Translation for "vendent" to spanish
Translation examples
OU VOUS VENDEZ OU C’EST LES PETITS ORPHELINS QUI VENDENT.
USTEDES TIENEN QUE VENDER O VENDER LA FINCA.
Vous voulez que les gens vendent leur sang !
¡¿Pero qué demonios es esto de vender sangre?!
avec les disques, ils vendent aussi les maillots.
Con los discos suelen vender también camisetas.
– Ils vendent la maison de la vieille. – Pourquoi ? – Pourquoi ?
—Van a vender la casa de la anciana. —¿Por qué?
Traitent avec traîtres et vendent grifas[9].
Tratar con traidores y vender grifa.
— L’or potable que les alchimistes vendent aux imbéciles ?
—¿El oro potable de los alquimistas para vender a bobos?
Qui empoche l’argent s’ils vendent l’église ?
¿Quién se embolsa el dinero si logran vender la iglesia?
— Parmi lesquels ceux qui vendent ces produits ?
—¿Y eso incluye a la gente cuyo trabajo consiste en vender esos productos?
également ceux qui ont le droit de pêcher et qui vendent leur poisson et leurs langoustines.
igualmente, los que tienen derecho a pescar y vender su pescado y sus langostinos.
Pendant ce temps-là, Allemands et Japonais vendent leurs produits comme des fous.
Mientras, japoneses y alemanes se hinchan de vender.
Mais ce sont eux qui le vendent. — Oui.
Si son ellos los que hacen la venta. —Sí.
Ils vendent de la drogue, touchent un salaire fixe mais aucun pourcentage sur le chiffre d’affaires.
Se convierten en traficantes a sueldo sin porcentaje sobre las ventas.
A leur gauche trois Africaines vendent du lait, du masa, du beurre ;
A su izquierda, tres mujeres africanas con leche, masa y mantequilla a la venta;
— Des déballages, des endroits où les gens vendent des trucs dont ils ne veulent plus.
—Perdona, mercadillos, ventas de segunda mano, sitios donde la gente vende cosas que ya no quiere.
— Et ces trois-là vendent bien ? s’enquit Noelle. — Oh oui ! répondit Bruce.
—¿Y los tres han tenido buenas ventas? —quiso saber Noelle. —Oh, sí —confirmó Bruce—.
Il possède des cultures maraîchères dans la vallée, comme tous les Japs – à part ceux qui vendent des babioles au porte-à-porte ou qui pratiquent la pêche en mer depuis San Pedro.
Tiene una explotación agrícola en el Valle, igual que todos los japos que no se dedican a la venta ambulante de baratijas o tienen un pesquero en San Pedro.
Ce qui fait peut-être aussi l’atmosphère particulière des Halles, c’est que ceux qui y travaillent, ceux qui y vendent, qui y achètent, aussi bien que les intermédiaires, ne sont pas, pour la plupart, d’une origine très différente de ceux qui y sont à la traîne ;
Lo que da su particular ambiente a los grandes mercados es que los que trabajan en ellos, los que se dedican a la venta, los que compran y los intermediarios, no son, en su mayoría, de un origen muy distinto a los que andan pululando por allí;
Vous nous accusez de racisme alors que vos livres les plus vendus prônent l'antisémitisme, vos magasins vendent des poupées noires ridicules, vos magazines vantent l'esclavage des femmes.
Nos acusan de racismo cuando sus mayores éxitos de venta los consiguen con obras que predican el antisemitismo, sus almacenes exhiben y venden muñecas negras Sambo y en los quioscos callejeros pueden adquirir revistas con fotografías de mujeres atadas y amordazadas.
Mais aujourd’hui, on sait ce que c’est les examens d’entrée à la fac, on sait que les rabbins qui dirigent des écoles, à Brooklyn et dans les autres quartiers juifs, ils vendent les machins des exams, c’est pour ça que ces Juifs, c’est des putains de génies et qu’ils rentrent tous à Harvard, à Yale, à Princeton et dans les autres facs.
Y ahora nos enteramos del asunto de los tests SAT, que los rabinos de las escuelas de Brooklyn y de otras comunidades judías tienen los tests SAT a la venta, y por eso todos los judíos son unos genios y los admiten en Harvard, Yale, Princeton y demás.
« Chaque fois que je vois une photographie d’une horde grouillante de paysans chinois, ou un défilé militaire, un mauvais journal bourré de réclames pour des horreurs fabriquées en série ; et ces horreurs mêmes que vendent les grands magasins ;
—Cada vez que veo una fotografía de una tumultuosa muchedumbre de campesinos chinos, o la de un desfile militar, cada vez que veo un periódico barato atestado de anuncios de porquerías fabricadas en masa, o esas mismas porquerías expuestas para su venta en los grandes almacenes;
Maintenant, ils vendent leur bien pour vivre, mais il leur en reste encore beaucoup.
Ahora viven de venderse lo que les queda, pero aún les queda mucho.
