Translation for "vivres" to spanish
Similar context phrases
Translation examples
As-tu emballé les vivres ?
¿Has empaquetado la comida?
Et des vivres en abondance.
Y comida en abundancia.
– Tu sais aussi ce que c’est que des vivres ?
— ¿Y sabes lo que es comida?
oui !... Il n’a pas besoin de vivres.
Sí, sí. Él no necesita comida.
Il faut manger pour vivre.
La comida era necesaria para vivir.
— Les vivres », fit Janet.
Comida —dijo Janet.
Chacun emporterait des vivres.
Cada uno aportaría comida.
Il y avait effectivement beaucoup de vivres.
Había, en efecto, mucha comida.
— Il vend des vivres à la Navy.
— Vende comida a la Marina.
Les vivres étaient presque épuisés.
Las provisiones de alimentos estaban casi agotadas.
J’avais avec moi le panier de vivres pour Pericles ;
Yo llevaba la cesta de alimentos para Pericles;
Tu es riche à présent, mais il y aura pénurie de vivres.
Ahora eres rico, pero habrá escasez de alimentos.
Il était aussi nécessaire de voir le problème des vivres.
También era necesario resolver el problema de los alimentos.
Nous avons déjà consommé deux semaines de vivres.
Ya nos hemos comido dos semanas de alimentos.
Il n’y a pas eu de raid dans les réserves de vivres.
No han hecho ninguna incursión en los depósitos de alimentos.
Je ne touche même pas assez de vivres pour les soldats.
No recibo alimentos suficientes ni para alimentar a los soldados.
Quant aux vivres et à l’eau, nous ferons pour le mieux.
En cuanto a los alimentos y el agua, espero que no nos falten.
Elle était la source à laquelle il avait besoin de s’abreuver pour vivre.
Artemisa poseía el alimento que necesitaba para sobrevivir.
Il avait des tentes et des vivres quand nous nous faisions décimer.
Él tenía tiendas de campaña y alimentos mientras nosotros agonizábamos.
Il est incapable de laisser les gens mourir de faim en accaparant les vivres.
Es imposible que almacene los comestibles para dejar morir de hambre a la gente.
Chanda – la fille d’un épicier voisin – était allée vivre chez Jugnu en mai, malgré l’opposition de sa famille.
Chanda —la hija del dueño de una tienda de comestibles del barrio— se había mudado a vivir con Jugnu en mayo, en contra de la voluntad de su familia.
Beaucoup, qui avaient hâte de se réfugier dans les caves avec des provisions de vivres, se ruaient sur les boutiques d’épicerie et de comestibles que gardaient les soldats, la baïonnette au fusil.
Muchos que decidieron refugiarse en las bodegas con provisiones abundantes, se apretujaban en las tiendas de comestibles, custodiadas por los soldados con bayoneta calada.
Chacune devait également pouvoir transporter tous ses vivres, au cas où elle serait obligée de s’enfuir, et ne laisser à l’ennemi que des lieux entièrement vides.
Con ello también serían capaces de llevar consigo todo lo comestible en caso de tener que huir, de modo que sólo le dejaban pueblos vacíos al enemigo.
L’environnement demeurait hostile – rien n’y poussait qui fût comestible pour les humains et, même si c’était le cas, Quim aurait malgré tout besoin des vivres contenant les substances qui neutralisaient la descolada.
Éste continuaba siendo un entorno hostil: no producía nada comestible para los humanos, y aunque lo hiciera, Quim seguiría necesitando los supresores de la descolada.
Étant donné la nécessité d’économiser les vivres, tous les autres avaient déjà été mis en narcose réfrigérée, laissant le premier roulement apporter les dernières touches aux quartiers d’habitation et autres installations.
Ante la necesidad de economizar comestibles, todos los demás habían sido puestos en sueño frío, dejando que el primer turno diera los últimos toques de los hábitats y otras instalaciones.
Peut-être leur apportait-il des vivres, ou bien quelque butin (les frégates avaient convenu de partager ce qu’elles trouveraient). En tout cas, son arrivée briserait la monotonie. On l’accueillerait chaleureusement.
Quizá traía comestibles, quizá alguna presa (todas las fragatas habían acordado compartir los botines), pero en cualquier caso les haría salir de la terrible monotonía y por eso era bienvenida.
Si tout se passe bien, le Corridor finira par s’étendre de Washington à Boston et le fret si précieux (médicaments, munitions, vivres, humains) circulera sans encombre tout le long de la côte.
Si todo iba bien, el Corredor del Nordeste se extendería con el tiempo de Washington D.C. a Boston y el precioso cargamento (medicinas, balas, comestibles, gente) viajaría sin trabas de un extremo a otro de la costa.
— Les gnomes ont toujours pris beaucoup d’enfants d’humains dans le Fond comme apprentis – généralement des enfants venus de Fondement, la cité qui se trouve – qui se trouvait – dans le val, juste devant les grandes portes du Fond lui-même, là où l’on fondait l’or et où l’on faisait commerce de vivres.
