Translation for "épi-" to spanish
Épi-
  • oído-
  • oreja-
  • espiga-
  • asa-
  • escuchador-
Translation examples
oído-
Il resta un moment immobile devant l’épi, étouffa un rire et dit, c’est bientôt le plein automne, l’aveugle, est-ce que tu le vois, c’est bientôt le plein automne !
Los observó inmóvil durante un instante, esbozó una sonrisa y dijo: El otoño está a punto de madurar. ¿Lo has oído, Ciego? El otoño está a punto de madurar.
Ensuite, l’oreille tendue, il poussa de menus rugissements tout en caressant le crâne du vendeur d’eau, petit globe où seul surgissait l’épi frontal.
A continuación, aguzando el oído, emitió menudos rugidos al tiempo que acariciaba el cráneo del aguador, minúsculo globo en el que sólo despuntaba el remolino frontal.
Au Pays amer, la nourriture était rare. C’est pourquoi nous sommes partis vers le Sud où, disait-on, les vallées sont vertes et gorgées d’un maïs si généreux que deux bras ne suffisent pas à entourer un seul de ses épis.
Allí la comida era escasa, y nos dirigimos al sur porque habíamos oído hablar de valles verdes tan llenos de maíz que los brazos de un hombre no lograban rodear una sola mazorca.
Dernière avait déplacé les prisonniers dans un lieu au sec. Elle avait allumé un feu sans leur adresser la parole et fait rôtir des épis de maïs, que les deux hommes avaient engloutis avidement. Rick faisait la sourde oreille et continuait à se creuser la tête.
Última había sacado a los dos Incendiarios del agujero y los había encadenado en un lugar seco. Sin decir palabra, había encendido una hoguera y había asado unas mazorcas, que los dos prisioneros devoraron con verdadero apetito. Rick siguió, impertérrito, tachando y escribiendo, como si no los hubiera oído nunca.
oreja-
et leurs oreilles en épis se métamorphosent en cornes.
y sus orejas maíz apisonado se tornan cuernos.
Les oreilles en carton-pâte, vertes comme des épis de maïs.
Las orejas apelmazadas verdes como maíz apisonado.
De temps en temps elle se baissait pour ramasser un épi de blé oublié, apporté par le vent sur l’asphalte ou le gravier, et le glissait derrière son oreille comme une cigarette.
De vez en cuando se agachaba para coger una espiga de trigo que había quedado por recolectar y el viento había arrastrado hasta el alquitrán y la grava, y se la ponía detrás de la oreja, como un cigarrillo.
D’abord elle le jugeait laid, même vulgaire, à cause de sa grosse tête aux traits mal formés, de sa mâchoire, de ses lèvres gercées, de ses oreilles, de ses cheveux roux qui se cabraient en épi sur le front.
Empezaba por parecerle feo, incluso vulgar, a causa de su cabezota de facciones deformes, de su mandíbula, de sus labios agrietados, de sus orejas, de su pelo rojizo que caía en mechones sobre la frente.
Les cheveux noirs coupés court du môme – il doit avoir vingt et quelques années – sont coiffés en épis maintenus par du gel, une espèce de clou transperce sa lèvre inférieure et des anneaux le haut de ses pavillons.
El chaval —es posible que ronde los veinticinco— tiene el pelo negro corto, peinado con gel formando púas, una especie de tachuela clavada en el labio inferior y pendientes en la parte superior del pabellón de las orejas.
Il avait dû les enduire d’un gel gluant, car ils se dressaient tout droit, en quatre ou cinq mèches hirsutes, et il avait planté autour de son crâne, au hasard, une douzaine d’électrodes ; certaines étaient glissées dans ses épis, une même était collée à son oreille, et toutes étaient branchées à un réseau de fils multicolores qui pendaient jusqu’au sol, traînant derrière lui des mètres durant.