Et maintenant, en attendant l’arrivée d’Adalberto, il y a une chose qui m’intrigue, à quoi est due cette bonne entente entre le latifundium et la garde, Est-ce de la naïveté de votre part ou de la distraction, nous en sommes à ce stade du récit et vous avez encore des doutes, ou alors est-ce une ruse, vous faites semblant de douter, ce sont peut-être des artifices de rhétorique, un effet de répétition, mais quoi qu’il en soit même un enfant sait que la garde est ici pour garder le latifundium, Le garder contre quoi, il ne peut pas s’enfuir, Contre les dangers du vol, du pillage et autres perversités, car ces gens dont nous n’avons cessé de parler sont de mauvaise caste, imaginez-vous que des misérables qui, toute leur vie durant et durant celle de leurs parents et grands-parents, et celle des parents de leurs grands-parents, ont eu faim, ne vont pas convoiter le bien d’autrui, Est-ce donc mal de convoiter, C’est le pire qui soit, Vous vous moquez de moi, Bien sûr, mais il ne manque pas de gens ici pour prendre au sérieux l’idée que cette horde de culs-terreux veut voler les terres, ces très saints domaines qui viennent de loin, et donc la garde a été envoyée ici pour leur faire respecter l’ordre, pas même un soupir n’est toléré ici, Et la garde aime ça, La garde aime, la garde a ses compensations, l’uniforme, la botte, la carabine, l’autorité d’en user et d’en abuser, et la gratitude du latifundium, je m’en vais vous donner un exemple, pour cette opération militaire extraordinaire, le caporal Tacabo va recevoir plusieurs décalitres d’huile, plusieurs cargaisons de bois, et le garde, lui, si l’autre en reçoit soixante-dix, en recevra moins pour des raisons de hiérarchie, mais il en aura trente ou quarante, dans ces cas-là le latifundium est très correct, il ne manque jamais d’honorer ce genre de dettes et malgré tout la garde est facile à contenter, j’imagine ce que ça sera à Lisbonne, à huis clos, De bien tristes histoires, Ne vous mettez pas à pleurer, que feriez-vous si vous deviez venir de loin avec un sac de bûches sur le dos après avoir déboisé, haletant comme une bête de somme, et que la garde surgisse au milieu du chemin, arme braquée sur vous, haut les mains, qu’est-ce que vous transbahutez là, vous répondez, je viens d’ici ou de là, et ils s’informent pour savoir si c’est vrai, car si c’est faux, tu nous le paieras, Plutôt José Gato, au moins lui, Plutôt José Gato, mais le pire encore c’est de tomber plus loin sur une charretée de six cents ou sept cents ou mille kilos de bois bien scié et bien rangé destinée aux gardes, offerte par le latifundium en paiement de leurs bons et loyaux services, Les gens se vendent pour peu, Se vendre pour peu ou pour beaucoup ne fait aucune différence, le mal ne réside pas dans les centimes ou les millions. La conversation ne se poursuivit pas, d’ailleurs elle n’avait plus d’intérêt, dans la mesure où le narrateur avait pu dire tout ce qu’il avait à dire, c’est son privilège, et maintenant voici Adalberto et son armée, il arrête son automobile, les portières s’ouvrent, c’est une invasion, un débarquement, de là-haut ils adressent de grands signes au berger, mais ce berger est un fainéant, un animal rendu sournois par la solitude, il était assis, assis il est resté et, montrant ostensiblement combien il lui en coûtait, il a fini par se lever et a hurlé, Que se passe-t-il, et le caporal Tacabo fait sonner la charge, à l’attaque, ordonne d’appuyer sur le bouton de la bombe, mieux vaut ne pas prêter attention à ces exagérations guerrières, qu’y pouvons-nous, les occasions sont si rares, le berger a déjà tout compris, la même chose était arrivée à son père, en lui c’est comme une aurore de rires, ça se voit à la plissure de ses yeux, c’est à se rouler par terre, Alors, on fait ça sans demander l’autorisation, la question émane du caporal Tacabo qui fulmine, seigneur de la loi et de la carabine, Amende de cinq escudos par tête de brebis, calculons, six cents brebis à cinq escudos, six fois cinq font trente, mettons maintenant les zéros, un jeu d’enfant, trois mille escudos d’amende, la pâture revient bien cher, alors le berger dit, Y a sûrement erreur, les brebis elles sont au patron qui m’écoute et moi je suis sur ses terres à lui, Hé ho, qu’est-ce que tu nous chantes là, s’est fâché le caporal Tacabo, le soldat qui l’accompagnait s’est mis à regarder les nuages et Adalberto, raccommodant les choses, Alors, comme ça, tout ça m’appartient, Oui, monsieur, et moi je suis le berger de ces brebis, ces brebis sont à vous, Muses chéries, disparaissez, la chanson est finie.
