba, con abundante acompañamiento de gemidos y gruñidos, el proceso de pelar un plátano y tragárselo, y empecé a preguntarme si la reglamentación de la que hablaba el anuncio no sería la de los productos agrícolas.
Les membres de l’Équipe l’ont d’abord gratifié du ton monocorde de l’Insulte secrète, lot inévitable du Pied-Tendre, – mais jusqu’à un certain point seulement, car son Père et ses Frères sont ici, très au fait de tous les aspects de l’Expédition, du Traçage des Angles à l’Épluchage des Patates. Bientôt, – mais personne ne saurait dire comment, – les bûcherons ont assigné un Personnage à Nathanael, plus proche de Macheath que du diligent Factotum qu’il se sait être, bien qu’il ait tenté d’expliquer ce qu’il est et ce qu’il n’est pas au sein de ce Groupe, – mais ils attendent de lui qu’il accepte les pots-de-vin, qu’il encourage les paris et les jeux, qu’il s’assure l’entière collaboration des Juges de Paix et des Shérifs, – surtout, ils persistent à le considérer comme le Maquereau qui protège Mme Eggslap et toutes ses aimables consœurs, lesquelles certains jours se sont chiffrées par douzaines.
Al principio, los miembros del grupo lo insultaban en susurros, que es siempre la suerte del novato, por lo menos hasta cierto punto, pues su padre y sus hermanos también están aquí y controlan todos los aspectos de la expedición, desde los recodos que hay que doblar hasta las patatas que hay que pelar. Pronto —aunque nadie puede decir cómo— los leñadores adjudican a Nathanael un carácter, más cercano al de un chulo que al del diligente factótum por el que él mismo se tiene, por más que éste ha intentado explicar lo que es y lo que no es en este grupo. Esperan de él que acepte sobornos, haga guiños en el juego y tenga satisfechos a los jueces de paz y los sheriffs locales. Por encima de todo, siguen considerándolo el rufián que protege a la señora Eggslap y a sus bellas colegas, cuyo número, ciertos días, ha llegado a contarse por docenas.
C’est pourquoi il me semble aujourd’hui impardonnable d’avoir de mon fait entravé durant tant d’années, même si ce n’était pas intentionnel, l’enquête sur mon passé antérieur, de sorte qu’il est maintenant trop tard pour aller trouver Adler, qui a vécu à Londres jusqu’à sa mort survenue pendant l’été 1988, et m’entretenir avec lui de cette enclave extraterritoriale dans laquelle par moments, comme je l’ai sans doute déjà dit, précisa Austerlitz, près de soixante mille personnes ont été entassées sur une surface d’à peine plus d’un kilomètre carré, des industriels et des fabricants, des avocats et des médecins, des rabbins et des professeurs d’université, des chanteuses et des compositeurs, des directeurs de banque, des commerçants, des sténotypistes et des femmes au foyer, des agriculteurs, des ouvriers ou des millionnaires, des gens de Prague et du reste du protectorat, de Slovaquie, du Danemark et de Hollande, de Vienne et de Munich, de Cologne et de Berlin, du Palatinat, de Westphalie et de la Basse-Franconie, chacun devant se contenter pour vivre d’un espace d’environ deux mètres carrés et, dans la mesure où il était à peu près en état de le faire ou plutôt jusqu’à ce qu’il soit enwagonné, comme on disait, et expédié à l’Est, étant contraint de travailler sans percevoir la moindre rémunération dans l’une des manufactures installées pour création de profit par le département de l’Économie extérieure, l’atelier de bandages de contention, la maroquinerie, la production d’articles de mode, de semelles de bois et de galoches en cuir de vache, la meule à charbon de bois, la confection de jeux de société tels que morpion, petits chevaux ou autres dames chinoises, le clivage des feuilles de mica, la tonte des poils de lapin, la mise en sachets de la poudre d’encre, la magnanerie des SS ou les nombreuses entreprises d’économie interne, le vestiaire, l’atelier de district pour le raccommodage, la récupération en tout genre, l’entrepôt des vieux chiffons, l’équipe d’enregistrement des livres, la brigade des cuisines, l’épluchage des pommes de terre, la transformation des os en farines ou la section des matelas, le service des malades et grabataires, la désinsectisation et l’élimination des rongeurs, le bureau d’encasernement, le greffe, l’administration autonome, laquelle avait son siège dans la caserne BV dénommée “le Château”, ou encore le transport de marchandises intra-muros, maintenu grâce à un bric-à-brac de charrettes des plus hétéroclites et quelque quatre douzaines d’antiques corbillards récupérés dans les communes rurales dissoutes du protectorat et regroupés à Theresienstadt où, avec deux hommes attelés au timon, quatre à huit poussant à l’arrière et s’agrippant aux rayons, ils roulaient dans les ruelles encombrées, étranges véhicules brinquebalants dont la peinture noire et argent ne tarda pas à s’écailler et dont bientôt on scia grossièrement les superstructures en mauvais