Debía de habérselo engominado profusamente, porque lo llevaba muy tieso, dividido en cuatro o cinco mechones puntiagudos, y se había colocado un montón de electrodos al azar por toda la cabeza: algunos metidos entre el pelo, otro pegado a la oreja, y todos conectados a una red de gruesos cables multicolores que colgaban tras él por el suelo; tantos metros y metros de cable que se perdían de vista.
si je devais hasarder une conjecture je dirais peut-être un king-Charles – oui, je le vois maintenant, trop clairement hélas ! une oreille chocolat, l’autre blanche, et la queue en épi – et pourtant il n’est peut-être pas du tout comme cela – plutôt un petit chien de chasse – un bel animal blanc comme le lait, ainsi qu’en avaient les dames de Sir Th. Wyatt dans leurs mystérieux appartements.
Si hubiera que adivinarlo, yo diría que quizá un King Charles Spaniel; sí, ahora lo veo, nítidamente por desdicha, con una oreja color chocolate y la otra blanca, y el rabo muy sedoso; pero a lo mejor no es nada de eso, sino un galguito, una blanquísima bestezuela como la que tenían las damas de sir Thomas Wyatt en su cámara misteriosa.
À plusieurs reprises, tandis qu’ils discutent, il s’aperçoit qu’elle est soudain dans la lune, en extase, en train de lui regarder la tête, bouche bée, ou de cligner des yeux pour percevoir la ruse avec laquelle Celso a résolu certains problèmes particulièrement compliqués, l’endroit situé derrière les oreilles, par exemple, ou l’épi au sommet du crâne qui conspirait déjà contre le règne de la raideur sur les photos prises à l’âge de neuf ans, ou la partie postérieure de la tête, auparavant courbée, comme abattue par une triste douceur osseuse, qui est à présent droite, ferme et éclatante.
Más de una vez, mientras conversan, la sorprende en Babia, arrobada, mirándole la cabeza con la boca abierta, o entrecerrando los ojos para deducir la artimaña con la que Celso resolvió algún problema especialmente complicado, la parte de atrás de las orejas, por ejemplo, o el remolino de la coronilla que ya conspiraba contra el imperio lacio en las fotos de los nueve años, o el ángulo posterior del cráneo, antes curvo, como abatido por una triste mansedumbre ósea, y ahora recto, firme, rotundo.
Mais même sans articuler le verdict informe et sournois qu’il entend résonner quelque part dans sa tête, tandis qu’il acquiesce devant le miroir et approuve ce que Celso est en train de lui montrer, il tente cependant de combattre la jubilation chaleureuse et surtout inconnue que lui inspire le reflet de son visage dans la glace, en réprimant le sourire qui s’insinuait sur ses lèvres et en faisant de vagues gestes qu’on pourrait tout à fait prendre pour une objection : il se lisse un épi pointant près de l’oreille, sans doute trop raide, il mesure une mèche peut-être plus longue qu’il n’aurait fallu.
Pero aun sin articular, informe y engañoso, ése es el veredicto que oye sonar en alguna parte de su cabeza mientras asiente frente al espejo y aprueba lo que Celso está mostrándole, y es el júbilo ardiente y sobre todo desconocido que le inspira la cara que ve en el espejo lo que trata de contrarrestar ahora sofocando la sonrisa que se le insinúa en los labios, haciendo unos gestos vagos que bien podrían querer decir objeción: alisarse una cresta de pelo que quedó tiesa cerca de una oreja, demasiado parada, medir un mechón quizás más largo de lo debido.
espiga-
Les épis de maïs chuintèrent.
Las espigas sisearon.
il ne connaît plus les épis,
ya no conoce las espigas,
Maigre épi que ton corps
Una espiga delgada es el cuerpo tuyo
J’ai cueilli un épi de blé.
Cogí una espiga de trigo.
Les épis se balançaient sur les coteaux.
En las lomas se mecían las espigas.
Les sept épis de blé desséchés par le vent d’est avaient dévoré les sept épis gonflés.
Siete delgadas espigas de trigo malogradas por el viento del este, que devoraba las siete espigas buenas.
Comme un épi maigre est ton corps
como una espiga delgada es el cuerpo tuyo
Les épis tombent par terre et pourrissent.
Que las espigas caen al suelo y se pudren.
