Translation for "émmettre" to spanish
Translation examples
Elle n'a plus rien à émettre.
Ya no tiene nada más que emitir.
Vous devez émettre des actions.
Tenéis que emitir acciones.
Impossible d’émettre un son.
Yo no podía emitir sonido alguno.
Il s’entendit émettre un son.
Se oyó a sí mismo emitir un sonido.
Je ne peux pas émettre un son.
No puedo emitir un solo sonido.
— Aidez-moi à émettre un SOS !
—¡Ayúdeme a emitir el SOS!
Émettre était un art difficile ;
Emitir era un arte difícil;
je ne pouvais même pas émettre un son.
ni siquiera pude emitir ningún sonido.
S’embarrasseraient-ils à émettre un mandat d’arrêt ?
¿Se molestarían en emitir una orden?
Je tentai farouchement d’émettre un son.
Me esforcé por emitir algún sonido.
— Je ne me risquerais pas à le dire. Je ne me sens pas qualifiée pour émettre des remarques dans ce domaine.
—No quisiera aventurar suposiciones. No es un tema en el que me crea cualificada para opinar.
Le petit artiste ne parvint à émettre que des sons inarticulés. Michel versa du gin dans un verre. « Tenez, dit-il, buvez ça ! Et n’ayez pas peur de tout m’avouer !
El pobre artista no lograba articular una palabra. Michael echó ginebra en un vaso y le dijo: —Tome usted y beba, y no tema usted confesármelo todo.
Bickerstaff avait un doctorat (convenable mais pas tellement brillant) en mathématiques pures, une apparence impressionnante, une voix mielleuse et une foi inébranlable dans sa capacité d’émettre des jugements sur n’importe quel sujet scientifique.
Se había especializado —tras una carrera suficiente, ya que no brillante— en matemáticas puras; sus bienes consistían en un aspecto impresionante, una voz meliflua y una inconmovible fe en su capacidad para juzgar cualquier tema científico.
Tout cela est en grande partie stupide, mais amusant sur le coup, surtout si tu as une bouteille de cognac, ou si elle apporte des cigarettes goût cerise, et si vous vous installez sur des chaises longues pour émettre des idées ou discuter du prochain week-end.
En general se trata de auténticas tonterías, pero en el momento tienen gracia, sobre todo si habéis subido una botella de coñac o si ella lleva cigarrillos con sabor a cereza y sacáis un par de sillas plegables para sentaros a discutir un tema o charlar sobre el fin de semana.
S’agissait-il là des ragots habituels répandus par le chœur des pleureuses, Mr Hobhouse ne le précisa pas : mais, quoique hésitant à émettre une opinion personnelle sur ce sujet, il exprima l’espoir que Fitcher se renseignerait sur l’affaire et pourrait y apporter quelques éclaircissements à son retour en Angleterre.
Si todo aquello era o no un cotilleo de gentes ociosas, Hobhouse no lo sabía, pero, si bien no se sentía muy inclinado a aportar su propia opinión sobre el tema, había expresado sus esperanzas de que Fitcher ahondase en la cuestión y, a su vuelta a Gran Bretaña, arrojase algo de luz sobre el asunto.
Et pas seulement ce que cela désigne, mais ce que cela relie à quoi, comment cela « résout », ou comment et par quelle violence cela crée une étrange continuité entre le débordement d’effusions qui l’emporte, lui, l’amant flambant neuf, le paon dont on pourrait aisément, si on ne le supporte pas, calmer avec humour, freiner en changeant de sujet de conversation ou même ignorer l’étalage d’extraver-sion en le laissant parler seul, dans le vide, comme l’ont déjà fait sans malveillance plusieurs des personnes assises à la table, persuadées que le bain d’amour dans lequel il trempe est si profond et exclusif que découvrir qu’il y baigne tout seul non seulement ne réduira en rien son plaisir, mais l’augmentera peut-être – comment cela relie son bonheur, en un mot, et les cicatrices que l’oligarque torturé cache sous le coton de son slip de marque, stigmates d’un indicible cauchemar qui n’est à l’évidence pas terminé, non seulement parce qu’il est fort probable que le militaire qui l’a séquestré se promène en liberté, que celui qui l’a forcé à se mettre à nu devant lui n’ait d’autres comptes à rendre à la justice qu’une vieille amende impayée pour stationnement gênant, que celui qui l’a attaché à la barre de fer achète le vin en carton dont il se saoule dans le même supermarché que lui, que celui qui l’a torturé quitte le pays et y retourne comme n’importe qui sort de chez lui, et que ces gens se réunissent au café du coin toutes les deux semaines pour parler du bon vieux temps sans craindre d’autres châtiments que ceux que peuvent leur infliger une part de tarte aux blettes avariée, une limonade sans gaz ou une addition qui leur impute plus qu’ils n’ont consommé, mais aussi parce qu’il reste encore au monde des individus comme lui, des inconnus qui font irruption dans une fête, traversent la nuit telles de fulgurantes comètes, enfiévrés par la femme qu’ils ont à leurs côtés et dont ils ne peuvent se séparer – car s’ils le faisaient, comme il arriverait à la terre si le soleil cessait soudain de briller, toute la lumière qui les enveloppe et qu’ils ne paraissent émettre que par un effet d’optique s’éteindrait –, et ne semblent exister que pour jeter l’évidence effrontée de leur bonheur à la face du monde.
Y no sólo qué designa sino qué conecta con qué, cómo «soluciona» o cómo y con qué alevosía fabrica la extraña continuidad entre el desborde de efusión que lo arrastra a él, enamorado flamante, pavo real cuyos despliegues de extroversión, en caso de no tolerarlos, sería fácil moderar con humor, frenar cambiando el tema de la conversación o incluso ignorar dejándolo hablar solo, en el vacío, como ya han hecho sin malevolencia varias de las personas que comparten la mesa, convencidas de que el caldo de amor en el que flota es tan pleno y excluyente que descubrirse flotando en él solo no sólo no disminuirá en nada su regocijo sino que acaso lo incremente —cómo liga su felicidad, en una palabra, con las cicatrices que el oligarca torturado esconde bajo el algodón de sus calzoncillos de marca, rastros de una pesadilla indecible que si no ha terminado, como es evidente, no es sólo por la alta probabilidad de que el uniformado que lo secuestró ande suelto por la calle, el que lo obligó a desnudarse no tenga más cuentas pendientes con la ley que una vieja multa por mal estacionamiento, el que lo ató al elástico compre el vino en cartón con el que se emborracha en el mismo supermercado que él, el que lo torturó entre y salga del país como Pancho por su casa y todos, semana por medio, se reúnan a evocar los buenos viejos tiempos en el bar de la esquina, sin temer más represalias que las que pueden propinarles una porción de tarta de acelga en mal estado, una gaseosa sin gas o una cuenta que les cobra más de lo que gastaron, sino también porque todavía quedan en el mundo personas como él, desconocidas, que irrumpen en una fiesta y atraviesan la noche fulgurantes como cometas, encendidos por la mujer que tienen a su lado, que no habla y de la que no pueden separarse, porque si se separaran de ella, como sucedería con la tierra si el sol dejara de brillar de golpe, toda la luz que los envuelve, y que sólo por una ilusión óptica parecen irradiar, se apagaría, y sólo parecen existir para enrostrarle al mundo la evidencia descarada de su dicha.
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