Translation for "zapatisme" to spanish

Zapatisme

• zapatismo

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zapatismo

Le Yunque pense que le zapatisme constitue l’obstacle principal à la mise en œuvre de ses projets.
El Yunque piensa que el zapatismo es el principal obstáculo para sus planes.

C’est le type qui a donné à Tello(59) toute l’information sur le zapatisme pour son livre La Rébellion des Cañadas.
Es el tipo que le dio a Tello toda la información sobre el zapatismo para el libro de Las Cañadas.

Il en était là lorsqu’il découvrit qu’au cinéma Insurgentes on passait Chinameca : les derniers moments du zapatisme, un film de Gabriel Retes qui sortait le jour même.
En ésas; andaba cuando descubrió el estreno de Chinameca: Los últimos momentos del zapatismo de Gabriel Retes, Cine Insurgentes.

Bon, même si nos pays et nos langues diffèrent, et même si le plus souvent, nous ne sommes pas d’accord dans nos appréciations sur le zapatisme, nous autres membres des campements avons créé entre nous des liens de camaraderie plus ou moins solides.
En fin, aunque somos de países y lenguas diferentes, y aunque la mayoría de las veces diferimos en nuestra apreciación sobre el zapatismo, los campamentistas solemos crear lazos de camaradería más o menos firmes.

une phrase prononcée en 1918, juste avant la trahison du zapatisme par ses alliés provisoires, réapparaissait dans les années soixante comme un terrible épilogue à l’assassinat du dirigeant paysan : « Enterrez les carabines là où vous pourrez les retrouver. »
una frase que dicha en 1918, en el borde final de la traición al zapatismo por sus aliados temporales, reaparecía en los sesentas como terrible epílogo del asesinato del dirigente campesino: «Entierren las carabinas donde puedan volver a encontrarlas».

Il décrocha son téléphone pour composer le numéro de Luis Hernández, un anthropologue et journaliste qui écrivait sur le zapatisme, possédait le seul sac à dos au monde capable de conserver la bière au frais et se trouvait à cette heure de la nuit au journal pour décrocher le téléphone.
Enero del 94.» Levantó el teléfono y marcó el número de Luis Hernández, un antropólogo y periodista que escribía sobre el zapatismo, tenía la única mochila en el mundo de la que salían cervezas frías y contestaba el teléfono a esa hora de la noche en el diario.

Les papiers de Vázquez font le lien entre Morales et le massacre, et la question est : comment est-il en rapport avec le général Renán Castillo ? Selon un communiqué de l’EZLN, un groupe paramilitaire organisé par le PRI et financé et armé par l’armée avait assassiné quarante-cinq indiens tzotziles en train de prier dans une église, un groupe politiquement neutre, sans lien avec le zapatisme.
Los papeles de Vázquez Montalbán vinculan a Morales con la matanza y se pregunta: «¿Cómo se relaciona con el general Renán Castillo?» Según un comunicado del EZLN: un grupo paramilitar organizado por el PRI y financiado y armado por el ejército, había asesinado a 45 tzotziles que estaban rezando en una iglesia, un grupo perteneciente a una facción neutral, desvinculado del zapatismo.

Les membres des campements sont là pour compter le nombre de tanks et de soldats, ils sont là pour tomber malades à cause de la nourriture, pour se disputer entre eux à propos de bêtises, pour jouer au foot et pour perdre contre les équipes zapatistes, pour aider aux projets, pour écouter Radio Insurgente, pour critiquer le Sup parce qu’il n’est pas et ne fait pas ce qu’ils attendent de lui, pour élaborer des plans sur la façon d’exporter le zapatisme dans leurs pays respectifs, pour s’embêter la plupart du temps.
Los campamentistas deben contar tanques de guerra y soldados, deben enfermarse por la comida, deben pelearse entre ellos por tonterías, deben jugar futbol y deben perder contra los equipos zapatistas, deben ayudar en los proyectos, deben escuchar Radio Insurgente, deben criticar al Sup por no ser ni hacer como ellos quieren que sea y haga, deben hacer planes de cómo exportar el zapatismo a sus respectivos países, deben aburrirse la mayor parte del tiempo.