Translation for "yankee" to spanish
Yankee
Translation examples
Un Yankee, un Yankee avec un long pistolet sur la hanche !
¡Un yanqui, un yanqui con un largo pistolón a la cadera!
«Je vous crois, Yank
—¡Desde luego, yanqui!
Le Yank est à moi! Tu comprends ?
—El yanqui es mío ¿me entiendes?
C’est entre le Yank et moi!
¡Este es un asunto entre el yanqui y yo!
— Lève-toi, Yankee !
—Levántate, yanqui.
Au Gouvernement yankee ?
¿Al gobierno yanqui?
— Quelle espèce de Yankee, alors ?
—¿Y qué clase de yanqui?
Le Yank, comme on le surnomme.
El yanqui, le llaman.
Et encore une chose, Yank.
Y otra cosa más, yanqui.
gringo
Cette arborigène peut souffler son mâle à n’importe quelle Lolita yankee.
Esta aborigen puede pararle el macho a cualquier Lolita gringa.
— Cela remonte déjà à pas mal d’années, et les Yankees ne laisseront pas d’autres révolutions se faire.
—Han pasado varios años y los gringos no permitirán nuevas revoluciones.
Si dona Gisa était apparue dans son enveloppe charnelle quotidienne, Vadinho n’aurait pas fui, il aurait affronté l’aventure et possédé ce diable de femme sur-le-champ, avec son accent yankee et ses connaissances de psychologie.
Si doña Gisa hubiera estado en su cotidiana envoltura carnal Vadinho no habría huido, hubiera enfrentado el desafío y empreñado aquel demonio de gringa allí mismo, sobre el pasto, con todo su acento extranjero y sus conocimientos de psicología.
On n’a aucun mal à caser les petites filles aux yeux clairs, il paraît que les yankees en achètent pour les emporter chez eux, mais j’ai fait une promesse à ta mère, et si je ne la tiens pas, c’est moi qui irai rissoler dans les casseroles de Lucifer.
Es fácil colocar a las muchachas de ojos claros, dicen que los gringos las compran y se las llevan a su país, pero yo le hice una promesa a tu madre y si no la cumplo me voy a cocinar en las cacerolas del infierno.
Ces Médicis yankees, aveugles, généreux et mesquins en même temps, de New York, Detroit et Los Angeles, pensaient peut-être — c’était l’avis d’Enedina — que le fait de commander et de payer une œuvre d’art suffisait pour annuler son intention critique, pour la rendre inoffensive et l’intégrer, ainsi châtrée, au patrimoine d’une sorte de bienfaisance puritaine libre d’impôts.
Los Médicis gringos, ciegos, generosos y ruines a la vez, de Nueva York, Detroit y Los Ángeles, quizás pensaban -era la idea de Enedina- que ordenar y pagar una obra de arte era suficiente para anular su intención crítica, hacerla inocua, e incorporarla, castrada, al patrimonio de una especie de beneficencia puritana libre de impuestos.
Depuis lors nous nous voyions peu et quand Marlou se maria il lui envoya un faire-part sans invitation, et il n’assista pas à l’enterrement de sa vie de garçon et quand Ouistiti revint des États-Unis marié à une mignonne Yankee, avec deux gosses qui baragouinaient à peine l’espagnol, Cuéllar était déjà parti à la montagne, à Tingo Maria, pour planter du café, disaient-ils, et quand il venait à Lima et ils le rencontraient dans la rue, c’est à peine si nous nous disions bonjour, salut vieux, comment vas-tu Petit-Zizi, qu’est-ce que tu racontes mon pote, ça va à peu près, tchao, et il avait déjà tourné à Miraflores, plus fou que jamais, et s’était tué maintenant, en allant vers le Nord, comment ?
Desde entonces nos veíamos poco y cuando Mañuco se casó le envió parte de matrimonio sin invitación, y él no fue a la despedida y cuando Chingolo regresó de Estados Unidos casado con una gringa bonita y con dos hijos que apenitas chapurreaban español, Cuéllar ya se había ido a la montaña, a Pingo María, a sembrar café, decían, y cuando venía a Lima y lo encontraban en la calle, apenas nos saludábamos, qué hay cholo, cómo estás Pichulita, qué te cuentas viejo, ahí vamos, chau, y ya había vuelto a Miraflores, más loco que nunca, y ya se había matado, yendo al Norte, ¿cómo?, en un choque, ¿dónde?, en las traicioneras curvas de Pasamayo, pobre, decíamos en el entierro, cuánto sufrió, qué vida tuvo, pero este final es un hecho que se lo buscó.
Rivera était euphorique, il se nettoyait le visage à l’essence, heureux comme un enfant espiègle qui prépare sa prochaine facétie en sachant qu’il la mènera à terme : attaqué par les capitalistes en tant que communiste et par les communistes en tant que capitaliste, Rivera se sentait pur mexicain, un Mexicain farceur, polisson, muni de plus de piquants qu’un porc-épic pour se défendre des salauds d’ici et de là-bas, indemne des rancœurs qui condamnaient d’avance les salauds des deux côtés, ravi d’être la cible du sport national mexicain qui consistait à attaquer Diego Rivera, lequel serait maintenant considéré comme une tradition nationale face au nouveau sport national yankee qui consistait à attaquer Diego Rivera, Diego le gros Puck qui, au lieu de railler le monde du haut des arbres par une nuit d’été, le raillait du haut de la forêt de planches de son échafaudage de peintre, juste avant de tomber par terre pour découvrir qu’il avait une tête d’âne, mais aussi un giron amoureux pour être accueilli et caressé par la reine de la nuit qui ne voyait pas un âne vilain mais un prince charmant, une grenouille changée en prince envoyé par la lune pour aimer et protéger sa Friducha, ma petite, ma petite fille adorée, brisée, douloureuse, je fais tout cela pour toi, tu le sais, n’est-ce pas ? et lorsque je te dis « Frida, ma pauvre, laisse-moi t’aider », que te dis-je si ce n’est aide-moi, pauvre de moi, aide ton Diego ?
Rivera iba eufórico, limpiándose la cara con gasolina, feliz como un niño travieso que prepara su siguiente broma y las gana todas: atacado por los capitalistas por comunista y por los comunis- tas por capitalista, Rivera se sentía puro mexicano, mexicano burlón, travieso, con más púas que un puercoespín para defenderse de los cabrones de aquí y de allá, ayuno de los rencores que vencían de antemano a los cabrones de aquí y de allá, encantado de ser el blanco del deporte nacional de atacar a Diego Rivera que ahora sería visto como una tradición nacional frente al nuevo deporte gringo de atacar a Diego Rivera, Diego el Puck gordo que en vez de las enramadas del bosque de una noche de verano, se reía del mundo desde el bosque de tablas de su andamio de pintor un minuto antes de caer al suelo y descubrir que tenía una cabeza de asno pero encontraba un regazo amoroso donde acogerse y ser acariciado por la reina de la noche que no veía al burro feo sino a un príncipe encantado, la rana convertida en el príncipe enviado por la luna para amar y proteger a su Friducha, mi chiquita, mi niñita adorada, quebrada, adolorida, todo es por ti, tú lo sabes, ¿verdad que sí?, y cuando te digo, Frida, «déjame ayudarte, pobrecita», ¿qué te estoy diciendo sino ayúdame, pobrecito de mí, ayuda a tu Diego?
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