Translation for "vil" to spanish
Similar context phrases
Translation examples
Au fond de moi, je suis bas et vil !
¡En el fondo soy infame y mezquino!
Je suis vil, mais toi tu ne dois pas l’être.
Yo puedo ser un infame, pero no quiero que tú lo seas.
Tu ne peux pas faire confiance à ce vil Romain !
¡No puedes fiarte de este infame romano!
– Que c’est vil, odieux, abominable, vulgaire !
—Qué infame, odioso, abominable, vulgar… —masculló.
C’est toi l’imbécile, crochet de prétoire, vil individu !
¡Tú sí que eres un imbécil, un vil agente de negocios, un infame...!
Le vil Fagot – ou Koroviev, comme on voudra – s’écria alors :
El infame Fagot, alias Koróviev, gritó:
Ses personnages sont toujours unilatéraux : ce sont de parfaits héros ou de vils coquins ;
Sus tipos son siempre unívocos, ni excelentes como héroes ni infames como canallas;
Il ne peut non plus tenir lieu d’abri à des hommes vils, engagés dans des conflits peu honorables.
Tampoco puede ofrecerse como asilo a hombres infames que han intervenido en conflictos deshonrosos.
« Ben, je ne voudrais pas que tu ailles croire, mon mignon » – un terme qui, avec « mignard », était le surnom dont il affublait ses favoris du jour – « … que je ne suis qu’un vil entremetteur.
—Bueno, no quiero que pienses, mignon —ésa, o migniard, era su forma de referirse a sus favoritos—, que soy una especie de infame alcahuete.
Moins de deux ans plus tard, Hitler avait envahi la Russie, et Richard Wagner était redevenu un vil fasciste, une ordure brune.
Menos de dos años más tarde, Hitler invadió Rusia y Wagner volvió a ser un infame fascista, un pedazo de escoria parda.
De vils méfaits ont été commis à Falu.
Han ocurrido cosas horribles en Falu;
Les terreurs les plus profondes, les fantasmes les plus vils qui hantent l’esprit humain sont les échos de leurs échos.
Los terrores profundos, las imaginaciones más horribles que acechan a la mente humana son los ecos de sus ecos.
L’importance excessive accordée par la presse à ces faits divers doit être d’autant plus soulignée que LE JOURNAL ne fut pas seul à leur donner une telle publicité. D’autres journaux qualifièrent aussi le meurtre des journalistes de particulièrement vil, épouvantable, dramatique, au point d’en faire presque, pourrait-on dire, un meurtre rituel.
Conviene subrayar la desmedida atención de la prensa, porque no sólo el PERIÓDICO, sino también otros periódicos trataron aquellos crímenes como algo particularmente grave, horrible y casi solemne; como si de asesinatos rituales se tratara.
— C’est que… Je pense qu’il va te faire terriblement mal… et plus tu lui trouveras de qualités, plus ce sera difficile à supporter… Il te faudra du temps pour t’en remettre, si tu t’en remets… Je devrais te prévenir contre lui, mais je ne peux pas… Parce que je ne suis certaine de rien à son sujet, je ne sais pas si c’est l’homme le plus exceptionnel de la terre ou le plus vil.
—Porque… porque creo que te va a perjudicar de un modo horrible… y que cuanto más te compenetres con él, más difícil te va a ser de soportar… Tardarás mucho tiempo en sobreponerte… si es que alguna vez… Creo que he de ponerte en guardia contra él, pero no puedo, porque no estoy segura de nada respecto a su persona. No sé siquiera si es el mejor o el peor hombre del mundo.
C’était horrible et cela me fit concevoir une triste idée de Londres, d’autant plus que celui qui avait voulu me faire voir le Lord Grand-Juge portait, des pieds à la tête, jusqu’à son mouchoir inclusivement, des habits qui, évidemment, dans l’origine, ne lui avaient pas appartenu, et qu’il devait avoir achetés, du moins je l’avais en tête, à vil prix chez le bourreau.
Eso era horrible y me dio muy mala idea de Londres: mucho más al observar que el propietario de aquella figura de cera que representaba al presidente del tribunal llevaba, desde su sombrero hasta sus botas, incluso su pañuelo, un traje roído de polillas, que no le había pertenecido siempre, sino que me figuré que lo habría comprado barato al ejecutor de la justicia. En tales circunstancias me pareció barato librarme de él gracias a un chelín que le di.
– Si nous pouvons refuser d’écrire sur du papier timbré, et pour le thé de la Compagnie des Indes Orientales trouver un Succedaneum acceptable sous la forme de la racine rouge du New-Jersey, la Philosophie ne pourrait-elle pas tout aussi bien découvrir quelque Alternative patriotique à ces vils cristaux qui rongent nos âmes aussi horriblement que nos dents ? »
—Si podemos negarnos a escribir en papel timbrado, si podemos encontrar en la sanguinaria Nueva Jersey un sucedáneo tolerable del té que traía la Compañía inglesa de las Indias Orientales, ¿no podría también la filosofía descubrir alguna alternativa patriótica a estos abominables cristales que nos corroen tanto el alma como los dientes de una manera tan horrible?
La cible que s’était choisie Blansher, un appareil bleu vif couvert de vils emblèmes jaunes, échappa à ses premiers tirs et opéra sous la trajectoire de Blansher un plongeon contrôlé qu’Umbra Deux ne pouvait espérer suivre. Blansher vira et se mit en chasse d’un Locust de couleur cuivrée en fuite vers le sud.