état, les hauts bancs de cocher et les dais soutenus par des colonnes en bois tourné, jusqu’à ce que les soubassements portant des numéros et des inscriptions à la craie ne laissent plus guère deviner leur utilisation première, une utilisation, dit Austerlitz, qui restait d’ailleurs encore fréquemment la leur, car une part considérable des chargements que jour après jour il fallait transporter dans Theresienstadt était constituée par les morts, toujours en grand nombre, vu qu’en raison de la densité élevée de la population et du manque de nourriture les maladies infectieuses telles que scarlatine, entérite, diphtérie, jaunisse et tuberculose étaient impossibles à enrayer, que l’âge moyen des personnes déportées du territoire du Reich dans le ghetto dépassait les soixante-dix ans
Por eso me parece hoy imperdonable haber impedido la investigación de mi pasado lejano durante muchos años, sin duda no premeditadamente, pero sí por mí mismo, y que ahora sea demasiado tarde para visitar a Adler, que hasta su muerte en el verano de 1988 vivió en Londres, para hablar con él de ese lugar extraterritorial, en el que a veces, como sin duda he mencionado ya, dijo Austerlitz, había unas sesenta mil personas metidas a la fuerza en una superficie de apenas algo más de un kilómetro cuadrado, industriales y fabricantes, abogados y médicos, rabinos y catedráticos de universidad, cantantes y compositores, directores de bancos, comerciantes, taquígrafas, amas de casa, agricultores, obreros y millonarios, gentes de Praga y del resto del Protectorado, de Eslovaquia, de Dinamarca, de Holanda, de Viena y Munich, Colonia y Berlín, del Palatinado, de la Baja Franconia y de Westfalia, de las que cada uno tenía que arreglárselas con unos dos metros cuadrados de vivienda y todos, en la medida en que de algún modo pudieran hacerlo, o mejor dicho, hasta que, como se decía, fueran «envagonados» y enviados al Este, estaban obligadas a trabajar, sin la más mínima remuneración, en alguna de las manufacturas creadas por el Departamento de Comercio Exterior para obtener beneficios, en el taller de vendajes, en la talabartería, en la producción de guarnicionería, en la fabricación de accesorios de moda, en la de suelas de madera y chanclos de cuero de vaca, en el patio del carbón, en la producción de juegos como «Tres en raya», «No te enfades, hombre» y «Para ti el sombrero», partiendo mica, esquilando conejos, embotellando tinta en polvo, criando los gusanos de seda de las SS o en los numerosos talleres de la economía interior, en la sala de prendas de vestir, la de remiendos del distrito, el puesto de venta al por menor, el depósito de trapos, con el grupo de encuadernación de libros, la brigada de cocina, el pelotón de pelar patatas, el aprovechamiento de los huesos o la sección de colchones, en el cuidado de enfermos y achacosos, en la desinfección y la lucha contra los roedores, en la oficina de ubicación, en la inspección central, en la autoadministración, que tenía su sede en la barraca BV llamada «El castillo», o en el transporte de mercancías, que dentro de los muros se realizaba con una mescolanza de los más diversos carros y con unas cuatro docenas de anticuados coches fúnebres, que habían llevado de las abandonadas comunidades rurales del protectorado a Theresienstadt, donde, con dos hombres enganchados en las lanzas y de cuatro a ocho empujando y agarrando los rayos de las ruedas, se movían por las callejas abarrotadas, extraños vehículos balanceantes de los que, pronto, se descascarilló la pintura negra plateada y, de forma tosca, se serraron las estropeadas superestructuras, los altos pescantes y los techos almenados soportados por columnas salomónicas, de forma que las partes inferiores, numeradas y escritas con cal, apenas revelaban ya su función de otro tiempo, una función, dijo Austerlitz, que evidentemente desempeñaban todavía hoy con frecuencia, porque una parte considerable de lo que en Theresienstadt había que transportar a diario eran los muertos, de los que siempre había muchos porque, por la gran densidad de población y la alimentación deficiente, no se podía contener enfermedades infecciosas como la escarlatina, la enteritis, la difteria, la ictericia y la tuberculosis, y porque la edad media de los transportados al gueto desde la zona del Reich era de más de setenta años, y esas personas, a las que, antes de ser enviadas, se les hablaba de un agradable balneario climatológico llamado Theresienstad, con hermosos jardines, caminos para pasear, pensiones y villas y a las que, en muchos casos, se las había convencido u obligado a firmar unos, así llamados, contratos de compra de hogar, por un valor de hasta ochenta mil marcos, como consecuencia de esas ilusiones que les habían hecho concebir, habían llegado a Theresienstadt equipadas de una forma completamente equivocada,
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test