Translation for "vague de terreur" to spanish
Vague de terreur
Translation examples
Une vague de terreur passa sur la Russie.
Una ola de terror se abatió sobre Rusia.
Pendant quelques secondes, Estelle semblait lutter contre une vague de terreur et de désespoir.
Durante unos segundos, parecía estar luchando contra una ola de terror y desesperación.
Pourquoi un groupe de civils extrêmement puissants conspirait-il pour semer une vague de terreur à divers endroits du globe ?
¿Por qué una conspiración de ciudadanos extremadamente poderosos se aunaba para instigar una ola de terror en diversas partes del mundo?
Personne n’était moins superstitieux que Gibson, mais à un moment donné, son esprit fut submergé par une vague de terreur.
Aunque Gibson era menos supersticioso que nadie, los estratos superiores de su mente se hundieron por un instante en una ola de terror irracional.
Il fut balayé par une vague de terreur dans laquelle il lutta pour se relever, puis par une vague de rage dans laquelle il resta assis, se pencha en avant et murmura :
Una ola de terror inundó todo su ser mientras luchaba por levantarse, y después llegó una ola de rabia durante la que permaneció inmóvil. Se inclinó hacia delante y murmuró:
Lev Davidovitch comprit immédiatement qu’une vague de terreur des plus sanguinaires et dévastatrices venait de s’abattre sur Moscou, dont les effets atteindraient la lointaine Vexhall où il avait passé les jours les plus paisibles de son exil.
De inmediato Liev Davídovich supo que la más sanguinaria y devastadora ola de terror se había desatado en Moscú y que sus efectos llegarían hasta la remota Vexhall, donde había pasado sus más apacibles días de exilio.
Depuis que Iejov avait succédé à Iagoda, la vague de terreur déchaînée dix ans auparavant avec la collectivisation forcée de la terre et la lutte contre les paysans propriétaires atteignait un tel degré de démence qu’elle semblait disposée à engloutir le pays, prostré sous l’effet de la peur et de la délation.
Desde que Yézhov había sustituido a Yagoda, la ola de terror desatada diez años antes con la colectivización forzosa de la tierra y la lucha contra los campesinos dueños de tierras había alcanzado unos niveles de insania que parecían dispuestos a devorar un país postrado por el miedo y la práctica de la delación.
Il entendit les pleurs rageurs d’un bébé, Ce doit être son enfant, un doux murmure de bercement féminin, Est-ce elle, puis subitement une voix d’homme passant de l’autre côté, Ce marmot ne se taira-t-il donc jamais. Le cœur de monsieur José bondit de frayeur, si la porte s’ouvrait, et cela pourrait très bien arriver, car l’homme était peut-être sur le point de sortir, Qui êtes-vous, que voulez-vous, dirait-il. Que dois-je faire à présent, se demandait monsieur José, le pauvre ne fit rien, il était paralysé, sans défense, la chance voulut que le père du poupon n’appréciât guère l’ancienne habitude masculine d’aller au café après le dîner pour tailler une bavette avec les copains. Alors, quand seuls les pleurs de l’enfant se firent de nouveau entendre, monsieur José commença à descendre l’escalier tout doucement, sans allumer la lumière, effleurant légèrement le mur de la main gauche pour ne pas perdre l’équilibre car les courbes de la rampe étaient très brutales. À un certain moment une vague de terreur le submergea presque quand il pensa à ce qui arriverait si une autre personne, silencieuse, invisible, montait l’escalier en cet instant, frôlant le mur de la main droite, ils ne tarderaient pas à se cogner, la tête de l’autre heurterait sa poitrine, ce serait sûrement pire qu’être en haut de l’échelle avec une araignée qui lui lécherait le visage, ce pourrait aussi être quelqu’un du Conservatoire général qui l’aurait suivi jusqu’ici afin de le surprendre en flagrant délit et pouvoir ainsi adjoindre au dossier disciplinaire probablement en cours de constitution l’irréfutable pièce incriminante qui manquait encore.
Oyó el llanto enojado de un niño de pañales, Debe de ser el hijo, un susurro dulce de acune femenino, Será ella, de repente una voz de hombre dijo desde el otro lado, Ese niño no se va a callar nunca, el corazón de don José dio un brinco de susto, si la puerta se abriera, cosa que podría ocurrir, tal vez el hombre salga, Quién es usted, qué busca aquí, preguntaría, Qué hago ahora, se preguntaba don José, pobre de él, no hizo nada, se quedó allí paralizado, inerme, tuvo la suerte de que el padre del niño no cultivara el antiguo hábito masculino de ir al café después de cenar para conversar con los amigos. Entonces, cuando sólo el lloro del niño se oía, don José comenzó a bajar la escalera despacio, sin encender la luz, rozando levemente la pared con la mano izquierda para no perder el equilibrio, las curvas del pasamanos eran demasiado pronunciadas, a cierta altura casi le ahogó una ola de terror al pensar en lo que sucedería si otra persona, silenciosa, invisible a sus ojos, viniese en aquel momento subiendo la escalera, rozando la pared con la mano derecha, no tardaría en chocar, la cabeza del otro topando contra su pecho, ciertamente sería mucho peor que estar en lo alto de la escalera de mano y que una araña viniera a lamerle la cara, también podría ser que alguien de la Conservaduría General lo hubiese seguido hasta aquí con la intención de sorprenderlo en flagrante delito y así poder juntar al proceso disciplinario, que probablemente estaría en curso, la pieza incriminatoria incuestionable que todavía faltaba.
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