Ya se apea Adalberto a la puerta del puesto de la guardia, es una nube de polvo, y aunque el cuerpo le pese por la edad y otros excesos, entra ligero, el espacio no es holgado pero aun así permitió sin demasiado embarazo el paso y la consignada operación de entrar y salir en el tiempo de los treinta y tres escudos, han de acordarse, y cuando sale lleva compañía, es el cabo Tacabo y un número, se meten en el coche, Dios santo, doña María, adonde irá la guardia con esas prisas, no lo saben las viejas del poyo de la puerta, pero sí lo sabemos nosotros, vienen aquí al rebaño que paciendo está, mientras el mayoral descansa bajo una encina y los ayudantes dan la vuelta para amparar a los ovinos, con refuerzo de los perros, es maniobra de baja estrategia, pero tiene su aquel, mantener un rebaño tan grande pastando junto, sin excesos de apertura, hasta a una oveja le gusta respirar con amplitud, Y ahora, mientras Adalberto llega, una cosa me preocupa, ese entendimiento perfecto entre el latifundio y la guardia, por qué será, Simplicidad suya, o distracción, estar en este punto del relato y tener dudas todavía, o será quizá astucia o artificio de retórica, efecto de repetición, pero, sea lo que fuere, hasta un chiquillo sabe que la guardia está aquí para guardar el latifundio, Guardarlo de qué, si él no huye, De los peligros de robo, saqueo y perversidades varias, que esta gente de la que venimos hablando es de mala casta, imagine, unos miserables que en toda su vida y en la vida de sus padres y de los abuelos y de los padres de los abuelos no han hecho más que pasar hambre, cómo no han de codiciar los bienes ajenos, Y eso es malo, la codicia, Es lo peor que hay, Se está burlando de mí, Sí, lo estoy, pero hay por ahí quien tome muy en serio que esta caterva de rústicos quiere robar las tierras, las santísimas propiedades que de lejos vienen, y entonces se puso aquí a la guardia para mantenerlos en orden, aquí nadie mueve un dedo, Y a la guardia le gusta esto, A la guardia le gusta, la guardia tiene sus compensaciones, uniforme, bota, carabina, autoridad para usar y abusar, y la gratitud de los latifundistas, voy a darle un ejemplo, por esta operación militar extraordinaria, el cabo Tacabo recibirá unas decenas de litros de aceite, unos carros de leña, y el guardia, si el otro recibe setenta, recibirá un poco menos, por cuestión de jerarquía, pero se llevará sus treinta o cuarenta, en eso el latifundio es muy cumplidor, nunca queda a deber lo que le hacen, y la guardia, además, es fácil de contentar, imagino lo que pasará en Lisboa a puerta cerrada, Son casos tristes, No se ponga a llorar, entonces qué haría si viniera de lejos con un saco de astillas a cuestas, tras el desmate, cargado y jadeando como un animal de carga, y le sale un guardia al camino, apuntándole con el arma, manos arriba, qué es lo que llevas ahí, y responder, vengo de tal sitio y tal otro, y ellos van a ver si es verdad, y si no lo es, que Dios le ayude, Mejor José Gato, al menos ése, Mejor José Gato, pero lo malo es encontrarse un poco más adelante con una carrada de seis o setecientos o mil kilos de leña bien serrada e igualada para los guardias, oferta del latifundio en paga de sus buenos y leales servicios, Hay gente que se vende por muy poco, Venderse por poco o por mucho no es diferente, lo malo no está en que sea por un céntimo o por un millón. No siguió la charla, no interesaba ya, pero pudo el narrador decir lo que quería, éste es su privilegio, y ahora sí, ahí está Adalberto y su ejército, se paró el coche, se abren las puertas, es una invasión, un desembarco, y desde lo alto hacen grandes gestos al mayoral, pero este mayoral es un vago, un animal curtido en estas soledades, sentado estaba, sentado se queda, y por fin, mostrando ostentosamente el trabajo que esto le cuesta, se pone en pie y pega un grito, Qué pasa, y el cabo Tacabo manda tocar a la carga, al ataque, apretar el botón de las bombas, mejor es no hacer caso de estas exageraciones bélicas, qué le vamos a hacer, tienen tan pocas oportunidades, ahora ya el pastor se ha dado cuenta de todo, lo mismo le ocurrió una vez a su padre, todo en su interior es una alborada de risa, se le nota en las arruguillas de los ojos, está a punto de revolcarse en el suelo, Crees tú que se puede andar así, sin pedir permiso, la pregunta es del cabo Tacabo, que fulmina, señor de la ley y de la carabina, Multa de cinco escudos por cada oveja, hagamos cuentas, seiscientas ovejas a cinco escudos, seis veces cinco treinta, vamos a ponerle los ceros, qué broma, tres mil escudos de multa, muy caros están los pastos, y entonces dice el pastor, Hay aquí un error, las ovejas son del patrón que me está oyendo, y yo estoy en tierras que son suyas, Oh, qué has dicho, se indignó Tacabo, el número miró a las nubes, y Adalberto, mosqueado, Entonces esto es mío, Sí señor, y yo soy el mayoral de estas ovejas, estas ovejas son suyas, Musas queridas id, se ha acabado la canción.
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