El objetivo elegido por Blansher, un aparato de azul brillante con una insignia horrible amarilla pintada en su fuselaje, evadió sus primeras descargas del cañón láser, y logró una inmersión que se salió de la trayectoria de Blansher que Umbra Dos no podía prever. Blansher se dio la vuelta y comenzó a perseguir a un Locust de color cobre que huía hacia el sur.
Arn et lui restèrent là un instant, les mains sur la balustrade de pierre, à regarder la cité obscure et respirer les effluves portées par le vent tiède de l’été, odeurs de viande et d’épices, de détritus et de pourriture, parfums, encens, excréments de chameaux et de chevaux, le tout dans ce mélange que Dieu avait imposé à la vie : le noble voisinant avec le vil, le beau avec le laid, le doux avec l’horrible.
Permanecieron ahí fuera con las manos apoyadas sobre la barandilla de piedra y contemplaron la ciudad oscura, absorbiendo los olores de la cálida brisa veraniega, olor a fritura y especias, desechos y descomposición, perfumes e incienso y excrementos de camellos y caballos, todo en la mezcla que Dios hacía de la misma vida, alto y bajo, hermoso y feo, maravilloso y horrible.
Les femmes qui sont les moins compromises dans la culture mâle, celles qui ne sont pas charmantes, ces esprits simples et grossiers pour qui baiser n’est que baiser, trop infantiles pour ce monde adulte de grands ensembles, d’intérêts à 14 %, de casseroles et de merde de bébé, trop arrogantes pour respecter Papa, les « Grands » ou la profonde sagesse des Anciens, qui ne font confiance qu’à leurs instincts les plus bas, pour qui la seule Culture, c’est le déchaînement des femmes, dont le seul divertissement est de rôder à la recherche d’émotions et d’événements excitants, qui « font des scènes » et offrent le spectacle répugnant, vil, gênant, de salopes acharnées contre ceux qui leur agacent les dents, qui n’hésiteraient pas à planter un couteau dans le ventre d’un type ou à lui enfoncer un pic à glace dans le cul au premier coup d’œil si elles pensaient pouvoir s’en tirer, bref celles qui, selon les critères de notre « culture », sont la lie de la terre, la Scum1… sont des filles à l’aise, plutôt cérébrales et tout près d’être asexuées. Débarrassées des convenances, de la gentillesse, de la discrétion, de l’opinion publique, de la « morale », du « respect » des trous-du-cul, toujours surchauffées, pétant le feu, sales et abjectes, les Scum déferlent… elles ont tout vu – tout le machin, baise et compagnie, suce-bite et suce-con – elles ont été à voile et à vapeur, elles ont fait tous les ports et se sont fait tous les porcs… Il faut avoir pas mal baisé pour devenir antibaise, et les Scum sont passées par tout ça, maintenant elles veulent du nouveau ;
Por otra parte, aquellas mujeres que no se han integrado tanto en la Cultura del macho, las menos hermosas, las almas toscas y simples para quienes cojer es cojer, y son demasiado infantiles para el mundo adulto de los suburbios, de las hipotecas, de los lloriqueos y de la caca de bebés, demasiado egoístas para cultivar maridos y niños, demasiado inciviles para respetar a Papá, a los Grandes o a la profunda sabiduría de los Ancianos; que sólo confían en sus propios instintos animales, que equiparan la Cultura a la mierda, cuya única diversión es vagabundear en busca de emociones y excitaciones, que provocan escenas desagradables, vulgares, desconcertantes; odiosas, violentas brujas dispuestas a atropellar a cuantos les irritan, que clavan un cuchillo en el pecho del hombre o le hunden un picahielos en el culo después, si saben que pueden largarse, en suma, aquellas que, según los parámetros de nuestra Cultura, son SCUM… estas mujeres son desenvueltas y cerebrales y están dispuestas a la sexualidad. Liberadas de los prejuicios de la simpatía, de la discreción, de la opinión pública, de la moral, del respeto a los culos, siempre horribles, sucias, viles, las SCUM llegan… a todas partes… a todas partes… lo han visto todo —todo el tinglado, el coito, la chupada, la de la concha y de la pija—, han presenciado todos los números habidos y por haber, han paseado todas las calles y se han volteado a todos los puercos… Es necesario haberse hartado del coito para profesar el anti-coito, y las SCUM han vivido toda clase de experiencias, ahora están preparadas para un espectáculo nuevo;
La honte est un sentiment vil, plus dur encore à supporter que le remords, et j’avais peine à vivre avec cette idée que les rêves de mon père étaient en train de se réaliser là, sous mes yeux.
La vergüenza es un detestable sentimiento, más difícil de soportar, incluso, que la culpa, y yo la sentía con una increíble intensidad al pensar que los sueños de mi padre se estaban convirtiendo en realidad ante mis ojos.
Ils avaient des atouts qui les rendaient invincibles au combat. Le cheval et le char, principalement, que nous, Égyptiens, n’avions jamais vus, dont nous n’avions jamais entendu parler auparavant, et que nous considérâmes aussitôt comme un moyen de combat vil et odieux.
Contaban con un elemento que los volvía invencibles en la batalla: el carro de combate con caballos, algo que nosotros, los egipcios, nunca habíamos visto antes, ni teníamos noticia de su existencia y al que veíamos como algo vil y detestable.
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