Translation examples
— Pourquoi tout ce vacarme ?
—¿A qué viene tanto escándalo?
— Par la Lumière, quel vacarme !
—¡Por la Luz, menudo escándalo!
Alexa, ce vacarme est insupportable.
Alexa, no hay quien aguante este escándalo.
Mais pourquoi était-il porté par un tel vacarme ?
¿Pero por qué la acompañaba tal escándalo?
— Il n’y a pas moyen d’éviter ce vacarme ?
—¿Puedes apagar ese escándalo?
Mon vieux ferait un beau vacarme.
Mi viejo le armaría un escándalo.
Comment se soustraire à ce vacarme ?
¿Cómo sustraerse a semejante escándalo?
 Quel vacarme ! Les Viets, ils nous entendent de loin.
—¡Qué escándalo! Los viets nos oyen de lejos.
De ma vie je n’ai entendu pareil vacarme. »
En mi vida he oído tal escándalo.
– C’est quoi ce vacarme… fait une voix à l’intérieur.
—Qué escándalo… —dice una voz desde adentro.
On croyait voir du vacarme pétrifié.
Creíase ver el tumulto petrificado.
— Autre question ! s'écria Button par-dessus le vacarme.
—Otra pregunta —gritó Button sobre el tumulto—.
Une fois l’ingestion commencée, le vacarme s’apaisera.
Una vez empiece la ingestión cesará el tumulto.
ordonnai-je à Zaras par-dessus le vacarme.
—Alcé el tono de voz por encima del tumulto para que Zaras me escuchara—.
– Moi, cria Petit-Frère dans le vacarme en gardant un doigt en l’air.
–¡Yo! – gritó Hermanito, entre el tumulto un dedo en el aire.
Tous les esprits de la cité me parlaient en un vacarme insoutenable.
Oía las mentes de toda la ciudad, un tumulto insoportable.
— J’exige de connaître l’origine de ce vacarme ! gronda Durga.
—¡Exijo saber qué significa todo este tumulto! —aulló Durga.
— Je pense qu’il y aurait eu beaucoup de vacarme si on l’avait capturé, ne croyez-vous pas ?
—Supongo que si hubiese sido capturado habríamos oído el tumulto —comentó ella.
Sa voix était ténue, mais il l’entendit distinctement par-dessus le vacarme.
Su voz era débil, pero la oyó con claridad por encima del tumulto del gentío.
Çà et là, le son d’une flûte ou celui d’une harpe parvenait à se faire entendre au-dessus du vacarme ambiant.
De vez en cuando, se oía entre el tumulto una flauta o un arpa.
— Oui, j’ai entendu du vacarme. — Quel vacarme ? — Je sais pas.
—Yo oí un estruendo. —¿Qué estruendo? —No sé.
Le vacarme se rapprochait.
El estruendo se acercaba.
Le vacarme était assourdissant.
El estruendo era ensordecedor.
un vacarme infernal ;
¡Un estruendo infernal!
Avant il y avait un vacarme incessant. 
Antes era un estruendo permanente.
Le vacarme de la bataille se tut.
Cesó el estruendo de la batalla.
Le vacarme de la guerre s’éloigna.
El estruendo de la guerra se desplazó.
Le vacarme lui pilonnait les oreilles.
El estruendo le aporreaba los tímpanos.
Sa voix ne fut pas entendue dans le vacarme.
Pero había tanto estruendo fuera que no oyeron su voz.
J’embrassais le vacarme urbain.
Aceptaba el estruendo urbano.
Le vacarme cessa aussitôt.
El bullicio se detuvo.
Elle serait noyée par le vacarme de la rue.
El bullicio de la calle habría ahogado el sonido.
Le vacarme règne dans la jungle à l’entour.
En la selva adyacente reina el bullicio.
Pour elle, Cárdenas signifie vacarme et stridence.
Para ella, Cárdenas significa bullicio y estridencia.
Il se tenait au milieu du vacarme, ne sachant que faire.
Permaneció en el bullicio sin saber qué hacer.
Un cri s’éleva, un vacarme s’ensuivit.
Se elevó un grito y se armó un gran bullicio.
Un grand vacarme et une allégresse éméchée régnaient.
Reinaba un gran bullicio y una alegría achispada.
Le vacarme s’entendait à deux rues de distance.
El bullicio se escuchaba a dos calles de distancia.
Les fantômes et le vacarme qui en étaient issus avaient cessé de se manifester.
Los fantasmas y el bullicio que habían brotado del cuerpo habían cesado.
Et c’était difficile de l’entendre, à cause de tout ce vacarme autour de nous.
Y era difícil oírla a causa del bullicio que nos rodeaba.
Un tonneau de vin y était constamment en perce, les cruches circulaient au milieu du vacarme, les dés roulaient sur le couvercle des coffres ;
Constantemente estaba abierto el tonel de vino, los cubiletes circulaban en medio de la algazara, los dádos rodaban sobre la tapa de los grandes cofres;
Ils voulaient une vie intense ou du moins l’écho de celle que d’autres menaient, en tout cas la diversité, le vacarme et la fièvre qui donnent l’illusion d’une vie intense.
Querían acontecimientos o ecos de acontecimientos ajenos, o al menos el colorido, la algazara y las emociones que ofrecían la ilusión de que pasaba algo.
