Translation for "vasodilatation" to spanish
Vasodilatation
Translation examples
Maman est agitée, ses narines sont légèrement dilatées, elle est proche de l’hyperventilation, une amorce de vasodilatation est visible sur ses joues.
Mamá está alterada, tiene las fosas nasales ligeramente ensanchadas, la ventilación pulmonar subiendo, una ligera vasodilatación visible en sus mejillas.
Vasodilatation : quand la température du corps est trop élevée, les vaisseaux sanguins se dilatent de façon à permettre à la chaleur de s’évacuer.
Vasodilatación: cuando la temperatura corporal interna es demasiado elevada, los vasos sanguíneos bajo la piel se dilatan para dejar que el calor escape del cuerpo y la temperatura interna se restablezca.
La Guagliona tenait à ces choses-là, lors de son parachutage chez nous elle déclara que la première chose qu’on voit quand on arrive à New York c’est la statue de la Liberté… ne me donne pas de leçon, Rosamunda, c’est vrai, il y a entre nous une attraction magnétique comme si nous étions deux aimants, mais le reste n’y est pas, tu es quelqu’un qui dit une chose et qui en fait une autre par-derrière, je le sais bien car de ce lit où je pourris, je connais ton passé, qui sera ton futur que je suis à présent en train de raconter à cet écrivain, alors laissons tomber, et ne fais pas trop de distinguos, quant à l’écrivain que j’ai qualifié de pouilleux, garde patience et écoute-moi bien, c’est seulement une question de point de vue et il faut regarder le champ en entier, comme cet immense panorama que nous avons devant nous… Attends un peu, l’ami, maintenant je ne me souviens vraiment plus de rien, c’est exactement comme si tout était blanc, pourtant je préférerais parler, parce que si je parle ça me distrait et je pense moins à la céphalée… j’ai une attaque de céphalée… J’en ai depuis si longtemps, de ces trucs-là… depuis l’époque où les Abdéritains disaient que Tristano avait perdu la tête… bah, oui, il avait tellement perdu la tête que cette tête explosait, chez lui seule la tête explosa, tandis que celui qui explosa vraiment, ce fut le garçon… personne n’a jamais rien compris aux céphalées, les symptômes oui, bien sûr, et les crises, comment les affronter et les alléger, mais pourquoi la vasodilatation se produit, c’est un mystère, il semble que ce soit une chose neurovégétative, ou psychosomatique, comme on dit aujourd’hui, quand j’étais plus jeune il m’arrivait même de me taper la tête contre les murs… Écoute, le reste du récit je vais l’inventer, comme ça, pour parler, tu vois je suis honnête, je t’avoue que je suis en train de l’inventer, disons que Tristano déballa le pique-nique sur la table de pierre qui se trouvait au milieu du belvédère, sous deux sapins, face à l’horizon… Tiens compte que nous sommes dans les Pyrénées… les Français sont géniaux, quand il y a un panorama à admirer ils construisent une place où l’on peut se garer, avec une cabane en chaume, deux toilettes pour monsieur et madame, deux tables de pierre pour y pique-niquer et les familles s’arrêtent pour manger et regarder le panorama français libre et républicain et tout le monde est content… Tristano aussi avait l’impression d’être content, et même s’il n’avait pas de famille, il mit une nappe en papier et des assiettes en carton qu’il avait achetées au supermarché de Saint-Jean-de-Luz, c’étaient des assiettes sur lesquelles figuraient des phrases d’écrivains célèbres ou des titres de livres célèbres, et sur celles qu’il avait achetées il y avait écrit tout autour, le meilleur des mondes possibles, au milieu de l’assiette était dessiné au crayon le visage de l’inventeur de la vaisselle littéraire, un monsieur à l’air imbécile avec la joue appuyée sur la main et une mèche de cheveux sur le front qui avait l’air d’une perruque.
La Guagliona daba mucha importancia a esas cosas, cuando la soltaron en paracaídas sobre nosotros decía que lo primero que ves cuando llegas a Nueva York es la Estatua de la Libertad… no me des lecciones, Rosamunda, es cierto, entre nosotros hay una atracción magnética como si fuéramos dos imanes, pero lo demás no existe, tú eres una que dice una cosa pero por detrás hace otra, yo lo sé bien porque desde esta cama mía donde me pudro conozco tu pasado, que será tu futuro que ahora le estoy contando a este escritor, así que dejémoslo correr, y no pongas demasiados reparos, y en cuanto al escritor que he definido lleno de piojos, ten paciencia y escúchame un momento, es solo cuestión de puntos de vista y hay que mirar todo el conjunto, como este inmenso panorama que tenemos delante… No te lo tomes a mal, amigo, ahora ya no me acuerdo realmente de nada, de verdad, es como si todo fuera blanco, sin embargo, preferiría hablar, porque si hablo me distraigo y pienso menos en la cefalea… me ha venido una cefalea… Hace ya mucho que las tengo, estas cosas… desde que los Abderitas decían que a Tristano se le había ido la cabeza… bueno, sí, se le había ido la cabeza hasta tal punto que le estalló la cabeza, a él le estalló solo la cabeza, pero quien estalló de verdad fue el muchacho… de las cefaleas no hay nadie que sepa nada, de los síntomas sí, naturalmente, y de las crisis, cómo afrontarlas y aliviarlas, pero por qué se produce la vasodilatación, eso sigue siendo un misterio, parece ser algo neurovegetativo, o psicosomático, como se dice hoy, cuando era más joven me golpeaba incluso la cabeza contra la pared… Escucha, el resto del relato me lo invento, así, por charlar un rato, como ves, soy honesto, te confieso que me lo estoy inventando, pongamos que Tristano dispone el pícnic sobre la mesa de piedra que estaba justo en el centro del mirador, bajo dos abetos, frente al horizonte… Ten en cuenta que estamos en los Pirineos… los franceses son geniales, cuando hay un panorama que admirar, construyen una plazoleta donde puedes aparcar, colocan en ella una choza de ramaje, dos toilettes para monsieur y madame, dos mesas de piedra para el pícnic, y las familias se detienen para comer y contemplar el panorama francés libre y republicano y todos tan contentos… También Tristano tenía la impresión de estar contento, aunque no tuviera familia, puso un mantel de papel y platos de papel que había comprado en un supermercado de Saint-Jean-de-Luz, eran platos que llevaban frases de escritores célebres o títulos de libros célebres, y los que había comprado llevaban escrito en círculo le meilleur des mondes possibles, en medio del plato estaba dibujado a lápiz el rostro del inventor de los platos literarios, un señor con aspecto de imbécil, con la mejilla apoyada en una mano y un mechón de pelo en la frente que parecía un peluquín.
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