Translation for "épauler" to spanish
Translation examples
Et lui avait posé un bras sur mes épaules.
Él apoyó su brazo sobre mí.
Elle le prit par l’épaule.
Apoyó una mano en el hombro de él.
Son épaule s’est collée contre la mienne.
Y su hombro se apoyó en el mío.
Il lui posa une main sur l'épaule.
Apoyó una mano en su hombro.
Elle mit sa tête sur son épaule.
Apoyó la cabeza sobre su hombro.
J’avais posé ma tête sur son épaule.
Apoyé la cabeza en su hombro.
Je m’assoupis à demi sur ses épaules.
Yo me apoyé en su hombro, adormilado.
Elle posa sa tête sur mon épaule.
Apoyó la cabeza en mi hombro.
Sa tête repose sur mon épaule.
Apoya la cabeza en mi hombro.
Sa tête se posa sur mon épaule.
Apoyó su cabeza en mi hombro.
Gœring me prêta le soutien de son épaule.
Goering me ofreció su hombro para que me apoyara en él.
Mais quand il a conclu sa manœuvre, il n’y avait plus personne à épauler.
Pero cuando terminó su movimiento ya no había nada que apoyar.
Il lui fallut prendre appui sur l’épaule du phagor.
Para no caer tuvo que apoyar una mano en el hombro del phagor.
Mais là, elle posa simplement la tête sur mon épaule.
Pero ahora se limitó a apoyar la cabeza en mi hombro.
Est-ce qu’elle aime poser sa jolie petite tête sur ton épaule ?
¿Le gusta apoyar su hermosa cabeza sobre tu hombro?
Susannah pressa le visage de Roland contre son épaule à elle.
Susannah le obligó a apoyar la cabeza sobre su hombro.
Elle laissa sa tête glisser contre son épaule.
Se deslizó hasta apoyar la cabeza en la parte frontal de su hombro.
Elle posa simplement la main sur mon épaule en souriant.
Todo lo que hizo fue sonreír y apoyar una mano en mi hombro y decirme:
Elle expira, puis posa de nouveau la tête sur mon épaule. — Espèce de schmotz.
Suspiró y volvió a apoyar la cabeza en mi hombro.
Ses épaules heurtèrent douloureusement un étai.
Sus hombros chocaron dolorosamente contra un soporte de madera.
— Personnellement, je ne pourrais pas la supporter, dis-je, en haussant les épaules.
Me encogí de hombros. – No la soporto, personalmente hablando.
Vous savez le poids qui pèse sur mes épaules ? » Je décidai, moi, de créer la surprise.
¿Sabe lo que soporto sobre mis hombros en estos momentos? —decidí sorprenderla yo—.
« Je ne peux plus le supporter, gémit-elle en pressant son front contre l’épaule de Brunetti.
—No lo soporto más —se quejó, y descansó la frente en el hombro de Brunetti—.
Rien d’autre n’est présent dans le travail que le point de l’épaule qui porte la poutre.
En el trabajo tan sólo está presente el punto del hombro que soporta la viga.
Pendant cinquante ans, vous avez porté tout cela sur vos épaules avec patience et détermination.
Durante cincuenta años llevó esa carga en sus hombros y la soportó con paciencia y fortaleza.
Et si quelqu’un t’offense, supporte, pardonne l’injure, hausse un peu les épaules.
Y si te ofende alguien, soporta, perdona el insulto, encoge un poco los hombros.
La ceinture de sécurité, rarement utilisée, pendait près de son épaule.
El cinturón de seguridad, que usaba rara vez, pendía del soporte junto al hombro de Maitland.
Il en prit un, qui se déploya pour former un pivot haut comme l’épaule, terminé par une fourche.
Sacó uno. Se desplegaba hasta llegar a la altura del hombro y presentaba un soporte ahorquillado en la parte superior.
— Nos quatre affûts de grasers, répondit McKeon, et il vit ses épaules se contracter légèrement. — Je vois.
—Los cuatro soportes de gráseres [6] —contestó McKeon, y observó que sus hombros se crispaban ligeramente. —Ya veo.
Enfin, si vous êtes vraiment décidée, je suis prêt à vous épauler.
Bueno, si estás segura de que quieres hacerlo, te respaldaré.
Monsieur Puig ne cessait d’insister auprès du président Pujol : pas la peine d’épauler un gouvernement qui est moribond, président.
El señor Puig insistía una y otra vez al presidente Pujol: No vale la pena respaldar a un Gobierno que está moribundo, president.