—Los gnomos solían tomar muchos hijos de los hombres como aprendices en la Gruta, generalmente chicos de Grutas, la ciudad que queda, o quedaba, en el valle frente a las Grandes Puertas de la Gruta misma, donde se hacía el fundido del oro y el comercio de comestibles.
Tu es taillé pour vivre encore vingt ans.
Tienes pasta para vivir veinte años más.
— C’est ce fric qui te fait vivre ! hurla Jerry.
—¡Bien que vives tú de esa pasta! —vociferó Jerry.
Je suis un Occidental, mais je peux vivre où je veux, et pour l'instant c'est encore moi qui ai le fric.
Soy occidental, pero puedo vivir donde me dé la gana, y por el momento sigo siendo yo quien tiene la pasta.
Ils travaillent pour rien, et à cause de ça, des familles entières sont obligées de vivre dans des baraques, et de manger de la bouillie de levure pour toute nourriture.
Trabajan por nada, y, con motivo de eso, las familias se ven obligadas a vivir en los arrabales y a comer cruda la pasta de levadura.
Il n’y avait rien, là-bas, sauf l’herbe et les monolithes, choses que jamais la foudre n’aurait pu incendier – et de plus, ce feu ne rougeoyait pas, ne semblait pas vivre.
En la colina de Anla sólo había piedras y pasto, nada que el rayo pudiese incendiar, y tampoco se advertían las llamas desordenadas de las cosas que se queman.
Ça va pas durer longtemps. Mec, dit-il en se retournant, dès que j’ai mes thunes et ma vie à moi, je pars vivre quelque part où il fait chaud.
Pero no durará. Oh, tío —dijo volviéndose—, en cuanto tenga mi propia pasta y pueda organizarme la vida, me largo a donde haga calor.
Don Ibrahim, El Potro et La Niña se mettaient en campagne, allaient vivre la vie en terrain ennemi, renonçant à la sécurité de leurs habituelles pâtures.
Don Ibrahim, el Potro y la Niña iban a entrar en campaña; a buscarse la vida en territorio hostil, abandonando la seguridad de sus pastos habituales.
— En effet, poursuivit Gaunt, Sam ici présent est parfaitement conscient que nous ne pouvons pas vivre dans le passé, à ruminer sans arrêt la guerre froide.
—Porque —prosiguió Denis Gaunt— Sam se da perfecta cuenta, al igual que todos nosotros, de que no podemos seguir moviéndonos en el pasado, rumiando una y otra vez el pasto de la «guerra fría».
Les Moscovites profitaient du dernier mois sans froid pour vivre dehors, les gens lisaient étendus sur l’herbe et il y avait même des familles qui s’offraient l’illusion d’un pique-nique en forêt.
Los moscovitas aprovechaban el último mes sin frío para gastar sus horas al aire libre, la gente leía tendida en el pasto y hasta había familias que se hacían la ilusión de estar de picnic en un bosque.
Un vaisseau spatial qui se dressait dans un champ du Kentucky, entouré de montagnes automnales, propriété d’un homme qui avait choisi de vivre dans une gigantesque demeure avec une servante qui buvait, un secrétaire français, des perroquets, des tableaux et des chats.
Una nave espacial erguida en un pasto de Kentucky, rodeada de montañas otoñales, propiedad de un hombre que había decidido vivir en una mansión con una sirvienta borracha, un secretario francés, papagayos, pinturas y gatos.
Ces activités physiques, combinées à l’image de ville où il fait bon vivre dont jouissait Memu Bay, contribuaient à faire de la cité le lieu de villégiature préféré d’une jeunesse lassée par le rythme effréné de la capitale et avide de nouvelles expériences.
Las actividades físicas, junto con la reputación que Memu Bay tenía de ofrecer un placentero estilo de vida, convertían a la ciudad en un irresistible cebo para los jóvenes de Thallspring, que deseaban divertirse lejos de la capital y de otras ciudades más sobrias.
petites et vertes, les vraies pommes commencèrent à poindre. La renarde conduisit ses petits en forêt : il était grand temps qu’ils apprennent le métier qui les ferait vivre. Héphaistion, lui aussi, devenait un chasseur patient et redoutable. Jusqu’au jour où sa proie était tombée dans son piège, il n’avait pas douté que l’affection passionnée qui lui était si généreusement octroyée contenait en germe la passion elle-même.
los primeros frutos de los manzanos, manzanas pequeñas y verdes, caían de sus ramas tapizando el suelo, mientras las manzanas dulces aún maduraban entre las ramas. Por primera vez, la zorra llevó a sus cachorros al bosque (ya era hora de que empezaran a desarrollar la astucia con que vivirían). También Hefestión, como los cachorros, se convirtió en un hábil y paciente cazador; pero nunca pensó que el apasionado cariño que tan espontáneamente se había desarrollado en él tuviera el germen de la pasión, hasta que su primera presa mordió el cebo.
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