Des milliers de loups de mer et de phoques sautaient des rochers et tombaient lourdement dans l'eau, au milieu du vacarme assourdissant des mouettes et des pélicans.
Millares de lobos marinos y focas se desprendían de las rocas y caían pesadamente al agua, en medio de la agobiante algazara de gaviotas y pelícanos.
Il y avait grand vacarme de blanchisseuses, elles criaient, parlaient, chantaient du matin au soir le long du bord, et y battaient fort le linge, comme de nos jours.
Había gran algazara de lavanderas, que gritaban, hablaban, cantaban de la mañana a la noche a lo largo de la orilla y golpeaban fuerte la ropa, como en nuestros días.
Le canot remontait lentement le courant, les ombres de la nuit l’enveloppaient, des cris d’animaux parvenaient de la forêt, des perroquets faisaient des vacarmes soudains dans les arbres.
La canoa subía lentamente, las sombras de la noche la envolvían, gritos de animales llegaban de la selva, papagayos hacían súbita algazara en los árboles.
Joseph fut le seul à l’entendre, tant le bruit que faisaient les gens était grand, les animaux étaient passablement moins bruyants, mais tous ensemble ils produisaient un vacarme de foire qui ne permettait guère d’entendre ce qui se disait tout près.
Lo oyó sólo José, tan grande era el ruido que hacía la gente, los animales bastante menos, pero todo junto resultaba una algazara de mercado que apenas dejaba oír lo que se dijera al lado.
Quelqu’un fabriqua cette histoire : que, peu de temps après s’être marié, Joan Bouvila avait découvert un horrible secret concernant sa femme, que les nuits dans la maison résonnaient de cris et de coups affreux, que ce charivari tenait l’enfant continuellement éveillé, qu’on l’entendait pleurer jusqu’à l’aube, quand s’arrêtait le vacarme.
Alguien se inventó esta historia: que Joan Bouvila había descubierto poco después de casarse un secreto horrible concerniente a su mujer, que en la casa se oían gritos y golpes tremendos por las noches, que este griterío tenía despierto al niño toda la noche, que se le oía llorar hasta la madrugada, cuando remitía la algazara.
Comme quelqu’un de ces rudes matelots d’autrefois, robustes et débordants de vie, qui, après n’avoir pas vu la terre pendant un an, n’avoir pas dormi dans un lit, n’avoir pas touché une femme, quand le navire rentre au port après mille périls, jette violemment sa bourse pleine sur la table, se saoule, fait du vacarme et donne libre cours à son explosive joie de vivre en cassant les vitres ;
Al igual que uno de aquellos marineros rudos, vigorosos, llenos de vida, de los tiempos pasados, que hacía un año que no veían tierra, no dormían en una cama y no conocían mujer, y que cuando la nave regresaba al puerto al cabo de mil peligros, arrojaban la bolsa llena sobre la mesa, se embriagaban, armaban una algazara y por esa explosión de alegría rompían las vidrieras;
Du lointain on entendait le tumulte, le bruit tumultueux des enragés de spectacle, le vacarme tumultueux de la fête, un bouillonnement de créatures, semblable à l’enfer, sourd, inévitable, attirant, indécent et irrésistible, à la fois sauvage et rassasié, aveugle et fasciné, produit par le troupeau piétinant qui, dans la lumière perfide et sans ombre des torches et des feux, se presse au bord de l’abîme de malédiction et du néant, le troupeau maudit, qui n’a point d’espoir de salut et resterait sans possibilité de salut si, même ici – et plus on prêtait l’oreille, plus on le percevait nettement –, oui, si même ici ne se fût trouvé le chant du silence, contenu depuis toute éternité, contenu pour toujours, la sonnerie des cloches du silence, s’enflant en un nocturne carillon de bronze, en un carillon de tous les troupeaux humains, enchantant doucement la nuit des troupeaux, enchantant le soupir du troupeau, enveloppé dans son grand sommeil ; profondément enfoncée sous l’humus de l’être, bruissante de ses ombres et cachée dans l’enfance, détachée du sort, détachée du hasard et affranchie de l’obscénité) réside la nuit ;
–Ven, siéntate junto a mí -llamó al joven a su lado, y aun después que éste se hubo acurrucado cerca de él, siguió el silencio, permanecieron envueltos en silencio, entregados a la noche callada. Desde lejos se oía el ruido, resonaba el estrépito de los curiosos, resonaba, rumoreaba la algazara de la fiesta, hervían las creaturas como el Orco, sordo, inexorable, fascinante, impúdico e irresistible, salvaje y ahíto al mismo tiempo, ciego y clavada la mirada, el rebaño pisoteante, que se apiña a la falsa luz sin sombra de las antorchas y los fuegos ante el abismo de desgracia de la. nada, casi insalvable, casi irrescatable, si no se encontrara aquí -y cuanto más largamente se acechaba, tanto más claramente se advertía-, si no se encontrara incluso también aquí el canto del silencio, contenido desde siempre, contenido para siempre, el tañido de campanas del silencio, henchido hasta el sonido de bronce de la noche y el tañer de todos los rebaños humanos, quedamente cantando la noche de los rebaños, suspirando el rebaño en su gran sueño: profunda bajo el humus del ser habita la noche, rumorosa de sombras, oculta a la niñez, liberada del destino, liberada del azar y libre de lascivia;
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