Quelques morceaux d’épis tombent par terre.
Algunos trozos de espigas caen al suelo—.
asa-
Cipriano Algor s’éloigna en direction du four, il murmurait en une cantilène dépourvue de sens, Marta, Marçal, Isaura, Trouvé, puis dans un ordre différent, Marçal, Isaura, Trouvé, Marta, et un autre encore, Isaura, Marta, Trouvé, Marçal, et un autre, Trouvé, Marçal, Marta, Isaura, et il ajouta enfin son propre nom, Cipriano, Cipriano, Cipriano, qu’il répéta jusqu’à en perdre le compte, jusqu’à sentir un vertige le projeter hors de lui-même, jusqu’à ne plus comprendre le sens de ce qu’il disait. Alors il prononça le mot four, le mot hangar, le mot glaise, le mot mûrier, le mot aire, le mot lanterne, le mot terre, le mot bois, le mot porte, le mot lit, le mot cimetière, le mot anse, le mot cruche, le mot fourgonnette, le mot eau, le mot poterie, le mot herbe, le mot maison, le mot feu, le mot chien, le mot femme, le mot homme, le mot, le mot, et toutes les choses de ce monde, les nommées et les innommées, les connues et les inconnues, les visibles et les invisibles, telle une bande d’oiseaux las de voler qui descendraient des nuages et occuperaient peu à peu leur place, comblant les absences et réordonnant les significations. Cipriano Algor s’assit sur un vieux banc de pierre que son grand-père avait fait construire à côté du four, il appuya les coudes sur les genoux, posa le menton sur ses mains jointes et ouvertes, il ne regardait ni la maison ni la poterie ni les champs qui s’étendaient par-delà la route ni les toits du village à sa droite, il regardait seulement le sol parsemé de minuscules fragments de terre cuite et la terre blanchâtre et granuleuse qui apparaissait en dessous, une fourmi égarée qui soulevait entre ses mandibules puissantes une barbe d’épi qui avait deux fois sa taille, le contour d’un caillou d’où la tête fine d’un lézard émergea pour disparaître aussitôt.
Cipriano Algor se alejó en dirección al horno, iba murmurando una cantinela sin significado, Marta, Marcial, Isaura, Encontrado, después en orden diferente, Marcial, Isaura, Encontrado, Marta, y todavía otro, Isaura, Marta, Encontrado, Marcial, y otro, Encontrado, Marcial, Marta, Isaura, finalmente les unió su propio nombre, Cipriano, Cipriano, Cipriano, lo repitió hasta perder la cuenta de las veces, hasta sentir que un vértigo lo lanzaba fuera de sí mismo, hasta dejar de comprender el sentido de lo que estaba diciendo, entonces pronunció la palabra horno, la palabra alpendre, la palabra barro, la palabra moral, la palabra era, la palabra farol, la palabra tierra, la palabra lefia, la palabra puerta, la palabra cama, la palabra cementerio, la palabra asa, la palabra cántaro, la palabra furgoneta, la palabra agua, la palabra alfarería, la palabra hierba, la palabra casa, la palabra fuego, la palabra perro, la palabra mujer, la palabra hombre, la palabra, la palabra, y todas las cosas de este mundo, las nombradas y las no nombradas, las conocidas y las secretas, las visibles y las invisibles, como una bandada de aves que se cansase de volar y bajara de las nubes fueron posándose poco a poco en sus lugares, llenando las ausencias y reordenando los sentidos. Cipriano Algor se sentó en un viejo banco de piedra que el abuelo mandó colocar al lado del horno, apoyó los codos en las rodillas, la cara entre las manos juntas y abiertas, no miraba la casa ni la alfarería, ni los campos que se extendían más allá de la carretera, ni los tejados de la aldea a su derecha, miraba sólo el suelo sembrado de minúsculos fragmentos de barro cocido, la tierra blancuzca y granulosa que aparecía por debajo, una hormiga extraviada que erguía entre las mandíbulas potentes una argaya de dos veces su tamaño, el recorte de una piedra por donde la fina cabeza de una lagartija espiaba, para luego desaparecer.
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