Je regardai Tilda à la recherche d’un peu de soutien, espérant qu’elle me donnerait raison, même si Ember avait déjà disparu dans la foule et qu’il était trop tard pour l’arrêter, mais elle se contenta de hausser les épaules en se balançant au rythme de la musique.
Miré a Tilda por apoyo, esperando que me respaldara a pesar de que Ember ya había desaparecido en la multitud y sería demasiado tarde para detenerla. Pero Tilda se encogió de hombros, todavía balanceando sus caderas junto a la música.
— Nous n’arriverons sans doute pas à tromper Dante, tu es trop souvent en contact avec lui, poursuivit Patch. Et il vaut peut-être mieux le tenir au courant. Il pourra te couvrir auprès des néphilims les plus influents. D’un mouvement d’épaules, il se débarrassa de son blouson de cuir pour le poser sur les miennes.
—No creo que Dante se lo trague: trabajáis codo con codo —opinó Patch—. Y puede que el engaño funcione mejor si él está al corriente. Podrá respaldar tu historia cuando hable con Nefilim influyentes. —Patch se quitó la chaqueta de piel y me la puso encima de los hombros—.
Ses yeux et ses cheveux qui lui tombaient jusqu’aux épaules étaient noirs comme tous ses vêtements. Il portait à la ceinture une épée munie d’une énorme coquille ronde aux longs quillons d’acier que seul un bretteur consommé pouvait se permettre d’exposer aux railleries, sachant qu’il avait le courage et l’adresse nécessaires pour être à la hauteur de si formidable flamberge.
Sus ojos y el pelo, largo hasta los hombros, eran negros como el resto de su indumentaria, y llevaba al cinto una espada con exagerada cazoleta redonda de acero y prolongados gavilanes, que nadie, sino un esgrimidor consumado, se hubiera atrevido a exponer a las burlas de la gente sin los arrestos y la destreza precisos para respaldar, por vía de hechos, la apariencia de semejante tizona.
Ce matin-là, il descend l’escalier de l’école, il le descend lentement, gênant quelque peu la précipitation avec laquelle aimeraient bien descendre ses camarades, qui ont rapidement remplacé la mauvaise nouvelle par l’euphorie d’un jour de congé imprévu, et lorsque l’un d’entre eux qui descend lentement comme lui, un de ceux qu’on appelle les cerveaux de la classe, le regarde et, cherchant sa complicité, car lui aussi, au-delà de la persuasion avec laquelle il tente de se convaincre, n’a pas l’impression d’être en train de penser ce qu’il faudrait penser, lui avoue son soulagement et pour épauler son soulagement il parle de quelque chose que son père ou son oncle a dit à propos des catastrophes aériennes, à savoir qu’elles ne surviennent jamais deux fois de suite dans un même pays, encore moins dans un même aéroport et enfin beaucoup moins dans la même compagnie aérienne, il ne parvient même pas à lui renvoyer son regard, tellement il sent le tranchant acéré de la mort pas seulement dans ce qu’il touche – la main courante de la rampe de l’escalier, la poignée de cuir du cartable, l’intérieur de la poche trouée de son pantalon à travers laquelle il s’obstine à se gratter la cuisse avec deux doigts pour vérifier si sa chair réagit et continue à être humaine – mais aussi à l’intérieur de sa propre bouche, sur ses gencives, dans la salive qu’il avale, qu’il sent traverser le seuil de sa gorge, tomber et se répandre et teindre de mort les recoins les plus secrets de son corps.
Baja de hecho las escaleras de la escuela esa mañana, baja lento, entorpeciendo un poco el ímpetu con el que pretenden bajar sus compañeros, que rápidamente sofocan la mala noticia con la euforia de un feriado imprevisto, y cuando uno que baja lento como él, uno de los llamados cerebros de la clase, lo mira y, buscando su complicidad, porque él también, más allá del énfasis con que procura convencerse a sí mismo, desconfía de que esté creyendo en lo que hay que creer, le confiesa su alivio y para respaldar su alivio cita algo que le oyó decir a su padre o su tío a propósito de las catástrofes aéreas, que nunca suceden dos veces seguidas en un mismo país, menos en un mismo aeropuerto y menos aún en la misma compañía aérea, él ni siquiera puede devolverle la mirada, a tal punto siente el filo acerado de la muerte ya no sólo en lo que toca —el pasamanos de la baranda de la escalera, la manija de cuero del portafolios, el interior del bolsillo del pantalón, agujereado, por donde se obstina en rascarse con dos dedos el muslo para saber si su carne reacciona y sigue siendo humana—, sino en su propia boca, en las encías, en la saliva que traga, que siente cruzar el umbral de su garganta y caer y derramarse y teñir de muerte los rincones más secretos de su cuerpo.
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